Léandro 27

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Léandro

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Un monde sans toi,

N'est pu imaginable.


Hôpital centre.

Je n'arrive pas à contrôle, la rage qui monte en moi, une partie de moi m'en veux parce que je n'ai pas réussi à la protégé, à les protégés et l'autre partie veux se venger à tout prix des salauds qui leurs ont fait du mal.

Mes pensées s'entremêlent, la haine, la culpabilité, la douleur tout s'entrechoquent, je dois voir le sang coulais, je dois tuer, il faut que je tue les coupables, puis que je me fasse souffrir pour me punir de pas avoir réussi.

Je sorte de l'hôpital en trombe je dois respirer, je suffoque, je rejoins ma voiture et démarre sans attendre, je vois Rimaro sortir mais il n'a pas eu le temps de m'arrêter.

Sur le trajet vers chez moi, j'appelle Aylan et lui demande s'il a des nouvelles et de me trouver les coupables, je sais que le père d'Eyana est derrière tous ça mais il ne l'a pas fait de lui-même.

Il a dû envoyer ces petits chiens obéissant, il faut que quelqu'un paie pour ça, je sais que aujourd'hui je ne pourrais pas atteindre son géniteur, mais un jour viendra où je lui collerais une balle en pleine tête pour tous se qu'il nous a fait subir.

Mais chaque choses en son temps, pour le moment ça mort n'est pas au programme non, mais les fils de putes qui ont installé et ont fait exploser la bombe oui.

Je vais m'occuper d'eux, de la pire des manières, ils ont touché à ce qui m'appartient et ça je ne le tolère pas, putain de merde ils ont impliqué une gamine qui n'avait rien demandé, ils étaient entrain de la maintenir en vie devant moi, un putain de massage cardiaque sur un enfant.

Aylan m'informe qu'ils ont trouvés grâce au camera de la ville, le lieux ou les hommes qui ont provoqués l'explosion se sont retranchés et je ne réfléchis même plus je récupère toute les armes que j'aurais besoin et charge mon coffre.

J'ai demandé à Aylan et une vingtaine de mes hommes de me rejoindre à l'entrepôt où ils se trouvent, je fonce, roulant au-dessus des limites, plus personne ni rien ne peut m'en empêcher de faire quoique se soit à ce stade si je ne fais rien je vais exploser.

J'arrive et freine dans un dérapage provoquant un crissement des pneus, s'ils ne m'entendent pas alors c'est leurs problèmes, je veux qu'ils aient peur en me voyant, j'ai un réputation implacable et tout le monde sait de quoi je suis capable.

J'ouvre mon coffre et sort deux beretta 92 que je passe dans ma ceinture, je prends en main un fusil d'assaut SCAR-L, je prends la ceinture de recharge avec deux grenades que je passe sur mon épaule.

Je n'attends pas l'arrivée de mes hommes et défonce la porte principale dans fracas, ça va saigner, quatre hommes qui gardait la porte sursaute et sort leurs armes, mais trop tard, je les fusils.

J'avance et me mets a crié en demande qui sont ce qui ont fait exploser ma voiture, j'entre dans une pièce 5 hommes si tient, il pointe tous leurs armes vers moi, je souris, un putain de sourire à faire froid dans le dos.

-alors qui de vous 5 a explosé ma caisse.

-tu crois que tu es en position d'exiger quoi que ce soit, on est 5 tu es seul ricane l'un deux.

-ce n'est pas parce qu'on ne voit pas, qu'il n'y pas dis-je.

Plein de petit lumière rouge vient parsème les torses de chaque hommes en face de moi, juste à temps, mes snipers sont en place, je rigole à gorge déployé quand je les vois pâlir et déglutir.

Double Vie| T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant