Les vieilles blessures remontent à la surface.
Elles nous hantent, nous court après sens cesse.
On essaies tant bien que mal d'y échappé, mais elles finissent toujours, toujours par revenir nous remémoré nos pires moments
On se sens faible, abandonner et incompris.
On a envies de crier au monde entier notre colère, notre chagrin, on a envie de se faire comprendre une bonne fois pour toute, respecter pour le chemin qu'on a fait déjà.
La guerre n'est pas fini
Au, ça non.
On se plonge dans ce qui fait le plus mal, on se plonge dans nos pénibles souvenirs.
Ainsi, on se noit dans notre propre détresse, notre propre soif de vengeance.
La vie n'est pas facile.
Bien loin de là.
Il y a pire, il y aura toujours pire, mais ça fait tout de même mal.
On n'a envies de courir jusqu'à un boisé, tomber a genou a bout de force et se lâcher.
Par se lâcher, je veux bien sur dire pleurer.
On veut pleurer et crier a tut tête notre malheur.
On se ronge les ongles, se mord le dedans des joux, les lèvres. On secou la jambes dès qu'on est assis on est stresser par la vie.
On ne pense qu'à nos douleurs précédente.
On a tous mal, pour des raisons semblables et différentes.
Ont à tous mal pour quelques choses peut importe si la raison peut vous paraître a vous absurde ou non.
Il y en a des plus fort.
plus fort ? Je ne sais pas si on peut vraiment dire plus fort...
Quelques uns cache simplement leurs mal.
C'est probablement ceux qui ont le plus de chose a oublier, a effacer.
Mais ils craqueront, on finis tous par craquer un jour ou l'autre.
La guerre est loin d'être terminé, au contraire elle ne vient qu'à peine de commencer.
