Le Sanctuaire

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J'ai essayé, j'ai essayé de m'enfuir mais tout ce que j'ai obtenue sont des brulures et des blessures, le camion roulait trop vite pour que mon atterrissage se fasse bien et je n'avais pas remarquer cela. Maintenant, je suis ligotée et dans l'incapacité de fuir. J'ai offert alors à ce salopard de psychopathe l'un de mes plus effrayant de regard noir et lui, il n'a pas eu peur ou quoi que ce soit, non, il s'est juste mis à rire comme le gros con qu'il est. Ce type, à la fois il m'énerve et à la foi, il m'impressionne. La manière dont il à soumis Rick m'a mise un coup, je l'avoue. Personne avant lui n'avais réussie à faire cela.

C'est au bout de deux heures, il me semble, que le camion s'arrêta et qu'on ouvris la porte arrière. Une jeune femme blonde, me pris par le bras et me fis sortis du camion.

- Emmène la à l'infirmerie que Carson la soigne, tu me l'amènera ensuite. Fit Negan à la femme.

La femme obéissa et je lançais un regard noir à Negan jusqu'à ce qu'il disparaisse de ma vue. Je trouvais les lieux peu rassurant, ce qui est sur, c'est que c'étais une usine avant la fin du monde. La femme me fit entrer dans une pièce et m'asseya sur les "lits" qu'on trouve chez les médecins.

- Bonjour Laura. Fit un vieille homme en tenue de médecin.

- Soigne la, s'il te plait. Fit cette Laura.

- Que lui est-il arrivé?

- Je te demande de la soigner, pas de me faire un interrogatoire.

Eh bin, on peut pas dire que le social soit son fort. Le docteur commença alors à me soigner sans faire attention à Laura qui patientais, les bras croisées vers la porte. Il fit ce qu'il pu avant de me libérer. Laura me repris donc le bras et reparta sans adresser un regard ou un mot au docteur.

- C'est pas ton fort le social, hein? Lui fis-je.

- Ferme la. Elle me poussa alors pour que j'accélère. 

Ok, garde ton calme Alice, c'est pas le moment de t'énerver. Mais qu'elle recommence pas ou je jure je lui saute dessus. Elle me fit descendre deux étages et on longea un couloir de porte rouge, je n'ai jamais vu autant de porte rouge. Elle me stoppa ensuite à une porte plus grande et pas du tout rouge, je compris rapidement que c'étais la chambre de l'autre connard. Laura alla donc frapper à cette porte et entra après avoir eu une réponse positive. La chambre contenait un grand lit, un canapé et deux petit sofa, une table basse au milieux, un tapis blanc, une cuisine, bref, la chambre de luxe quoi. Y'a pas de doute, c'est bien la chambre du patron.

- Merci Laura, tu peut disposer. 

Laura s'en alla alors et je me retrouva seule avec ce connard. Mon regard noir lui retomba dessus et il souria.

- Si tu continue de me regarder de cette manière, je vais me faire un plaisir à te faire crier.

Son sourire et ses paroles sont totalement l'opposée. C'est paroles m'ont donnée la chair de poule, ne voulant le provoquer, je changea de regard mais il étais tout aussi dur.

- Je préfère. 

Il s'approcha ensuite de moi, il s'approchait même trop. Une fois en face de moi, il sortis son couteau en me regardant, je lui montrait que cela ne m'effrayer pas, il souria alors et venus se pencher vers moi, je continuais à le regarder sans émotions. Il me détacha ensuite les mains et se redressa.

- T'es pas du genre à te laisser intimidée toi. Fit-il en rangeant son poignard.

- Tu sais que je pourrait tenter quelques chose, la, maintenant, tout de suite. Fis-je en malaxant mes poignets abimées par les liens.

- Je le sais. Mais je sais aussi que tu n'en fera rien car tu sais que tu n'es pas seule ici de ton groupe et qu'on es trop nombreux pour que tu fasse quoi que ce soit sans que tu en paye les conséquences.

Je le dévisagea. C'est qu'il est malin et perspicace ce con. Evidement que je ne ferais rien, je m'en sortirais pas vivante. Je croisa mes bras.

- Qu'est-ce que tu me veux? Qu'est-ce que tu nous veux? Rectifiais-je en repensant à Daryl.

- En ce qui concerne Daryl, sa ne te regarde pas mais toi. Ce que je veut de toi, c'est que tu devienne ma femme.

Je me mise à rire, nerveusement, sentant ma colère montait. 

- Pardon? Répète un peu, je crois avoir mal entendu. T'es sérieusement en train de me demander sa après ce que tu as fait cette nuit? Alors la, tu peut toujours rêver mon grand, jamais de la vie. Je le regardais avec hostilité et lui parler avec mépris.

- Donc c'est un refus? Me demande t-il.

- Oui. Totalement.

- Bien.

Il s'approcha alors de moi à toute vitesse me faisant reculer sous la surprise et il me souleva pour me porter comme un sac à patate.

- Hé! Fis-je ne m'y attendant pas.

Il sortis de la chambre et m'emmena je ne sais où. J'essayais de le faire lâcher en lui donnant des coups de poings dans le dos et en basculant mes jambes mais rien à faire, sa ne fonctionnait pas. Après avoir descendu et remonter je ne sais combien d'escalier, il me posa après avoir ouvert une porte. 

- Tu restera donc à l'intérieur jusqu'à ce que tu accepte et crois moi, sa va vite arrivé.

Il me poussa ensuite à l'intérieur et referma la porte, je coura à cette dernière et tapa dedans en hurlant tout ce que je pouvais sortir comme insulte mais il étais déjà partis. Il m'avait enfermé dans une cellule froide et sombre. Combien de temps allais-je résister? Il étais hors de question pour moi d'accepter mais tiendrais-je longtemps dans cette endroit sombre et glaciale?

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Aie, sa s'annonce très mal pour Alice qui se retrouve enfermée. Tiendra t-elle jusqu'à ce qu'on la délivre ou va t-elle craquer? Suspense, suspense^^

L'amour est plus fort que toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant