𝐅𝐀𝐊𝐄 𝐋𝐎𝐕𝐄 | haruchiyo sanzu [𝐓𝐫𝐚𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧.𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬]

4.

fais confiance au processus

Ce n'était pas un choc que le lendemain, Senju se plaignait de la façon dont je l'avais complètement ignorée toute la journée précédente.

Bien sûr, puisque le plan d'ignorer Sanzu a lamentablement échoué, j'ai cessée d'essayer d'ignorer Senju, car j'ai réalisé que ça allait être impossible.

Senju: Tu es sérieuse !? Tu aurais pu me le dire ! J'étais tellement en colère, mais parce que tu étais une telle patronne qui a rejetait Haruchiyo comme ça, je te pardonne !

Malheureusement pour elle mais pas pour moi, elle n'a pas enregistré tout le rejet.

- Je suis désolée, Sen. Je ne manquerai pas de te dire tous mes plans à partir de maintenant.

-ꨄ︎-

Le cours s'est terminé et Sanzu ne m'as pas dérangé, je pensais qu'il avait abandonné à cause du rejet embarrassant qu'il a subi.

J'ai pensée trop tôt.

Parce qu'au moment où j'ai ouvert la porte de ma classe, Sanzu Haruchiyo s'est tenu là avec un boquet à la main et mes chocolats préférés dans l'autre.

Mon humeur s'est immédiatement dégradée.

Sanzu: Bonjour, petit pois de senteur.

Il a pris ma main et y a déposé un petit baiser à qui j'ai immédiatement enlever avec dégoût.

- Qu'est-ce que tu fais ici ?!

J'ai essuyé ma main sur ma chemise pour 'enlever' le baiser placé par Sanzu.

Sanzu glousse d'amusement,

Sanzu: Tu n'as pas dit que je te courtisais hier ? Alors je suis, pourquoi être si énervée ? Tu n'aimes pas ton surnom ? Tu aimerai ma chérie peut-être ?

Il a pris mon visage entre son index et son pouce, mais je l'ai giflé immédiatement.

- Laisse-moi tranquille, Pinky.

Je me suis retournée pour partir mais Sanzu m'a arrêté.

Sanzu: Allez ma chérie, tu ne vas pas au moins prendre ça ?

Il a pointé le sac de bonbons, j'ai interrompu ma marche et couru vers l'homme aux cheveux roses pour attraper les chocolats.

- Merci, Pinky !

Et j'ai couru, comme Sonic.

Senju et Sanzu étaient coincés ensemble dans la salle de classe puisque j'étais censés sortir de la salle de classe jusqu'à ce que Sanzu se présente.

Senju: T'es sérieusement prêt à aller aussi loin ?

Sanzu: Oui oui je suis.

-ꨄ︎-

Bien sûr, Sanzu s'est montré très gentil avec moi les premiers jours, et je pensais que ça continuerait comme ça jusqu'à ce qu'il abandonne, tout ce que j'avais à faire était d'ignorer ses tentatives, c'est facile, n'est-ce pas ?

Mauvais.

Mes attentes étaient complètement fausses, car le lendemain du jour où je lui aie volé les délicieuses sucreries, c'était l'enfer.

-ꨄ︎-

Je venais de sortir de l'école derrière mon professeur d'anglais, Sanzu n'a rien tenté ce jour-là donc j'ai pensée que la chance était à mes côtés et qu'il a finalement décidé d'abandonner.

Mais non, parce que la prochaine fois que j'ai cligné des yeux, un livre a frappé la tête du professeur, je ne l'aie pas fait, bien sûr.

Puisque j'étais derrière le professeur, bien sûr, elle supposerait que j'étais celle qui avait lancé le livre, elle m'a lancé un regard noir mais j'ai immédiatement regardé derrière moi pour voir qui l'avait réellement fait, et derrière moi se trouvaient Sanzu Haruchiyo et son groupe.

- Madame, c'était Sanzu !

Je l'ai pointé du doigt, et maintenant le regard du professeur était vers Sanzu.

Kokonoi: Mademoiselle, on a vu que L/n le faisais, ce n'était pas Sanzu.

Kokonoi Hajime, qui faisait partie du groupe de Sanzu, a pris la défense de Sanzu.

Je n'avais personne près de moi pour me défendre mais les deux garçons devant mon professeur qui avaient été témoins de tout ça, mes yeux les ont suppliés de dire ce qui s'est réellement passé.

Mon professeur a remarqué les garçons et leur a lancé un regard 'dis-moi qui a fait ça'. L'un des deux était sur le point de parler jusqu'à ce que Sanzu et sa compagnie leur lancent un regard menaçant pour effrayer le pauvre garçon.

Garçon: Je-c'était L/n !

Mes sourcils froncés sous le choc, Sanzu me lançait un sourire suffisant pendant que je le regardais furieusement.

Prof: L/n ! Retenue pour toi !

- Je voulais juste rentrer à la maison, je te déteste Pinky.

Bien sûr, je n'avais pas d'autre choix que de me conformer.

Tout en lui tournant le dos pour aller dans la salle de détention, Sanzu m'a tiré et a chuchoté : Si tu ne dis pas oui, ça va continuer.

Alors que je me libérais de son emprise, je me suis dirigé vers la salle de détention au-delà de l'agacement.