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On arrive devant le garage et les deux gardes qui se trouvaient normalement ici ne sont pas là. Étrange. Mon frère ouvre la porte et la tient me faisant passer devant lui. Gentleman.

(étant plus jeune, et jusqu'à maintenant d'ailleurs, ma mère passe toute ses journées à lui apprendre à être un véritable gentleman avec les femmes. Et elle a réussi à en crée un.)

On arrive devant une porte grise avec la peinture qui se retire un peux. Bizzard pour une maison géré par ma mère qui ne laisse rien dépasser, jusqu'au placement au millimètre du vase à l'entrée qu'elle avait pris une heure à mettre en place.

Aaron me regarde l'air de m'inviter à ouvrir la porte et à passer en première.
Je dépose ma main sur la poignée froide en métal dorée, en appuyant dessus elle grince et la porte aussi quand je me met à la pousser pour l'ouvrir.

En ouvrant totalement la porte, je découvre un escalier en béton qui mène vers je ne sais où.
Je me tient au mur en béton froid et continue de descendre avec mon frère qui me suit de près.

Je pose enfin un pied au sol et allume la lumière car il faisait totalement noir dans la pièce. En l'allumant je suis surprise de voir quelqu'un assis au milieu de la pièce vide et sans âme.

-va le réveiller. Me dit mon frère en s'asseyant dans les escalier et en sortant un join pour le fumer.

J'avance doucement vers l'homme qui est totalement attacher à une chaise et aussi totalement inconscient. Sa carrure et ces cheveux me disent vaguement quelques choses et je ne vais pas tarder à savoir quoi. J'arrive devant lui et ne sais pas quoi faire. Je retourne vers mon frère qui m'observe.

-je fais quoi ?
-réveille le je t'ai dit
-mais comment ?
-fou lui une tarte dans la geule il va se réveiller.
-sûrement pas non. Y'a pas d'autre maniére ?
-on attend. Me dit il en soupirant
-ok

Il lève les yeux aux ciels tandis que je fait le tour de la salle avec mes yeux. De loin j'ai l'impression d'apercevoir un paquet de carte. Je m'avance vers celui si et le récupère. Je retourne voir mon frère et lui agite le paquet de carte au visage.

-une partie ?

Il hésite un peux, puis se lève. On s'avance devant la chaise ou se trouve l'homme encore endormit et on s'assoit par terre. Je tend le paquet de carte à mon frère pour qu'il les mélange.

Il pose le paquet de carte par terre et je sépare en deux partie, il reprend celle que je lui ai designer et les distribue 14 carte pour moi et 15 cartes pour lui.

On va jouer au rami. Pour ce jeux il faut 98 cartes, le but étant de faire soit dès suite du meme signe, soit des triplés ou des quadruplés.
On pioche chacun notre tour une carte de façon à en avoir 15 puis on en jète directement une autre pour revenir a 14.
Pour commencer à poser il faut faire minimum 51 points ou tapis.

Au bout d'une vingtaine de minute de jeux, Aaron commence à poser ces cartes et il ne lui en reste finalement que 2. On commence à discuter et il me demande :

-tu sais qui c'est lui ? En me parlant de l'homme sur la chaise.
-il me dit quelque chose mais je sais plus.
-comment tu peux faire du droit et avoir une aussi courte mémoire.

Je ne suis pas trop la conversation étant trop stresser par la partie. J'ai une petite absences et je ne réfléchis pas en posant mon jeux faisant environ 10points de plus que mon frère. Mais il me reste 5 cartes tandis qu'il lui en reste 2.
Il regarde son jeux d'un air malicieux et me nargue. Il pioche la carte et prend une mine excessivement choquée.

-ta gagné ? Répétais je un milliard de fois sous le stresse alors qu'il me nargue.

Il pose un 7 de trèfle pour récupérer le joker que j'ai mis dans ma suite, il hésite ensuite a savoir quel carte il jette pour me mettre en colère. Il finit par poser le 2 de carreaux juste avant le 3 puis dépose le joker à l'envers sur la pile pour marquer sa victoire.

Ça me met hors de moi, mauvaise perdante que je suis, qu'il gagne, et en plus en jetant un joker. Une carte si rare qui donne tout les pouvoirs à celui qui l'a posséde. Il me regarde, un sourire narquois afficher sur ses lèvres et frotte sa main dans mes cheveux de quoi me décoiffer.

-tu na pas encore la technique pour vaincre le maître sorellina.

Je lui grimace et le regarde mal, il est insupportable.
Je suis mauvaise perdante mais il est tout aussi mauvais gagnant.

-j'en suis sûr que t'a tricher de toute façon !
-t'aurais pas dut dévoiler ton jeux aussi rapidement gattina. La vois de l'homme me fit sursauter et mon frère effaça son sourire d'un coup pour laisser place à un visage fermer.

Je reconnais cette voix, et se surnom, gattina. C'est mon kidnappeur, alors mon père avait dit vraie quand il a dit que si quelque chose m'arrivait il ferait du mal à la personne.

-l'appel pas comme ça. Lui dit sévèrement mon frère.

Je quitte mon frère du regard en me tournant vers celui qui transperce ma peau avec ses yeux. Il a relever sa tête et se tient bien droit.

-ca fait combien de temp que t'es conscient ? Lui demandais je en me levant.

Il me regarde de bas en haut sans rien dire. Je me sens mise à nue devant lui, son regard insistant sur moi me brûlant la peau. Je ferme ma veste comme pour me cacher derrière.
Mais tout ça est couper par mon frère qui s'interpose entre nous en se mettant devant moi.

-tourne ton sal regard Ayden. Lui crache mon frère.

Ayden. Il s'appelle, Ayden. Son prénom est magnifique. C'est un prénom de briseur de cœur. Il a dut en briser vue le charme qu'il dégage. Je ne peux m'empêcher de me mettre à côté de mon frère pour dire :

-Ayden, alors tu t'appelle Ayden.

Prononcer son prénom me fait sourire. Mais je le cache vite craignant que mon frère me fasse partir sans que j'ai eu les réponses à mes questions.
Mon frère, s'avance vers lui.

-tu voulais voir ce qui se passe ici ? Et bien tu va voir. Me dit mon frère avant de se retourner vers notre inviter.

Je fronce les sourcils ne comprenant pas de quoi il parle puis d'un coup je sursaute en voyant le coup que mon frère vient de mettre à Ayden. Une part de moi a envie de l'arrêter mais celle qui prend le dessus est celle qui veux prouver à mon frère que je suis prête à connaître la vérité. Quoi qu'il en coûte.

Ayden / my virginity Où les histoires vivent. Découvrez maintenant