Chapitre 7 : Dans les profondeurs des abysses

323 12 1
                                    

Après le départ de Caius la douleur se fit plus vive dans ma poitrine. Ce moment passer avec lui avait quelque peu calmer le manque de sa présence mais je refusait de me l'admettre. Je me suis décidée à sortir de ma chambre pour me rendre au près de la tombe de ma mère pour essayer d'oublier mes sentiment. En avançant dans les couloirs du châteaux je me surpris à trembler. Mon corps ce trouvait dans un état de choc tel que dans un excès de rage je brisa une porte se trouvant sur mon chemin. Je ne pouvais me l'admettre mais j'avais besoin de lui besoin de sa présence auprès de moi. Tout en continuant mon périple j'ai croisé Jane qui vu que quelque chose n'allait pas avec moi. Sans me le demander elle me suivit pour ne pas me laisser seule. Elle avait peur, peur que je fasse quelque chose que je regretterais par la suite. Sans trop comprendre ma destination changea au lieu de me rendre à la crypte je me dirigeais maintenant en direction du jardin. Arrivée en ses lieux je hurla de rage avant de m'effondré à genou sur le sol humide, il pleuvait. Jane se précipita pour m'aider à me relever. Mon cris avait dû alerter l'entièreté du château. Sans trop comprendre je senti qu'elle m'avait prise dans ses bras est qu'elle essayait tant bien que mal de me consoler. Elle me dirigea sur un banc en pierre qui se trouvait à l'abris sous un arbre. Une fois que nous fumes assise je blotti ma tête sur son épaule haletant toujours du à mon état de choc.

-          Jane pourquoi j'ai si mal. Lui fis-je les yeux emplis de venin

-          C'est le fait que vous refusiez vos sentiment envers maitre Caius. me fit-elle en caressant mes cheveux 

-          Mais pourquoi je ne peux pas simplement rompre se lien. Fis-je en tremblant dans ses bras

-          Parce que cela te détruirait. Fit la voix de mon père

J'ai relevé la tête pour me rendre compte qui était la près du banc. Il avait surement de l'être alerté par mon cris. Son regard était empli d'inquiétude. Dû à sa présence Jane c'était relever pour s'incliner. D'un geste mon père lui fit comprendre qu'elle n'avait pas besoin d'appliquer cette règle. Il s'approcha pour prendre place à mes côtés.

-          Merci Jane de t'inquiété pour ma fille. Fit mon père en la regardant

-          C'est normale maitre je ne me vois pas la laissé ainsi. Fit-elle en me regardant inquiète

-          Merci.... Fis-je dans un son à peine audible

Elle me sourit avant de prendre congé pour me laisser seule avec mon père. Comme avec elle je me blotti contre l'épaule de mon père afin d'avoir sa présence rassurante au plus proche de moi. Nous restâmes ainsi un moment sans rien dire. Sa présence était comme une bouffée d'air frais.

-          Te souviens tu de cet endroit. Me fit mon père en regardant autour de lui

-          Je dois t'avouer que non, je me suis simplement dirigée ici instinctivement pour décompresser. Fis-je en balayant du regard l'endroit

-          Tu venais toujours te refugier ici quand quelque chose te contrariais étant enfant. Bien que tu n'en eusses pas le droit tu prenais un malin plaisir à venir te cacher ici. Tu rendais folle ta mère ainsi que la garde. La première personne qui à trouver ta cachette était Caius. tu  devais avoir 5 ans la première fois que tu t'y était réfugié après une dispute avec ta mère. Tu avais décidé de grimper tout en haut de l'arbre sous le quel nous nous trouvons. Quand Caius à découvert ta cachette tu as pris peur et tu es tombée te cassant le poignet par la même occasion. Le pauvre s'en ai voulu pendant des année de ta chute bien qu'il n'y était pour rien. Il t'a veillé les jour qui on suivit s'assurant de ton bon rétablissement. Me dit-il en regardant l'arbre

-          Il était déjà au courant de notre liens. Fis-je

-          Non, je le savais déjà mais je ne lui en avait pas encore parlé de peur qu'il se braque. Tu n'étais qu'une enfant et lui avait déjà quelque siècle à son actif. Me fit-il

Il est vrai que Caius était le roi le plus vieux des trois bien que son apparence soit celle d'un jeune homme d'une vingtaine d'année. Aro n'avait que quelque siècle de moins que lui et qu'une dizaine d'année de différence avec mon père et ma mère. Mes parents avaient été transformé quand je n'avais qu'un an. Il avait contracté la peste et Aro avait décidée de les transformer pour éviter de les perdre. Quand a moi je fus transformée l'année de mes vingt ans des suite de la tuberculose, c'est mon père qui c'était dévouer à ma transformation. Il est vrais qu'avec les siècle qui passait je ne me souvenais pas de mes année humaine contrairement à mon père. Il avait gravé chaque instant dans sa mémoire chaque souvenir était précieux pour lui.

-          Quand est-ce qu'il a su ? fis à l'intention de mon père

-          L'année de tes 17 ans, il est venu me voir car il ressentait de forte émotion à ton égard et il avait peur de te tuer dans un excès de frénésie. Je lui ai alors dit le liens qu'il l'unissait à toi. il à d'abord eu peur de ce liens mais il l'a étonnamment vite accepté. Il ne voulait pas se précipité et il a attendu le bon moment pour t'en parler....

-          Mais je me suis enfuie. Fis-je pour finir sa phrase

-          Il n'y'a pas eu que sa Aria. Les année qui on suivit ont été sombre d'abords ta transformation il à fallut que tu t'accommode à tes nouvelle capacité puis il y'a eu la perte de ta mère....

Il marqua un pose à cette phrase. La perte de maman avait été brutal. Elle c'était déroulée lors du conflit avec le clan roumain. Elle nous a été arrachée si brutalement dans le but de détruire mon père ainsi que Aro son frère. Cela avait fonctionner vu que pas la suite mon père n'était plus que l'ombre de lui-même. Il ne me reconnaissait plus a cet époque et pour l'empêcher de faire un erreur irréversible Aro avait demander à Chelsea de le maintenir envie en diminuant sa peine. C'est un des facteur qui ma conforter à fuir à cette période car moi aussi j'avais été fortement impactée par la perte de ma mère.

-          Aria ! fit une vois qui me sorti de mes pensée

J'ai relevé la tête pour voir Caius. il ne portait plus sa robe de cérémonie. Mais simplement une chemise est un pantalon de costard.  A la vue de ses cheveux j'en déduit qu'il avait dû courir dans les moindre recoins du château à ma recherche. Mon cris avait aussi du l'alerté. Son visage était emplis d'inquiétude. J'avais du lui faire peur en hurlant ainsi, il avait dû s'imaginé le pire. Il s'approcha de nous.

-          Bon sang je t'ai cherché partout ton hurlement ma fait tellement peur. J'ai si peur qu'il te sois arrivé quelque chose. J'ai eu si peur de te perdre à nouveau. Fit-il en me tirant dans ses bras sous le regard attendri de mon père

Son étreinte était si forte il me serrait contre lui avec un tel envie de me garder contre lui. Je fini par répondre à son étreinte afin de le rassuré.

-          Ne me refait plus jamais peur comme ça. Fit-il en prenant mon visage dans ses le regard toujours aussi inquiet

-          Je suis désolée.... Je ne voulais pas t'effrayer. Fis-je les yeux toujours emplis de venin.

Si j'avais pu pleurer il y'a longtemps que les larme coulerait sur mon visage. Il continua à me regarder dans les yeux avant de poser son front contre le miens.

-          Plus jamais je ne te laisserais comme je t'ai laisser dans ta chambre. Je refuse que tu souffre autant. Fit-il en fermant les yeux

-          Ce n'est pas ta faute Caius. C'est la mienne c'est moi qui refuse d'acceptée ses sentiment. Fis-je en rompant le contact de nos front

-          Alors je t'en supplie apprends à les acceptés ! Même si cela doit prendre des siècles je t'attendrais tout le temps qu'il faudra. Fit-il en me regardant dans les yeux

Encore du TempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant