Ce petit emmerdeur est super doué à Mario. Je n'ai gagné qu'une seul partie sur sept, ce qui me met vraiment en rogne. Mais bon, ce n'est pas ma faute, il est tellement séduisant que je n'ai pas reussis à me concentrer:
" Je t'avais dit que tu allais perdre. dit-il en se moquant de moi.
- Nan mais c'est bon, c'est pas ma faute.
- C'est la mienne alors!?
- Oui... dis-je timidement."
Il ne répond pas à ma réponse. Il resta silencieux, immobile. Ce silence, qu'il avait pour habitude de faire depuis que je le connais. Au bout d'un moment, il s'exclame enfin:
" Bon, je vais y aller.
- D'accord...
- C'était une super soirée, merci.
- Merci à toi."
Il se lève, je fais de même et le rejoins jusqu'à la porte d'entrée. Je lui ouvre, et il s'éloigne. Sa silhouette devient de plus en plus brouillon dans la nuit. Je sors dehors et le rattrape:
" Tiens, c'est mon numéro! dis-je en rougissant.
- Ho merci. dit-il également les joues légèrement rosées."
Je souris et rentre à l'intérieur. Avait-il rougis, ou alors avait-il juste chaud. Et est-ce qu'il a passé une aussi bonne soirée que moi. M'as t-il apprécié? Que des questions sans aucune réponses évidentes.
"BZZZ, BZZZ"
Mon téléphone. Je le sors de ma poche. Je viens de recevoir un message: " Super soirée, j'espère remettre ça le plus rapidement possible. Bis, Léo."
Il avait donc adoré, à moins qu'il ne me dise ça que par politesse. Je ne sais plus quoi penser. Il se fait tard, je vais aller me doucher, puis me coucher.
Je me regarde, mon reflet du miroir comme voulant prendre ma place, nu attendant que l'eau de la douche se réchauffe. Je vérifie qu'elle soit assez chaude pour moi plusieurs fois, et à la 3ème tentative, je me permet de mettre mon corps dénudé sous l'eau chaude. L'eau me fouette le visage, pour venir couler doucement le long de mon corps. Je revisionne les moments de ma journée, et plus particulièrement, ceux avec Léo. Au magasin, quand nos mains se touchaient, ma main qui maintenant glisse le long de mon corps pour se retrouver près de mon torse.
Le moment, où pour me faire perdre, Léo mis ses mains pour me chatouiller, au niveau du nombril, ce qui à ce moment me destabilisa. Au nombril, là où ma main continu de descendre au contact de l'eau sur ma peau douce.
A ce moment, où en voulant reprendre à manger, il a posait sa main sur mon entre-jambe, qui avait répondu au contact de cette pression. Ma verge est tout aussi dur, en repensant à cet instant, mais cette fois ci, ma main peut se poser sur mon sexe tendu. Je me mis a faire des va et viens de plus en plus rapide. Ma respiration commence à être de plus en plus saccadée, ce qui provoqua mes gémissements. J'allais de plus en plus vite, je pensais de plus en plus fort à Léo. Ces moments de contact entre nous, étaient sans explications des plus exitant pour moi à ce moment. Je sens le sperm montait mais il n'est pas encore là, je me mastutbe encore plus intensément, quand je repense au moment où Léo m'a donné une claque aux fesses, ce qui me fit instantanément éjaculé. Un liquide blanc, en quantité raisonnable, coule, le long de ma jambe, mélangé à l'eau.
Je m'assois sur le sol de ma douche, l'eau me tombant toujours dessus, à bout de force. Je prends mon gel douche, me savonne comme je peux et me rince.
Je finis par m'étendre sur mon lit, nu n'ayant pas la force de m'habiller.
"BZZZ, BZZZ"
Mon téléphone vibre encore, je regarde l'heure, il est actuellement 10:26. Je me lève, ouvre mes volets. Je remarque la voisine à la fenêtre d'en face, je la salue poliment, mais elle fait une drôle de tête et se dépêche de refermer sa fenêtre. Je ne comprends pas. Je décide d'aller prendre mon petit déjeuner, en sortant de ma chambre, je me regarde dans un miroir, et je comprends donc maintenant la réaction de cette vieille dame. J'étais encore nu. Je mets un short accompagné d'un T-shirt. Je dévale les escaliers et prends mon "ravitaillement" du matin et me dépêche pour ne pas croiser le petit ami de ma mère. Je mange sur le pouce, bois mon verre de jus d'orange. Je choisi ma tenue du jour. Je opte pour un pantalon large noir et une casquette de la même couleur. Un T-shit oversize beige. Une sacoche blanche et des chaussures de la même blancheur, accompagné d'une petite touche de couleur chair.
