La routine que j'avais instauré afin de ne pas mourir d'ennuis repris les jours qui suivirent ma crise « d'hystérie ». Caius n'était pas revenu me voir depuis notre discussion dans le jardin. Il devait être occuper par sa fonction et cela me permettais de me remettre et d'apprendre à découvrir peu à peu mes sentiments envers lui.Je me trouvais actuellement dans le jardin assise contre l'arbre ou c'était passé la scène. Tout en lisant un livre j'avais également de la musique qui passait à travers mes écouteurs afin d'être entièrement isolée dans ma bulle. Au bout d'un certain moment je senti une main se poser sur mon épaule. Dans la surprise de ce geste j'avais activé mon don qui envoya une décharge à mon interlocuteur. En relevant les yeux vers la personne en question je vis qu'il s'agissait de Caius.
- Je suis désolée. Fis- je en le regardant se frotter la mains m'affirmant le fait qu'il avait pris la décharge de pleins fouet
- Ce n'est rien, c'est moi qui aurais dû m'annoncer verbalement. Fit-il en plantant son regard dans le miens tout en continuant à masser sa main endolorie
Le silence s'installa entre nous. J'essayais d'éviter son regards gênée de la situation que j'avais déclenchée en me protégeant malgré moi.
- Que lis-tu ? me fit-il en voulant commencer un discussions
- « Le parfum ». Fis-je en montrant la couverture de mon livre de poche
- Et tu aimes de type d'histoire ? me fit-il avec un regard de dégout
- On va dire que je le trouve très intéressant. J'aime comme l'auteur arrive à faire ressentir les odeur écrite au lecteur. J'ai vraiment l'impression de les sentir. Fis en le relevant à nouveau le regard vers lui
- Certes mais on parle quand même d'un homme qui tue dans le simple but de recrée l'odeur de jeune fille.
- C'est assez ironique venant de quelqu'un qui conduit des exécution tous les jours. Fis-je ironique
- Tu sauras que je ne conduis pas des exécution tous les jours. Fit-il en s'asseyant à côté de moi
- Oui mais tu en conduit quand même
- Oui mais la différence et que les personnes exécuter sont coupable de crime or dans ton livre il ne fait pas sa pour le bien des autre. Fit-il en me prenant le livre des mains
- D'accord j'abdique tu as gagné. Fis-je en levant les mains
Il sourit fasse à mon geste. En le regardant je voyais que la colère autre fois présente n'était plus il souriait comme autrefois. Cela déclencha des palpitation dans ma poitrine.
- Et sinon à par juger mes gout en matière de lecture que me vaut l'honneur de ta présence ? lui fis-je essayant de faire abstraction de mes émotions naissante
- J'avais simplement envie de passer du temps avec toi. fit-il en me regardant
- Je vois. Fis-je gênée de ce soudain rapprochement
- Comment tu te sent ? me fit-il
- Je ne sais pas, j'ai encore mal par moment au niveau de ma poitrine mais en ce moment ça va. Fis-je en posant ma main contre ma poitrine
- C'est surement dû au fait que tu ne rejette plus tes sentiment. Me fit-il en posant sa main sur la mienne
J'ai retiré presque instinctivement ma mains de la sienne a son contact. Je vis dans son regard qu'il était déçu de mon geste.
- Je dois quand même t'avouer que même si je ne les rejette plus j'ai encore du mal à les accepté. Dis-je en le regardant désolée
- Qu'est-ce qui te frêne à les accepter ? fit-il tout en me regardant
- Je t'avoue que lors de notre confrontation à Forks ton comportement m'a effrayée et je pense que cela à crée un blocage. Fis-je en détourant le regard
- Sache que jamais je ne me comporterais comme j'ai agi à Forks avec toi. J'ai été emporté par les émotions de te revoir en face de moi et la situation dans laquelle nous nous trouvions. Je ne me contrôlais plus en quelque sorte. Fit-il en baissant le regard
- Tu souffrais aussi de la situation ? le questionnais-je
- Je ne pense pas à la même échelle que toi car tu ignorais encore que nous étions lié mais il est vrai que lors de ton affrontement face à Aro sur la question de ton âme sœur et ton refus de l'accepté ma en quelque sorte brisé. A ce moment-là j'aurais pu détruire l'entièreté du château si ton père et Aro ne m'avaient pas retenu. Il est vrais que j'ai très mal vécu ton départ de Volterra et mon seul moyen de ne pas tomber dans le désespoir était d'effacer tout ce qui de près ou de loin me faisait penser a toi. Et en faisant sa j'ai tout simplement arrêter d'être heureux la seul émotion qui sortait de moi n'était que de la colère de ne pas t'avoir auprès de mois, de ne pas savoir comment tu allais et où tu étais, de ne plus voir ton sourire ainsi qu'entendre ton rire. Tous cela combiner était un torture sans nom pour moi.
Je ne suis quoi répondre à ses aveux, le venin avait à nouveau emplis mes yeux à un point ou je préférais baisser le regard plutôt que d'affronté le siens. Le fait d'entendre tout ce que j'avais déduit par moi-même au fil de ses dernières semaine et de le voir sortir de sa bouche me détruit de l'intérieure. Je fini par me recroqueviller sur moi-même approchant mes jambe de ma poitrine afin de tenter d'avoir moins mal en quelque sorte. Il le remarqua directement et senti qu'il en avait potentiellement trop dit.
- Aria ça ne va pas ? me fit-il en rapprochant son visage du miens
Il se trouvait à genou devant moi cherchant mon regard alors que je tentais en vains d'éviter le siens.
- Aria je t'en supplie n'évite pas mon regard s'il te plait.
- Je suis désolée de t'avoir fait subir cela. Dit-je en relevant les yeux pour les planter dans les siens
- Maintenant tu es la et c'est tout ce qui m'importe. Me dit-il en prenant mon visage dans ses mains
La tension était présente entre nous, nos regard avait créé une attraction qui s'en nous en rendre compte nous avait rapproché l'un de l'autre. Je pouvais actuellement sentir son parfum si réconfortante et aussi observer ses traits. Malgré ses deux mille ans de plus que moi il avait gardé l'apparence d'un jeune homme d'un vingtaine d'année, ses trait étais fin et lui donnait le visage d'un ange si on oubliait le fait que ces yeux soit rouge. Je souris à l'idée de chercher de quelle couleur il devait être du temps où il était humain.
- Qu'est-ce qui te fait sourire ainsi. Me fit-il
- Oh rien, je me demandais juste de quel couleurs était tes yeux du temps où tu étais humain
Il sourit face à ma réponse et caressa ma joue de sa main. Je sentais qu'il avait envie que je répondes à son geste d'affection se que je fis en m'appuyant contre sa main tout en continuant à le regardé avec douceurs. La nuit commençait à tomber sur la ville, nous n'avions pas vu le temps passer profitant du moment présent pour se retrouver.
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Encore du Temps
Fiksi PenggemarAprès des siècle de fuite Aria se retrouve contrainte de devoir rentrer chez elle