J'étais encore une fois avec mon balais sur le terrain de Quidditch, voltigeant juste pour le plaisir de sentir le vent fouetter mon visage, le laissant aussi se faufiler à travers mes cheveux -peut-être qu'en me le répétant ce sera vrai ?
Flashback:
J'étais allongé sur le divan de la salle sur demande, réfléchissant à la révélation que je venais d'entendre de la bouche de la personne que j'avais longtemps considéré comme mon grand-père.
J'étais sorti prendre l'air après un énième cauchemar envoyé par ce cher Tom, assistant à une réunion rythmée par des coups de Doloris qui a conduit à la mort certains sujets du dernier rang me semble-t-il; grâce à leurs masques dépourvus d'un piètre ornement.
Lorsque je revenais des cuisines après avoir remercié les elfes de Poudlard de me donner de l'eau. Entre nous, je pense que le simple fait d'aider le Sauveur du monde sorcier d'une quelconque manière était un honneur. Pendant que je divaguais dans mes pensées, je fus sorti de mes songes par deux voix très familières. C'était le directeur Dumbledore en train de discuter avec le professeur Snape, qui, fidèle à lui-même, arborait une expression froide et neutre.
Je me rapprocha d'eux tout en mettant un sort de silence autour de moi. Leur conversation était elle aussi sous ce sort mais cela ne me dérangeait pas plus que ça. En effet malgré le fait que Voldy me torturait mentalement, même si je me suis rendu compte qu'il ne savait pas pour notre connexion et que j'étais dans son esprit que lorsque il ne maitrisait plus ses émotions.
Cela m'a donc permis, à, moi, Harry Potter, élève de 7ème année, de réussir à entrer dans son esprit; j'étais un bon Legilimiens, voir même très bon compte tenu du fait que je ne sois pas fait débusquer jusqu'à maintenant. J'ai donc découvert que, outre le fait que je pouvais parler aux serpents grâce au fourchelangue, je pouvais aussi jeter des sorts en les ordonnant.
Tout le monde pense que je suis nul en cours, ou, à la rigueur très moyen; mais, comme toute personne qui a vécu dans un placard les dix premières années de sa vie, qui se fait battre au moindre écart de conduite, qui est souvent en mal nutrition car on ne lui donne pas les nutriments nécessaires pour avoir un corps à peu près normal, qui est donc maintenant à 1m60 de taille, qui est traité comme un elfe de maison, même si je pense qu'il y en a pas eu beaucoup dans l'histoire, je ne fais confiance à personne d'autres que moi-même.
Donc, je bride mes capacités depuis tout petit. D'abord, à cause de Dudley car Oncle Vernon et Tante Pétunia qui ne veulent pas qu'un anormal réussisse à faire mieux que leur cher Dudleynouchet et ce dans tous les domaines. Avec mes proches comme Ron ou Hermione car d'une part Ron sera encore plus jaloux que la fois où j'ai été choisi pour participer à la coupe de feu et montera une armée de Gryffondors contre moi à cette seule raison; et d'autre part Hermione qui veut prouver sa supériorité à nous avec son intelligence accrue et son esprit vif; ils pensent pouvoir mériter leur place aux côtés de Harry Potter et non de Harry, juste Harry. Et enfin avec les professeurs car je suis sûr que s'ils découvraient toute l'étendue de mon potentiel magique, ils voudront faire des expériences sur moi ou essayeraient de me pousser dans mes retranchements, jusqu'au bord de l'évanouissement, jusqu'à en épuiser toutes mes réserves magiques.
Bref, revenant à la discussion. Je me concentrais sur elle et je pus en entendre la majorité de la conversation.
Snape: Pardon ?! J'espère que vous rigolez Albus !
Dumbledore: J'aurais vraiment aimé, croyez-moi mon ami. Mais c'est ainsi.
Snape: Tel est le sort de notre cher héro, quelle connerie!
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Être moi-même...
FanfictionJ'étais encore une fois avec mon balais sur le terrain de Quidditch, voltigeant juste pour le plaisir de ressentir le vent fouetter mon visage, le laissant aussi se faufiler à travers mes cheveux -peut-être qu'en me le répétant ce sera vrai ? Les pe...