Chapitre 1 : La rencontre

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Nous étions actuellement arrivée devant leur maison de Forks, un jeune vampire nous accueilli avec une jeune femme qui devait être sa compagne.

- Alors ? fis Carlisle a son encontre

- Ils sont 19 tu as de bon amis Carlisle

- Et Alice ? fit Esmée à la jeune femme

Cette dernière lui fit « non » de la tête à cette réponse Esmée la prit dans ses bras.

- Edward, Bella, je vous présente Aria Maria Volturi. Fit Carlisle en me désignant

- Enchanté me fit Edward en me serrant la main

- Merci, me fit Bella bien que sur ses garde du à l'entente de mon nom

- De même. Fis-je

Nous sommes rentrés à l'intérieure de la bâtisse pour nous retrouver dans le salon. Je remarqua quelque visage connu comme celui de Tania et Kate ou encore Gareth ces dernier étaient surpris de ma présence ici.

- Je vois que tu invite l'ennemi jusque dans les murs de ta propre maison. Fit un voix que je n'aurais jamais cru réentendre.

- Alistair, elle est des nôtre. Je l'ai vu. Fit sèchement Edward

A cette phrase j'en déduisit qu'il devait lire les pensée comme Aro. Le vampire grogna de désaccord sur ma présence. Je n'y préta guerre attention je n'étais en aucun cas présente pour raviver les colères du passé.

Bella s'approcha de moi avec une petite fille qui lui tenait fermement la main. Je pouvais ressentir la vie qui émanait d'elle par son cœur battant et la couleur rosée de ses joues.

- Aria, voici Renésemée notre fille à Edward et moi. me fit Bella en me présentant la jeune fille

Je me suis bessée pour me mettre à sa auteur.

- Bonjour. Fis-je intimidée

- Bonjour, Aria. Me fis l'enfant

Après cela elle déposa sa main pour me faire parvenir l'information qu'elle n'était qu'a demi immortelle.

- Incroyable. Fis-je en la regardant

Elle me sourit sincèrement puis ce retourna vers sa mère et son père. Je me suis relevée et décida de sortir de la pièce pour aller prendre l'aire, l'ambiance dans la pièce étant trop pesant cela sûrement du a la confrontation d'Alistair sur ma présence à Forks Je m'éloigna un peu dans les bois afin d'être tranquille.

- Comment se fait-il que je ne t'aie pas vue lors de mon voyage à Volterra ? me fit la voix de Bella arrivant à ma hauteur

- Tout simplement parce que je n'y étais plus. Et toi pourquoi est-tu donc allé à Volterra ? lui fis-je curieuse

- Oh sa une longue histoire. Me fit-elle en s'asseyant à côté de moi

- Si tu n'y étais plus cela doit dire que tu es forcément plus âgée que moi ?

- Oh oui et de beaucoup, j'ai environ 1700 ans il faut dire qu'à partir d'un certain moment j'ai arrêté de compter. Fis-je en souriant

- Je vois, donc tu connais bien les rois. Me fit elle en me regardant

- Oui, je les connais bien on peut dire que l'un d'eux est mon père

À ma réponse elle eut un hoquet de surprise ne s'attendant sûrement pas à cette révélation de ma part.

- Mais comment ont-ils pu te laisser partir ?

- Ils n'ont pas eu le choix vu que je me suis enfuit par moi-même. Fis-je tristement

- Comment ça ?

- Je rêvais de liberté et le fait d'avoir passée ma vie humaine ainsi qu'une partie de mon éternité enfermée m'y a aider

- Et tu ne regrettes pas par moment d'avoir laisser ton père et sûrement des personne que tu chérissais ?

- Je ne peux pas dire que je suis comblée, j'ai bien un vide dans le creux de ma poitrine mais pour rien au monde je retournerais m'enfermé dans ce château. fit-je

- Je comprends et on peut dire que Aro peut se montrer...

- Effrayant ? fis-je en finissant sa phrase

Elle rit face à mon intervention puis se releva.

- Vient avec moi je suis sûre que Renésemée serait heureuse d'entendre tes récits elle meure d'envie de te poser toute sorte de question à ton sujet.

A ses mots je la suivis jusqu'à une petite dépendance se trouvant à l'écart de la maison principale. En entrant à l'intérieure j'ai remarqué que la fillette se trouvait sur le canapé près de la cheminée avec Rosalie.

- Ness je t'ai ramener la personne que tu meures d'envie d'interroger depuis son arrivée. Fit Bella à sa fille

Cette dernière releva la tête est un sourire illumina son visage.

- Viens t'assoir. Fit l'enfant

A sa demande je vins m'assoir auprès d'elle. Elle me regardait avec beaucoup d'intérêt comme si elle se retenais de m'assommer de question de peur de ma réaction.

- Ta mère ma dit que tu mourrais d'envie de me poser des question ? lui fis-je en souriant

- Oui c'est vrai, mais je ne sais pas par quoi commencé. Fit l'enfant un peu gênée de la situation

- Par le commencement peut-être. Lui fit sa mère pour lui montrer qu'elle avait la permission de m'interroger

Le jeune fille se tourna vers moi les yeux pétillant à l'idée d'entendre mes réponse

- Tu es bien une Volturi alors ? me fit l'enfant

- Oui de pur souche

- Pourquoi tu es partie de chez toi ?

- Pour gouter à la liberté je n'y avais pas vraiment le droit avant que je ne parte de mon pleins grès

- Est-ce que tu a un don ?

- Oui, comme Kate mon corps irradie de l'électricité

A ma réponse je remarquai que sa mère réfléchissait du surement à mon don qui pouvait se montrée utile en cas d'attaque physique.

- Est-ce que tu as un compagnon ? me fit l'enfant

- Ness, ce n'est pas une question à posé ! fit Rosalie comme mal à l'aise

- Laisse ce n'est rien Rosalie. Non je n'ai pas de compagnon connu pour le moment. Fis-je à l'enfant

- Oh, je vois. fit l'enfant comme déçu de ma réponse

- Pourquoi cette question ? lui fis-je moi aussi curieuse d'en savoir la raison

- Je pensais que peut-être ce serait difficile pour toi de t'interposer entre ta famille et la mienne, cela ne doit pas être facile de prendre parti comme tu le fais et cela d'autant plus si tu te retrouve face à la personne que tu aimes. Fit la jeune fille comme inquiète de me savoir dans une tel situation

C'est vrai que je n'avais pas vraiment pensé au fait de me retrouver face à mon pèreainsi que le reste de mon clan. Mais la chose qui m'interpella le plus c'est la douleur qui venait de se reformer au creux de ma poitrine refaisant sonapparition après quelque siècle à ne pas m'en être soucié. Il est vrais qu'avantde partir de Volterra mon père m'avais fait par d'un lien qui grandissait entremoi et un autre membre du clan. Je n'avais pas voulu savoir le nom de la personne de peur que cela me frêne dans mon envie de m'enfuir et avait préféréignorer cette appel de mon père connaissant mon désir de partir à la découverte du monde. La question de Ness avait ravivé le vide que j'avais préféré oublierpendant des siècle et la douleur qui irradiait ma poitrine me donnait unecertaine envie de connaitre qui pouvait bien être

Encore du TempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant