𝕋𝕒𝕚𝕘𝕒 𝕜𝕒𝕘𝕒𝕞𝕚 𝕩 𝕣𝕖𝕒𝕕𝕖𝕣 #𝟚 (𝕜𝕦𝕣𝕠𝕜𝕠 𝕟𝕠 𝕓𝕒𝕤𝕜𝕖𝕥)

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- Si tu veux qu'ils arrêtent de me regarder tu sais ce qu'il te restes à faire.

Après ces mots je me détache de lui et retourne dans le gymnase en compagnie des autres. L'entraînement reprend mais kagami n'a pas l'air très concentré et se prend quelques ballons en pleine tête.

- Kagami ! Qu'est-ce qu'il te prends ? Demanda Riko

- Rien coach ! Je suis juste un peu fatigué.

- Alors tu vas me faire le plaisir de dormir la nuit.

- Oui coach.

La fin de l'entraînement se passe plutôt bien pour kagami qui arrive à se reprendre en main. En sortant alors que je pensais rentrer tranquillement chez moi. Une personne avec une poigne énorme m'attrape le poignet. Il me tire derrière le gymnase et me plaque contre le mur.

- On va arrêter de jouer maintenant. Expliqua kagami.

- Arrêter de jouer à quoi ?

- Ne fais pas l'innocente tu vois très bien de quoi je parle.

Je m'approche de son oreille pour lui susurrer quelques mots.

- Non désolée je n'en ai aucune idée.

- Tu vas me rendre complètement fou t/p.

- Tu sais ce qu'il te reste à faire. Je sais que tu en as envie.

- Et puis merde.

Il me saisit par le cou et pose ses douces lèvres sur les miennes. Le baiser est bestial et endiablé. Nos langues se rejoignent et ne souhaitent plus se lâcher. Sa main sur mon cou exerce une légère pression qui me laisse échapper un petit gémissement. Putain c'est trop bon. Mes mains sont posés sur sa nuque et sa main libre vient se poser sur le creux de mes hanches. Je sens l'excitation monter en moi sans que je ne puisse la contrôler, j'en veux plus. Alors je sépare nos lèvres et vient le regarder dans les yeux.

- Taïga...

- Arrête de m'appeler par mon prénom comme ça je vais plus réussir à me contrôler.

- J'en veux... plus.

- Tu es sûre de toi ?

- Oui.

- D'accord mais pas ici. J'ai gardé les clés du gymnase.

Début du lemon

On rentre dans l'enceinte du bâtiment main dans la main. Il me tire vers une petite salle annexe dans laquelle sont placés les affaires de gymnastique. A peine rentré dans la pièce il ferme la porte et se jette sur moi. Mon dos retrouve le mur et ses lèvres retrouvent les miennes. Il passe ses mains en dessous de mon teeshirt, dégrafe mon soutien-gorge et retire les deux. Ses lèvres viennent quitter les miennes pour se déposer dans mon cou. Je laisse échapper plusieurs gémissements auxquels il répond par de petits grognements. Sa main droite se pose sur un de mes seins le maltraitant. Ne tenant plus en place il retire les deux derniers bouts de tissus qu'il me reste et me voila nue à sa merci. Il me regarde et fait glisser une de ses mains le long de mon ventre et s'arrêter juste avant de toucher mon intimité. Ce simple contact me provoque des milliers de frissons et me frustre à la fois.

- Taïga... vas y.

- Je crois pas avoir entendu. Dit-il un sourire mesquin au lèvres.

- Je t'en supplie.

A ces mots, il descend sa main afin qu'elle atteigne mon clitoris, il commence de petits mouvements circulaires. Mon corps commence à lâcher, je sens mes jambes frêles et ma respiration s'accélérer. Bordel comment il arrive à faire ça. Pour ne rien arranger il commence à descendre en prenant soin de parsemé mon corps de baiser dans toute sa longueur. En arrivant au niveau de mon sexe, il remplace sa main par sa langue me provoquant un petit sursaut de surprise. Alors que sa langue joue habilement avec mon point de chair je sens que mes jambes tremblent de pus en plus et que je ne vais pas tarder à hurler de plaisir.

- Ta...ïga....

Dans un dernier râle de plaisir j'arrive à susurrer son prénom. Il remonte pour m'embrasser et je reprend mes esprits. Cette fois c'est à moi de jouer avec lui. Derrière nous se trouve des tapis de gymnastique. Je le pousse dessus et il tombe en arrière. Je me place à califourchon sur lui.

- Qu'est ce que tu fais t/p ?

- C'est pas marrant si tu es le seul à t'amuser.

Je saisis ses lèvres et passe mes mains sous son teeshirt. Je sens sa peau réagir contre la mienne ce qui m'encourage à continuer. Il se redresse un peu afin que j'enlève son haut qui me gênait. Je commence à embrasser son cou, à laisser même quelques petites traces violettes. J'entends sa bouche réagir et ses râles de plaisir sont comme une douce mélodie à mes oreilles. Mes baisers continuent leur chemins le long de son torse musclé et s'arrête juste devant son short de sport. Je le regarde dans les yeux et le fait glisser lentement le long de ses jambes. A travers son caleçon et je peux voir son érection. Je passe délicatement ma main dessus faisant plusieurs aller-retours. Ne tenant plus en place il enlève lui même son caleçon et je me retrouve alors devant son érection, qui, on peut se le dire est plutôt imposante. Je la saisis avec une de mes mains et l'autre viens caresser le bas de son ventre. Je commence à faire des vas et viens avant de remplacer ma main par ma bouche. Ses râles de plaisir deviennent de plus en plus intenses et juste avant qu'il ne vienne je m'arrête et remonte jusqu'à lui.

- Tu ne croyais tout de même pas que j'allais te laisser t'en sortir comme ça taïga.

Je l'embrasse à pleine bouche, tout en insérant son sexe en moi. (C'est pas bien les enfants toujours mettre un préservatif et si un autre moyen de contraception est utilisé toujours vérifier les MST). Il se redresse pour se mettre en position assise et place ses mains sur mes hanches pour faciliter mes mouvements. Après plusieurs minutes de plaisir, on finit par atteindre l'extase tout les deux en même temps criant le nom de l'autre. Il s'effondre sur le dos et je m'effondre sur lui et me blotti dans ses bras.

- T/p, c'était génial.

Au moment où il finit sa phrase la porte s'ouvre en grand et kuroko apparaît derrière celle-ci.

- Putain kuroko qu'est ce que tu fous là ? S'écrit Kagami.

Il baisse les yeux et mets sa main devant sa tête. Instinctivement je prend mes vêtements et me rhabille en deux temps trois mouvements.

- Je suis désolé, j'avais oublier mes chaussures de basket et en rentrant j'ai entendu crier. Je croyais que quelqu'un était en danger.

- On s'en fout sort de là, répliqua l'américain.

Kuroko s'en va et mon premier réflexe est de rigoler, c'est ma manière à moi de gérer ma honte et mon stress.

- Pourquoi tu rigoles ?

- Je sais pas c'est la situation qui me fait rire, tu penses que mes cris faisaient penser à quelqu'un en détresse ?

- En tout cas maintenant il sait que tu es à moi. Et tout le monde risque bientôt de le savoir.

- J'ai pas encore dit oui.

- Mais tu vas le dire n'est-ce pas ?

Je dépose un léger baiser sur ses lèvres, sourit et hurle mon plus gros oui. C'est ainsi que tout a commencé entre nous deux....





Et voilà premier OS en deux parties, premier lemon aussi si il vous plait j'en ferai peut être d'autre sur les prochains OS

Anime x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant