Ce qui fait la faiblesse de l'homme? Les regrets de son passé.
Et pour d'autres, la haine d'une vengeance que l'on se veut assouvir depuis bien trop longtemps.
Elle représente ce qu'il haït par dessus tout:
la richesse.
Il est le refl...
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|Place|-Temple- |Town|-Busan: Northeast of the border-
~*.:🤍:.*~
|Hour| 07:55
L'étage où résidait l'escouade fantôme était calme. Le silence régnait en maître entre les murs de la bâtisse. Et ce calme presque mortuaire était quelques fois troublé par le bruit des gouttes d'eau s'écrasant sur les vitres du temple, et à cette heure, personne ne semblait éveillé. Enfin, presque personne.
Le grésillement du feuillage dans le vaste labyrinthe, troublait le calme presque déconcertant de la forêt, comblé par le bruit sourd de ses Nikes écrasant activement le sol rocailleux. Sa respiration saccadé, qui peiné à se frayer un chemin entre les parois de sa trachée, augmenté à chaque fois que l'effort devenait rude. Et la sueur qui glissait lentement sur ses tempes était preuve d'efforts surhumain. Effectivement, le ténébreux était en activité depuis fort longtemps ce matin, n'ayant pas réussi à fermer l'œil de la nuit. Car faire la route au beau milieu des ténèbres s'avérait harde, surtout lorsque le tout se poursuivrait par la suite, d'un entrainement intense. Il trottine lentement jusque devant le portillon en métal de la demeure, puis saisit le code, avant d'entré dans la propriété. Il se fraie un chemin dans le parking souterrain, ne souhaitant perdre de temps; puis il se hâte dans les escaliers, tout en joignant ses deux mains à sa veste. Il laisse glisser le zip jusqu'à défaire la liaison des deux côtés de son vêtement, puis le retire complètement. Il sort sa clé magnétique de sa poche et déverrouille l'accès. Le jeune homme constate qu'absolument personne ne donnait signe de vie, signifiant qu'ils dormaient tous à poings fermés. Il avance un peu dans le corridor, et retire ses basquettes, avant de se diriger à pas de loup en direction de sa chambre. Une fois à l'intérieure, Jungkook retire son vêtement, révélant une carrure intimidante aux muscles sculptés, ornés de cicatrices plus où moins profondes. Chacune d'elles porteuses d' évènements et souvenirs qui ont forgé son histoire. Mais l'encre indélébile qui surplombait le tout était signe de renaissance, comme une reconversion du passé du jeune homme. Il continua de faire glisser ses vêtements un à un, ne gardant que son sous-vêtement Calvin Klein, avant de se laisser trainer jusque dans sa salle de bain. Il dépose brusquement ses mains sur le lavabo, le regard vidé d'émotions, scrutant sa personne dans la glace. Il laisse son regard couler lentement sur ses traits, détaillant son minois, et plus particulièrement ses longueurs qui lui brouillaient la vue.
~Je devrais me faire un dégradé, où juste enlever toute cette longueur...?~.
songe-t-il. Puis sans hésitation, il saisit la tondeuse électrique présente dans sa trousse de première nécessité, déposé juste à sa droite. Il met en marche la machine, et commence alors à couper ses mèches, s'appliquant le plus possible pour avoir un rendu qui le satisferait.
