Cœur Brûlé ( en correction)

Trente-neuf : Antiques secrets.

Je lève mes sourcils choquer par ce qu'il venait de dire.

Hamza : tu vois je t'avais bien dit.. qu'elle traîtresse !

Vanessa : tu as essayer de tuer mon frère alors qu'il t'aime avec tout son cœur espèce de sorcière.

Moi : père, il dit n'importe quoi.. je n'étais pas avec Hares et-

Il me fait signe de me taire.

mon père : tu t'es rallié avec ennemi pour tuer un des nôtres...?

Je tourne la tête négativement, je ne réalisait toujours pas le retournement de situation que adan avait réussi à faire.

Moi : c'est pas vrai, tu vois très bien que c'est un menteur regarde mon état, je tient même presque pas debout puisque j'ai encore son médicament dans mon sang.

Adan : tu peut vraiment être mauvaise à ce point ? Je t'ai aimer sincèrement myra mais vraiment, je ne comprend pas qu'est-ce que je t'ai fait de mal pour que tu m'attaque... de plus pas avec n'importe qui, avec le pire ennemi à ton père, celui qui a causé la mort de ta mère.

Moi : comment tu peut renverser la situation de la sorte ? demandez au maire, il était présent ! Malheureusement il était blesser a cause d'un de ses hommes.

Adan : le maire ? Rire nerveux tu la tuer avec tes propres mains putain !

Crie t'il.

Moi : pardon ?

Adan : vous avez tuer la moitié de mes hommes... sans pensé que ces hommes la avaient, une femme, des enfants, une famille...

Moi : rire nerveux arrête de faire la victime en l'espace de quelques minutes tu as perdu toute crédibilité suivi de tes couilles, même si elles étaient toujours absentes. tu m'a paralysé le corps avec tes seringue, toi et ta femme de ménage vous m'avez injecté plein de merdes dans mon corps !

Mon père : où est-elle ?

talia : je suis là monsieur.

Elle nous rejoins, elle était pas très loins et écoutait notre conversation depuis la cuisine.

Moi : dit leurs ce qu'il s'est passé ?

Talia : s'il vous plaît ne me tuer pas ...

adan : ne t'en fait pas cette fois-ci elle ne va rien te faire.

Je souris ironiquement.

Moi : c'est une mise en scène j'espère ?

mon père : laisse la parler, que s'est-il passé ces trois dernier jours ?

Talia : eh bien.. monsieur adan était super triste, j'avais peur qu'il tombe dans une dépression, j'ai essayer de le réconforter comme je pouvais... mais aujourd'hui cette demoiselle est venu accompagné d'un homme, ils étaient tous les deux armé et nous ont tous attaqué.

Je suis ébahi tellement j'en perd mes mots, leurs degrés de mensonge est tellement puissant que j'aurais dû prévoir qu'il pouvait avoir ce genre de retournement de situation.