Le livre de ma mort

Ce n'est pas un jeu, c'est la mort!

On s'était rendu à la boutique de Linda, qui, au passage était encerclée par des voitures de police. Apparemment une fille de 19 ans y à fait une crise cardiaque pendant une séance de spiritisme (c'était ce que disaient les policiers). Mais nous on savait très bien ce qui c'était passé.

Que pouvais-t-on faire?... Raconté a des flics que cette fille à été tuer par un esprit diabolique sortant tout droit d'un livre d'où est écrit seulement mon nom?

Donc on a rien dit.. On a rien fait, à par regarder Linda en larmes, se disant sûrement qu'on vient de détruire sa carrière et sa vie (et ça aussi c'est dans le bon sens du terme).

Sans le vouloir Nia et moi avions causer la mort d'une jeune fille innocente, mais pendant cette journée, je me disais qu'une seule chose... Que c'était de ma faute. Nia, elle, passait cette journée a m'en dissuader.

Une semaine plus tard...

N- Steven il faut que je te dise, l'esprit à fait d'autres victimes.

Ses mots sortaient de la bouche de Nia pendant toute la semaine et moi je n'arrêtais pas de rêver, des rêves ou le livre me parle et de me réveiller avec les mains ensanglantées le lendemain... L'impuissance face à ce mystère qui contrôlait toutes mes nuits, m'accablais de colère.

Mais!!

La culpabilité avait fait son temps, c'était plus le moment de m'apitoyer sur mon sort. Le mot "mort" sonnait beaucoup plus à mes oreilles que les grésillements fatidiques des voix dans ma tête. Je ne pouvais trouver le sommeil pendant la journée et la nuit encore moins, j'ai donc décidé de ne plus avoir peur et d'affronter la réalité (si on pouvait l'appeler comme ça).

Malgré le fait que la police ait jugée la mort de la jeune fille dans la boutique de Linda comme étant naturelle, ont l'avait garder au poste de police pour l'interroger. Avec Nia on est allé la rejoindre pour l'aider à mieux assimiler la situation, mais en arrivant elle avait pas l'air d'être aussi toucher que ce qu'on pensait. Elle était calme et comprenait mieux la situation que nous deux.

Linda- Les inspecteurs pensent que la mort de la fille n'était pas aussi naturelle qu'ils le pensaient.

- Qu'est ce que ça veut dire ? Pourquoi pensent-il ça ?

Nia- J'imagine que ça a un rapport avec les autres morts.

L- Oui... Mais pas exactement. Les morts n'était pas des hasards.

N- Pourquoi tu dis ça ?

Notre discussion sur ces morts étaient beaucoup trop sensible pour en discuter au poste et la boutique de Linda était pas appropriée car après le constat des policiers, elle aurait pu être sous surveillance donc on est aller au motel.

Arrivé au là-bas, elle nous raconta une histoire qui donnait froid dans le dos.

Linda- Ce que je vais vous dire va vous être très étrange mais c'est la réalité et vous devriez l'accepter.. Les policiers m'ont questionné sur d'autres morts similaires.

- Lesquelles ?

L- La première était une jeune serveuse dans un bar, un certain Blater's et ensuite il y a eu...

- Le Blater's.?. (en chuchotant)

Sur le moment, une seule chose m'était venue à l'esprit.. Mais je voulais avoir le coeur net, donc j'ai attendu que Linda nous aies dites les autres victimes...

L- Ensuite il a eu un chauffeur de taxi, une secrétaire au Berkam Hôtel, dans le même hôtel il y a eu une vieille dame, c'est Sydney, la fille qui est morte dans ma boutique, qui est morte en dernier.

Ces simples mots étaient capables de rendre la situation dans laquelle j'étais déjà trop impliquée encore plus... Mortelle.

Avec ces voix dans ma tête, le mystère avec Duval et maintenant ça... C'en était trop d'un coup. Ce qui me poussa à avouer ce que j'avais fais à Linda et Nia.

N- Quel est le rapport entre ces gens.

L- Je ne sais pas peut-être que...

- C'est moi.

N- Quoi, comment ça c'est toi ?

- C'est moi le rapport entre les victimes.

N- Arrête de culpabiliser à cause de ça, c'est pas...

- Non! ça n'a rien avoir avec la culpabilité.

J'en pouvais plus de garder ça en moi, cette rage, cette colère, il fallait que ça sorte.

- Ça à commencer avec la fille du bar.

L- Le Blater's ?

- Oui, celui-là. Après la mort de Duval, j'ai voulu me vider la tête, je suis donc aller dans ce bar et au bout de quelques verres je commençais à avoir des hallucinations...et ensuite...

Après que je leurs aies raconté la façon dont j'ai rencontré les victimes du livre et mon implication avec ce dernier, elles ont essayée de clmpre

N- Tu penses qu'à cause du livre, le gens que tu rencontres meurs d'une crise cardiaque ?

L- C'est absurde! Dans ce cas pourquoi Nia et même moi ne sommes pas déjà mortes ?

- Je sais pas, sûrement parce que je suis toujours en contact avec vous.

N- Donc, tu serais comme la mort. (rire)

- Croyez moi, ça n'a rien de drôle, c'est pas un jeux! C'est la mort!

Après qu'elles aient vues la façon dont j'étais tout remonter en leurs racontant cette histoire, elles ont décidées de m'aider.
De quelle façon? je l'ignorais.

...

Une fois la nuit tomber, je m'attendais déjà à ce que ces cauchemars reviennent, je m'attendais déjà à ces discussions peu orthodoxes entre le livre et moi, et c'était le cas. Vers 21h, attendant le retour de Linda et Nia qui étaient parties chercher de quoi manger, je me suis endormi... (pfff) Vous voyez déjà ce que je veux dire.

En plein milieu de la nuit j'étais complètement en transe, tout seul dans une chambre de motel. C'était le côté réel de l'histoire, mais de l'autre côté il y avait moi et l'esprit. Cette fois il prit l'apparence de Duval et s'était mit à me raconter de choses pas croyables, comme crois j'étais encourt à une malédiction de mort et que j'étais destiné à écrire et à raconter la fin de ma vie.

Je m'étais toujours battu quand je me trouvais dans ces rêves avec cette esprit, mais cette fois pour je ne sais quelle raison c'étais différent, comme si, ce qu'il disait était vrai. Déjà, ces paroles étaient identiques à celles de Duval quand on l'invoquait, lui aussi me rabâchait quelque chose à propos d'une malédiction, ce qui rendit les propos de l'esprit très pertinentes. Je l'ai donc écouté et il m'a convaincu.

...

-Vous voulez savoir ce qui s'est passé ensuite inspecteur?

-Dites moi donc.

- Au lieu de combattre mon destin, je l'ai accepté. Qui a dit que la mort ne faisait pas d'exception.?.