« Je savais pas qu'il y avait une base sous marine à New York ! C'est génial ! Mais pourquoi on m'y a amener de force ? Et puis d'abord qui m'a amener ici ? »
« Je comprend que tu ais plein de questions j'étais comme toi quand on m'a amener ici mais tu vas devoir attendre encore un peu. Viens suis moi ! »
Et ils repartirent dans le dédale des couloirs.
***
Ils s'arretèrent devant un renfoncement dans un mur qui semblait être une porte futuriste comme il en avait vu des centaines le long des différents couloirs.
« Voilà on y est. C'est ta chambre ! » lui dit Alicia avec un grand sourire.
« Tu es l'un des seuls à pouvoir l'ouvrir. Vas y ! Tu ne risques rien ! »
Il n'avait absolument aucune idée de la façon dont il devait procéder pour ouvrir cette porte quand il aperçu sur le côté droit de la porte un carré émettant un faible lumière bleue. Se rappelant de la façon dont avait ouvert la porte de sa cellule il posa sa main droite sur le carré et sans un bruit la porte coulissa puis se referma derrière eux.
« Bienvenue chez toi ! »
Lorsqu'ellle lui avait parlé de sa chambre il s'était attendu à trouver une pièce dans le style de la cellule qu'il venait de quitter mais cette pièce n'y était en rien comparable.
Cette pièce la était immense, bien plus grande que sa chambre à New York. A l'intérieur se trouvait deux grandes armoires, un mini salon et le lit le plus grand qu'il ais jamais vu.
« La salle de bain est par la si tu veux. »
Elle lui désigna une porte sur sa gauche, derrière se trouvais une salle de bain en marbre avec en son centre un jacuzzi circulaire de près de deux mètres de diamètre.
« C'est extraordinaire ! »
« Bon maintenant que tu as visiter ton nouveau chez toi viens t'asseoir que je t 'explique pourquoi tu es là et tout ce qui va avec. »
Ils s'assirent dans le canapé moelleux qui tronait dans un coin de la pièce.
« Tout d'abord contrairement à ce que tu penses nous ne sommes pas dans une base sous marine et nous ne sommes pas non plus à New York. L'Octopus est un sous marin d'une nouvelle génération hyper technologique. Il est capable de rester plus de 6 mois immergé en autonomie totale et de se déplacer à 150 kilomètre heure. Bon sinon en ce moment nous sommes au larges des côtes anglaises chinoises.
Nous faisons partie d'une organisation crée par le gouvernement des Etats Unis.
Cette organisation n'a aucune existance officielle ce qui lui permet d'agir dans le secret partout à travers le monde. »
« Agir ? »
« Notre objectif est de lutter dans l'ombre contre le terrorisme et de nombreux autres ennemis et ce par tout les moyens possible, en général par la force. »
« Bon et en imaginant que ce soit vrai qu'est ce que je fou ici avec une gamine qui s'imagine capable de sauver le monde par la force alors qu'elle fait un mètre vingt bras levés ? »
« Merci pour la gamine qui t'embete soit dit en passant. En fait nous ne sommes pas recruttés au hazard. Chacun de nous est différent des autres personnes Neil. »
« Tu vas me dire que quand tu t'énerve tu grandis et tu devient toute verte ? »fit il en ricanant
« Bon j'en ai assez entendu, je rentre a la maison allez au diable avec vos sous marin et vos différences ! »
« Neil calme toi ! Je sais c'est dure a accepter mais tu n'as pas le choix tu ne peut plus retourner chez toi. »
« Oh que si je peux et d'ailleur j'y vais ! » dit il en se levant
« Tu ne peux pas car tu es mort comme nous tous ! »
« Quoi ? Comment ca mort ? Tu va me dire que je suis mort et que je suis dans un vaisseau qui m'emmene au paradis et que tu es un ange qui m'escorte pendant que on y est ? »
« Bah à ce que je vois se serai plutôt toi l'ange... »
Il vit alors que ses ailes s'étaient déployées, déchirant son t-shirt, dans sa fureur.
« Nan ! Personne ne devait être au courant ! »
« Ne t'inquiete pas tu n'a rien à craindre ici ! Nous sommes comme toi. »
« Et bah tes ailes à toi doivent être sacrément petites parce que j'ai un peu de mal à les voir ! »
« C'est vrai tu as raison je n'ai pas d'ailes. Mais moi j'ai ça. »
Et elle tendit le bras, la main ouverte vers lui.
VOUS LISEZ
archange
Fantasy"Neil fut tiré de son sommeil, en sueur, par une vive douleur dans le dos. Il entrevit son réveil. Il était 2h33. Dehors tout était noir, le vieux lampadaire grésillant qu’il entrevoyait depuis sa chambre au 22e étage d’un gratte-ciel new-yorkais...
