Double Vie| T1

Léandro 11

Léandro

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Une bougie peut illuminé la nuit,
Une flamme qui brille ce consume.

Voiture direction Gala, 20h.

Assis dans la limousine Anna, maman, et Eyana discutaient je les regardais rigoler ensemble et voir ma sœur et ma mère aussi heureuse me réchauffe le cœur elles étaient l'une des seules à pouvoir me faire ressentir quelque chose, je les aime et je les protégerais toujours envers et contre tous, mais maintenant j'avais cette envie insupportable de protéger Eyana je ne la supporte toujours pas, mais la voir aussi vulnérable, a réveillé quelque chose en moi.

Je ne serais l'expliqué, d'abord sa crise au shooting, quand j'ai reçu l'appelle d'un de mes gardes qui me disais qu'elle s'était effondrée dans le restaurent j'ai ressenti cette envie...elle me fait tellement penser à elle, et quand je l'ai vue-là étendu dans ce lit fragile et pâle, je me suis juré intérieurement de découvrir son secret, elle est mystérieuse.

J'ai vue pour la première fois de la peur dans ces yeux, ces réactions, tout ça à cause de son père je dois savoir ce qui s'est passé personne ne semble connaitre le fin fond de l'histoire juste la partie de l'ice berg qui immerge de l'eau, moi je voulais plonger dans ces yeux couleur bleu clair et m'y perdre pour trouver mes réponses, 3 ans que je la connaissais mais j'avais toujours vu une sorte de noirceur en elle, de la rage, de la haine, de la colère.

Elle était incroyablement belle ce soir je ne pouvais le niais, moi qui dis toujours qu'elle était moche sa beauté m'avait coupé le souffle, le bruit à l'extérieur me sortit de mes songes, je me redressais et bombé le torse et c'est partie, je me rapproche d'Eyana et soufflais à son oreille.

-prête princesse.

-plus que jamais.

Je sortis et pris la main d'Eyana dans la mienne un frisson dévala ma colonne vertébrale et nos regarde ce verrouilla, on venait ressentir la même chose j'aurai jurée, mais les flashs nous coupèrent de notre bulle et une rafale de questions se firent entre et nous soufflâmes en même temps.

-je déteste la foule, on se regarda et éclatons de rire.

-allons-y dis-je.

Marchant bras dessus, bras dessous, nous entrâmes dans le hall et tous les regards se tournèrent vers nous, j'affiché mon allure fière et mon masque impénétrable, Eyana gonfla la poitrine et nous marchâmes à travers la foule et les messes basses des invités, ma mère et Anna derrière nous.

-eh ben vous en faites des jaloux mon dieu, les femmes sont vertes et les hommes rouges, quel contraste de couleur, dit ma sœur pour ce moqué.

-laisse les jalouser, mi hija, c'est normal j'ai la plus jolie des belles-filles.

Je vis Eyana rougir, elle est tellement mignonne quand elle rougit, qu'est ce que je raconte ressaisie toi mon pote tu divague là.

Non tu vois juste enfin la vérité dit ma conscience.

Oh la ferme, tu racontes n'importe quoi, je deviens fou c'est ça j'ai bien dit quel causerai ma perte, un groupe de personne vinrent vers nous, en nous saluant.

-je comprend que tu venais seule aux évènements, moi aussi je ferais tout pour cacher une aussi belle créature au monde, il y a trop de prédateur ici-bas dit l'homme en face de moi.

Créature,

Prédateur.

Il prend Eyana pour de la viande ou quoi, j'ai juste envie de lui briser les os fasse à ces allusions.