La fille du téléphone.

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Elle était toujours de bon conseil, jamais dans le jugement des autres, respectueuses et surtout à l'écoute.
Toujours à aider les autres, à sans oublier elle même. Yeux terne, teint pâle, après tout se qu'elle a vécu elle avait toujours cette petite choses dans le regard, cette chose qui te foutait les frissons, cette étincelle qui te donnait envie de continuer. Parce que tu te disais que si elle avait réussi tu pouvais réussir. A chaque fois qu'elle parlait de se que elle avait vécu, elle avait toujours se tond sarcastique et se ricanement en fin de phrase pour faire comme si plus rien de pouvait lui faire de peine, et de la peine sa elle en avait, mais elle était bien trop fière pour le montrais, derrière se visage maquillé et se qui corps qu'elle aimait montrer pour se forcer à croire qu'elle avait confiance se cachait un cœur et une âme détruite.

Personne n'a vue sa détresse, son âme remplie de vengeance et de peine et son cœur tombant en lambeaux. Se soir là elle avait dit « De toute façon le génie est souvent seul. »

Elle a finit sa cigarette, mais cette fois si elle n'est pas rentrée.
Six heures, c'est le nombre d'heure qu'on a mit pour retrouver son corps, inertes et sans vie.

Elle vous a aidé, pendant que vous, vous n'avez jamais vu sa détresse.

Adieu fille du téléphone.

Un peu de poésie dans se monde morose. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant