]°. DIX-HUIT .°[

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Des sanglots résonnaient dans la chambre blanche de l'hôpital où se trouver le jeune Choi Beomgyu, entouré de tous ses amis, qui étaient tous abasourdit par la vérité que le malade venait de leur révélé. 

Personne n'auraient cru que le jeune homme qui semblait le plus heureux du monde était en réalité, l'une des plus malheureux de celui-ci. C'était compliqué pour ses amis d'encaisser cette nouvelle, de prendre conscience du fait que le Choi n'avait rien fait pour combattre sa maladie car la vie avait eu raison de lui et que eux, n'avaient rien vu venir.

Ils se sentaient coupables pour ne pas avoir vu sa détresse, pour avoir souvent évoqué leur mal-être sans lui demandé le sien, pour ne pas l'avoir aider un peu plus. Pourtant, ils savaient aussi qu'ils n'y étaient pour rien, que l'illusion de joie qu'avait crée le cancéreux était faites pour dupé toutes personnes qu'il rencontrait. La seule personne que pouvait voir à travers cette fausses apparence était son créateur lui-même, et il avait décidé de garder son chagrin pour lui seul, pensant que seul ses amis réussirai à le réconforté. 

Mais, même eux, qui étaient dans l'ignorance, n'avait pas réussi à chasser cette coquille débordant de faux sentiments que Beomgyu portait, alors, il avait choisi de ne plus continuer, d'en finir ici car il n'avait plus la forte de continuait à entretenir ce mirage devenu trop lourd pour ses pauvres épaules maintenant trop faible à force de tout garder pour lui. 

Néanmoins, le chauve n'en n'avait jamais voulu à ses amis de ne pas avoir remarqué son faux sourire, son faux espoir, son faux rire, son faux lui tout entier. Il savait, grâce à cela, que sa tromperie marchait à la perfection, que personne ne verrai jamais son mal-être. Et, il était satisfait de ça, il était heureux car personne ne percerait son imposture pour tenté de le sauver en vain, car, cette personne assez courage pour essayait l'impossible finirai blessé et repartirai, s'éloignant de l'ancien brun et lui créant un nouveau malheureux qui ne pourras jamais être soignait. 

- Tu, commença d'une voix timide et hésitante le bleuté, Tu as été courageux Gyu', bravo. Tu mérité de te reposé. 

Les yeux humide du malade se levèrent doucement en direction de son ami qui venait de prononcer ses quelques mots pourtant si simple, mais tellement bon, tellement réconfortant pour le petit enfant qui était enfermé à l'intérieur de ce jeune étudient si mature. 

- Tu as été super Gyu', tu as le droit de fermé les yeux si tu veux. Enchaîna le plus vieux en serrant ses poings, retenant ses larmes de coulaient face à la tragédie qui allait se déroulait devant eux. 

- Plus de disputes, plus de bagarres, plus de mensonges. Tu as été extraordinaire, malgré tout, Hyung... Souffla le plus jeune en essuyant du revers de sa main les larmes qui dévalaient sa joue sans vouloir s'arrêter. 

- Tu... Hésita le blond en triturant ses doigts la tête baissait. Je peux pas. Désolé Beom', j'arrive pas. J-je... Je m'en veux tellement pour pas l'avoir vu, ne pas avoir aperçu cette peine dans ton regard. J'arrive pas à accepter ce que les autres acceptent, je t'aime, et savoir que, tu seras pas là, à mes côtés pour le reste de ma vie. Je te jure, ça fait super mal au cœur, ça fait tellement mal et j'arrive pas à faire taire cette douleur, la diminuer, c'est impossible. 

Le jeune Kang se rapprocha de son ami d'enfance, les larmes inondant son visage ainsi que ses yeux, il essuya comme il pu l'eau qui le dérangeait pour voir la visage angélique et attristé de son vis-à-vis, puis, il lui pris délicatement les mains en encrant son regard dans celui de qui il était tombé amoureux. 

- Pourtant, même si je sais que j'y arrive pas, que j'ai putain de mal là, dit le Kang en mettant l'une de ses mains sur sa poitrine, juste au dessus du cœur. Même si je sais que, je préfère mourir que te perdre, j'accepterai. J'accepterai car, tu mérites du repos, tu as le droit de choisir ce que tu veux faire de ta vie, tu as assez subi cette vie qui devint trop dur pour toi. J-je sais que, que je t'en voudrai de pas avoir essayer un peu plus, de pas être rester encore un peu plus pour que l'on vivent notre histoire qui n'a même pas encore commencé. Il renifla alors que le visage envahit de larmes du Choi en face du blond semblait se détendre mais aussi se tordre de joie mélangé à de la tristesse. Je sais que j'aurai du mal à m'en remettre, que je risque de te haïr au début, de t'insulté de lâche, d'égoïste, mais malgré ça, je sais que, que ça ne durera pas, que je vais cesser de te détester car au fond, je t'aime, et je te comprends qu'importe les décisions que tu as pu prendre, qu'importe le mal que tu m'as fait, qu'importe la fin de notre histoire déjà terminé, je te comprendrai toujours... Conclu Taehyun en prenant le chauve dans ses bras comme si le tenir fort ferai disparaître toutes tristesse, toute maladie, comme si il pouvait le sauver en lui donnant tout son amour. 

𝑱𝑢𝑠𝑡 𝑻ℎ𝑒 𝑬𝑛𝑑 | 𝚃𝚇𝚃Où les histoires vivent. Découvrez maintenant