L'amour est une horloge
Qui ne s'arrête jamais
Tournant son cadran sans loge
Je la porterais pour jamais l'arrêter
Songeant à la nourrir de toute activité
Je la regarde sans arrêt
Sont décors résonne le ressort
Qui la maintien en vie
Fragile béatrice de la geolerie
Qui sacrifie son âme à perpétuiter
Ceux qui regarde le corps
Avant le cœur sont un sors
Que je ne puis enlever
Son mouvement n'est pas lent
Elle joue avec le temps
Ne pensant au travail
Qui s'use et la tiraille
Arrangeant mon bras patin
Je la remplirais de soinLe 01/10/22 par Elvis