Chap.1 : L'élève en question

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-EIJI: Mère ! Père ! Regardez, ils m'ont accepté à Kibôgamine !

-Père: Ah oui ? Étrange, je ne savais pas qu'ils acceptaient les abrutis dans ton genre !

-EIJI: Père.. tu devrais être content pour moi ! Que j'ai réussi !

-Père: Pff ! Tout ce que je vois en face de moi, c'est un raté qui croit que parce qu'il tient un bout de papier, il va réussir sa vie !

-EIJI: De toute façon, rien n'est assez bien pour toi, père.

-Mère: EIJI ! Ce n'est pas une façon de parler à ton père !

-EIJI: Père n'a su que m'insulter, me décourager et me crier que je ne faisais jamais rien de bien ! Je le méprise ! De toutes mes forces !! Sans me retourner, je fonce dans ma chambre.

-Père: Pff, cet imbécile.

-Mère: Hé ! Je te signale que c'est ton fils, NOTRE fils !

-Père: Ouais ouais, dis ce que tu veux, vieille femme ! De toute manière,tu me fais passer pour le méchant, mais on sait tous les deux que tu n'en voulais pas de cet enfant !

-Mère: Tu.. tu ! Tu sais quoi, va te faire voir ! Espèce de sale--

Et comme d'habitude, mes parents se prennent la tête tous les deux. Ils sont vraiment égoïstes ! Vivement que je parte.. oh ?

-EIJI: Mais d'ailleurs, c'est quand, mon départ à Kibôgamine ? Hein ? QUOIII ?! «Rentrée à Kibôgamine :Lundi 28 Février 2042» ! Bon sang, mais c'est la semaine prochaine !!

Ok mon vieux EIJI, c'est le début d'une nouvelle grande aventure ! Il faut que je commence à préparer mes affaires, et que je me prépare à vivre.. ma nouvelle vie !

~Télévision~: «Aujourd'hui encore, plus d'une quinzaine d'étudiants, se comportant entre 15 et 18 ans, ont disparus. D'après la police, leurs affaires auraient été retrouvées à l'opposé total de leur lycée respectif..».

-Père: Pff, sales gosses, quel idée de se pavaner aussi loin aussi ! Ça leur apprendra tiens. C'est toujours pareil avec eux, on les berces, on les nourris, et voilà le retour !

-EIJI: Bon, il est grand temps de dormir maintenant.

J'ai hâte d'y être, je me demande si.. j'aurais des amis ? ... Bref, j'aurais tout le temps nécessaire d'y réfléchir plus tard. Et puis, jusqu'ici, je me suis plutôt bien débrouillé pour me trouver des amis fiables, de confiance.

- (Une semaine plus tard)

- (Le jour J. Maison des NAKAMURA)


Ça y est, c'est enfin le grand jour. J'ai bien cru mourir d'attente à cause de mon impatience.

{Nouveau défaut : Peut parfois se montrer impatient}.

-EIJI: Bon, ça y est. Mère, je... je suis désolé si j'ai pu un jour te blesser dans mes paroles.

Ça ne se voit pas au premier coup d'œil, mais.. je crois qu'elle verse une larme.

-Mère: Mon fils.. prends bien soin de toi.

-EIJI: Oh ! Mère... je--

-Mère: Ne t'en fais pas, ça ira pour moi, préoccupe-toi plutôt de toi. Oh et surtout, n'écoute pas les sornettes de ton fichu père. Ce minable ne sait pas ce qu'il rate, allez, va, et bonne chance.

-EIJI: Merci infiniment mère, pour tout !

Je ne l'avais jamais vue comme ça aupart avant. Je prends mon courage et toute ma détermination, puis, prends ma valise et monte dans un taxi. Au revoir, vie d'avant.

DANGANRONPA: Le manoir des meurtresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant