Laisse moi une chance

🛬 Chapitre 1 🏡​

Coucou petit(e) lecteur/trice !

Je suis ravie de te retrouver pour ce second tome ! J'espère qu'il te plaira autant que le premier !

Si tu es nouveau, bienvenue à toi ! 

Bonne lecture, n'hésite pas à commenter si il y a des erreurs ou même des TRES grosses fautes qui t'empêcherait vraiment de lire la suite. Je suis désolée par avance si tout n'est pas bien conjuguer :(

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Julien

Il était encore tôt ce lundi matin lorsque j'empruntais la sortie d'autoroute, je m'empresser de baisser ma vitre et d'allumer une clope dont je tirais une bonne latte. La brise matinale m'apaiser, je me sentais seul au monde et ça faisait du bien. Seul mes pensées et moi. J'espérais avoir fait le bon choix, même si ce n'était pas le cas, il me suffirait de remballer mes affaires et repartir à l'autre bout du monde continuais mon périple.

Je ralentis la voiture et enclencher mon clignotant à droite, je continuais de suivre la route, passant à travers champs. Lorsque je passais devant le fameux panneau qui indiquer la ville, je souris bêtement.

- Me revoilà de retour au bercail.

Huit années ont passer depuis que j'ai quitter la maison pour suivre ma propre voix. Je n'ai presque jamais remis les pieds ici ensuite. Je ne venais que pour les grandes occasions, les anniversaires, noël, les naissances. Mais, je ne restais jamais bien longtemps, et j'évitais tout contact en dehors de la maison. Dés que la fête été fini, je reprenais un vol direction le premier pays venu.

Je tournais à gauche au bout de la rue qui m'étais plus que familière, balançant mon mégot de cigarette au passage. Il été un peu plus de cinq heure et demi lorsque je me garer enfin, le coffre pleins à craqué, devant ma maison d'enfance. J'avais préféré prendre un vol de nuit pour arriver le plus tôt possible, j'étais exténuer, mais ce n'était que le début de la journée.

- Mince ! J'ai oublié de la prévenir ! dis-je en me tapant le front sur le volant.

La maison était plongé dans le noir total, ils étaient certainement en train de dormir encore, bordel. Le quartier tout entier était silencieux, pas un chat à l'horizon. Je soupirais, fermant un instant les yeux ma tête reposant sur le volant. Je relevais la tête au bout de quelques minutes et patienter observant la maison. Vue de l'extérieur elle avait bien changer cette maison. L'allée était de nouveau entretenue, l'herbe était tondu et des rosiers avait été planté de part et d'autre de la porte d'entrée. Une lumière attira mon attention, tiens c'est la lumière des toilettes ça. Elle s'éteignit presque aussitôt, puis quelques secondes après, celle de la cuisine s'alluma. Je reconnu sa silhouette au travers des rideaux. 

Je pouvais enfin me dégourdir les jambes, j'ouvrais la portière et la refermer doucement. Je m'étirais faisant craquer mon dos. Puis, sans faire de bruit, je remontais l'allée. Je me racler la gorge tentant de faire passer la boule qui s'y était former. Je pris une grande inspiration et toquer trois petit coup sec à la porte. 

Je l'entendis approcher et regarder dans le judas. Je lui offrit un grand sourire et un petit cris retentit avec le bruit des clefs qui tourner rapidement dans la serrure. La porte s'ouvrit brusquement envoyant une bourrasque de vent nous décoiffer Elle et moi.

Elle prit la pose du tableau d'Edvard Munch, le cri. Je n'étais pas rester longtemps inculte, j'ai travailler dans un restaurant où le patron aimait l'art, il y'en avait un comme ça accrocher.