Chapitre 38

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« La liberté commence où l'ignorance finit »



R A P P R O C H E M E N T







Et je pars.

Qu'est-ce qu'il me veut ?

Je me dirige vers la voiture de Farid.




J'entre dans sa voiture :




Farid : Ça va ?

Moi : Ouais

Farid : Attends, on ne va pas partir tant que tu ne me dis pas ce que tu as.

Moi : Je n'ai rien

Farid : J'ai tout mon temps. Dit-il en croisant ses bras

Je souffle

Moi : Je viens encore d'avoir une dispute avec Igor. Dis-je dépassée

Farid : Ignore-le, il cherche juste à attirer ton attention

Moi : Je l'ignore, mais bon, je n'ai pas trop envie d'en parler, démarre avant qu'il sorte s'il te plaît.

Farid : Ok vas-y je vais te faire changer les idées ma belle.

Moi : On va où ?

Farid : On va aller à Rome, Latium, on va faire une petite visite et après, on va manger dans un restaurant.

Moi : Trop bien !


Je vais vous passer le trajet...



Arrivé à Rome, Latium :




Moi : C'est tellement beau !

Il me regarde en souriant :

Farid : Pas aussi beau que toi

Moi : Tu me fais trop rire avec tes disquettes

Farid : Tu n'aimes pas ?

Oh que si j'aime bien !

Moi : Ça va, j'aime bien

Farid : Alors je vais continuer...

Je le regarde en souriant.

Farid : Comment les gars ont pu passer à côté de toi sah ? ( sérieux )

Moi : Hein ?

Farid : Quand je te vois, tu as l'aire d'une petite fille innocente à qui on vient d'apprendre la vie, tu mérites qu'on te donne tout l'amour que tu mérites Maeva.

Moi : Je le mérite vraiment ?

Farid : Bien sûr que oui.

« Si je t'aime, je t'aimerai jusqu'à te haïr » Où les histoires vivent. Découvrez maintenant