Double Vie| T1

Eyana 20

Désole s'il y a des fautes,

J'ai essayé de faire de mon mieux

Pour vous donner quelque

Chose de bien, je suis malade

Et ma concentration n'y était pas ☹

Eyana

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Rien n'est plus imminent

Que l'impossible.

Aérodrome de San Diego, 8h

Assis dans le jet, on attend le décollage, nous avons 3h de vol, en vu des menaces qui encoure nous avons décidé de passée notre soi-disant lune de miel dans une de ces demeure au Mexique.

Léandro ainsi que sa mère m'en a raconté que du bien, j'ai donc eu envie de découvrir ce grand pays, cette endroit, cet culture, sa culture.

Léandro à une grande hacienda moderne sur une colline qui donne une vu spectaculaire sur l'ensemble de la ville et il me tarde de la découvrir.

J'ai appris qu'il avait une maison ou un appart dans chacune des villes importante, il respecter là-bas en tant que Jefe du cartel de Juarez, donc nous partons dans l'état de Yucatan, à Valladolid.

J'adore voyager et découvrir de nouvelle chose, ce matin en nous réveillant j'étais fatigue avec la fêtes qui avait eu lieu hier, mais je me suis quand même senti détendu.

Pour une fois je n'ai pas contesté et repoussé Léandro qui avait ses bras autour de moi, il faisait bon et je me suis blotti contre lui, heureusement pour moi qu'il dormait et qu'il n'a rien compris.

Sinon il m'aurait charrié et blablabla, ce mec et pire qu'un gamin parfois, c'est bien pour cela que c'est un petit con.

Je suis perdu dans mes pensées, je me remémore notre baisé, enfin nos baiser et cet sensation qui s'est diffusé dans mon corps entier, mon cœur, j'ai senti comme une étincelle mais je n'arrive pas à savoir ce que cela peut signifier.

J'ai senti mon âme brisé, se remplir et au moment où je suis partie, ce vide à refait surface, mais je l'ai totalement ignoré ce nouveau ressentis.

-madame m'interpelle l'hôtesse.

-ah désolé, oui ? dis-je.

-que voulez-vous boire ?

-hum...un thé glacé.

-très bien, sera comme d'hab pour vous monsieur demande-t-elle.

Léandro relève la tête de son ordi lui aussi concentré sur sa tâche, il hoche la tête et l'hôtesse part préparer nos boisson.

-du thé glacé sérieusement.

-elle a quoi ma boisson et c'est quoi la tienne pour que tu te permettes de te moquer de mes goûts.

-du whisky lâche-t-il.

Une grimace de dégoût prend place sur mon visage et un rictus apparait sur le sien.

-et tu oses critiquer mon thé glacé, vieillard je lance.

-toi tu es une gamine.

Je le fusille du regard et lui monte mon majeur, il rit à gorge déployée et je le regarde toujours avec dédain, elle revient avec nos boissons et s'attarde un peu plus devant Léandro en lui offrant son décolleté plus en vue qu'avant.