Hello mes potatoes ! Comment vous allez ?
Voici un chapitre avec une révélation de malade.. Je pense..
Bref bonne lecture à vous
-----------------------------
Thomas
J'emmenais Théo au loat. Le pauvre, à venir ici tard dans la nuit et à pleurer... Je jure que je vais défoncer cette s*lope. Faire du mal à Théo, l'homme que j'aime ? Celui qui compte le plus pour moi ? À un feu rouge, je tourne la tête vers lui. Le voir comme ça, des cernes plus longues que des tranchées, le regard vide... ce n'était plus le même. Ce n'était pas le Théo souriant, le plus beau sourire que le monde a porté, le Théo qui sort des blagues douteuse, faisant rire tout le monde, bref vous avez compris. Je me reconçentra sur la route. Le trajet fut silencieux, trop silencieux. On arriva devant le bâtiment, chargé de souvenirs. Je me garai et lui demandai :
- tu veux que je reste avec toi ?
- je... oui s'il te plait.
- ok par contre, il faudrait juste que je finisse un truc dans mon studio, dis-je en lui souriant.
- ok t'inquiètes..
Je descendis de la voiture et entrai dans l'immeuble, acccompagné de Théo. On prit l'ascenseur, et l'ascenseur monta. Théo était toujours silencieux. On traversa le couloir pour arriver dans l'Open space. Jordan et Théodore étaient présents, aise sur le canapé. Sans leur jeter un regard, je rejoignis mon studio. (Pardon de vous regarde encore revivre ce moment mais je suis obligée). Je discuterais avec eux plus tard, je ne vais pas laisser Théo seul trop longtemps. A cause de ce qui s'est passé avec sa dépression, il ne faudrait pas que ça recommence. Je fis ce que j'avais à faire, (c'était pas intéressant). Puis, une dizaine de minutes plus tard, j'alla dans le studio de mon ami. La porte était verrouillé. Je toquai. Pas de réponse. Après quelques secondes d'hésitations, je demandai, perplexe:
- Euh... Théo, tu es là ?
J'attendis quelques secondes, quand j'entendis une personne se diriger vers la porte. Elle s'ouvrit légèrement, et j'aperçus la tête de Théo à l'embrasure de la porte. Quand il m'aperçu, il ouvrit entièrement et se poussa pour me laisser entrer. J'avançai et il se laissa tomber sur son canapé. Je lui demanda, curieux de savoir pourquoi il avait verrouiller la porte:
- mec, pourquoi t'a verrouillé ?
- pour rien, t'inquiètes
Je le regardai, pas convaincu, puis m'assis à côté de lui.
- tu sais que tu peux tout me dire ?
Il eut un moment d'hésitation avant de me répondre:
- c'est Théodore... Je ne veux pas qu'il me parle... A cause de lui-
Il ne finit pas sa phrase. Il a éclaté en sanglots. Inquiet, je mit mon bras autour de son épaule et le rapprocha de moi.
- qu'est-ce qu'il a fait ?
- c'est à cause de lui qu'elle m'a trompé... parce que je traînait trop avec lui...
- tu sais, ce qu'elle a dit, ce sont que des excuses. Elle veut se justifier de t'avoir blesser, alors que ce n'est que de sa faute à elle. Théodore n'y est pour rien. Alors écoute moi. Tu es beau, drôle, même si t'es un peu cringe des fois, intelligent.. Bref tu a plein de qualité. Ne la laisse pas gâcher toutes ses qualités a cause de cette poufiasse. Tu mérite tellement mieux.
Comme moi par exemple, mais ça je ne lui dirais jamais... Je le pris dans mes bras, une étreinte douce, chaleureuse. Je le laissa pleurer. Il en avais besoin, de relâcher cette pression qu'il avait depuis quelques jours. Je l'entendis marmonner: