Le sang des Dragons

Le Sang des Dragons, prologue: piégé

DISCLAIMER : Bien le bonjour à toi chevalier ! Ou bonsoir, au choix. Sache que je peaufine encore mon histoire, donc n'hésite pas à me faire un retour sur ce que tu as pensé de mon histoire. Je souhaite m'améliorer, et m'aider m'y permettrais ! Merci à toi chevalier, et que la puissance du grand Fryterion soit avec toi ! 

 Au milieu de la forêt, un garçon cherchait sans ménagement, des champignons afin de nourrir sa petite sœur et sa famille. Il était accompagné par son père. Un grand gaillard de 2 mètres, robuste tenant un tronc d'arbre de 3 mètres sur l'épaule. Il accompagnait son fils à travers la forêt du Nord.

- Dit papa, quand est que je trouverais les champignons... Je n'ai pas envie de revenir tard... Il commence à faire très froid... questionna l'enfant.

- Ne t'en fais pas fils, j'en ai vu il y a peu sous un grand chêne noir. Répondit son père.

Ils avancèrent à travers la forêt, une forêt dense et feuillue, plus ils s'enfoncèrent à travers elle, plus l'obscurité grandissait. D'un coup, un frisson parcourut le dos de l'enfant.

- Papa... j'ai peur... murmura l'enfant à son père ne se doutant de rien.

- Y a pas d'raison P'tiot, tiens regarde on y est !! répondit le père d'un ton jouasse

L'obscurité autour d'eux semblait se mouvoir tel l'eau. Le petit garçon sentait que quelque chose n'allait pas.

- Père... récupérons ça vite s'il te plaît... quelque chose ne va pas ici..

tourné vers son père, le petit vit derrière son dos une masse noire sortant de la pénombres, une forme indéfinissable... presque... Fantomatique. Le père vit le visage de son petit se changer en visage horrifié, et lui demanda

- Qui a t-il fils ?

Il se retourna mais ne vit rien, l'enfant balbutia :

- Pa..p...Papa... i... Il.. y a une ... chose dans ce bois...

Le père se tourna vers son fils apeuré et le vit pris d'une panique inconnus. Jamais encore son enfant ne fut sujet à une telle panique. Le père commença à se demander ce qui n'allait pas et la peur de son fils était contagieuse, lui aussi commença à se demander ce qui ce tramait dans ce bois.

Il se dépêchèrent de récupérer les champignons, mais agité à cause de la peur ils ne firent point attention et en laissèrent une partie. Le père récupéra son tronc d'arbre et ils quittèrent ce petit endroit lugubre. La chose cependant, continuait de se mouvoir dans l'obscurité suivant les deux compères.

L'enfant avança d'un pas rapide et son père le suivait d'un pas lourd et bruyant. Ils traversèrent les chemins sombres et boueux de la forêt avec une impression étrange...

Soudain, ils virent une chose sortir des buissons, aussi grosse qu'un chien. Ils n'eurent pas le temps de définir sa forme, qu'ils se firent poursuivre par cette chose. Ils coururent à travers les feuillages et la noirceur de la forêt pendant un temps qui leurs parut infini. La peur au ventre, le petit suivait son père du mieux qu'il pouvait, son père le tenant fermement par la main.

Malheureusement cette chose fut trop rapide et attrapa le petit par le talon et le traîna hors de l'emprise de son père. Son père qui d'ailleurs lança le tronc d'arbre en direction de la chose mais se rata... L'enfant commença à gémir ! La pénombre montrait une scène qui laissa à penser à un loup géant, dévorant l'enfant à travers une ombre menaçante. Accourant vers son fils,

- Nigel !! hurla t il...

Il découvrit qu'il s'agissait en réalité de leur chien, un chien à l'apparence d'un loups noir aux yeux d'un ambre profond. Le petit n'était pas en train de se faire sauvagement dévorer, mais simplement se faire lécher par son gentil compagnon. Rassuré par cette rencontre angoissante, mais chaleureuse, ils continuèrent leurs chemins vers leurs petite cabane.

Une fois rentrés, le père s'allongea sur une chaise fêlé qui craqua sous le poids du colosse. Son fils, sa femme et sa fille pouffèrent de rire autours de la table du souper. Une situation bien drôle pour cette petite famille. Ils commencèrent à manger la soupe préparé par la mère et une fois cela fait, les deux chenapans filèrent se coucher. Niggel regarda depuis son lit, la fenêtre qui donnait sur l'entrée sombre de la forêt.

Il vit une chose qui le terrifia, la même forme noire sortant de la forêt. Des yeux brillant d'un jaune pisse profond injecté de liquide noir. Cette masse fantomatique disparu d'un battement de cils. Le petit terrifié sorti en panique de sa chambre et accouru vers son père pour le prévenir.

- Papa ! J'ai revu la chose qui vit dans la forêt... la forme qui m'a fait peur tout à l'heure...

Le père ne le croyant pas, lui rappela :

- T'inquiète pas mon gamin, c'est qu'le chien qui t'a joué un mauvais tour. File te coucher

- Mais papa, je te ...

- FILE, te coucher. Rétorqua son père agacé par son fils

Le petit retourna dans la chambre juvénile et se blottit dans son lit. Il se tourna vers la fenêtre. Et...

Rien... il ne vis rien au travers... mais pas seulement rien... Il ne vit que du noir émanant de cette fenêtre, il ne distinguait même plus l'entrée de la forêt éclairée par le clair de lune. Ce qu'il vit fut pire.

Entre les tronc d'arbre formant les murs de la cabane, se glissait un fluide noir visqueux qui envahis la pièce. Tétanisé, l'enfant ne bougeât pas, sa sœur, dormant dans le lit d'à coté, eut le malheur de bouger... pendant quelque seconde... rien ne se fit entendre...

Puis d'un coup, le mur de tronc en chêne se brisa et plusieurs forme noire aiguisé sortant de ce fluide vinrent empaler la sœur à de multiples reprises en emportant la dépouille dans la noirceur. Les cris d'agonie de l'enfant firent venir les parents précipitamment dans la chambre. Ce qu'il virent les subjuguât. Ils virent leurs fils lévitant face à eux les yeux blanc comme si il fut possédé par un être démoniaque, entouré par une masse noire informe.

Soudain, un pieux noir vint traverser le dos de l'enfant ressortant par son torse éclaboussant la pièce de sang et de viscères. Le petit Niggel mutilé, se fit avaler par cette masse noire informe et démoniaque. Les parents impuissant face a cette scène de carnage furent tétanisé. Des yeux jaune pisse injecté de noir apparurent dans cette masse noire.

Le père tenta de prendre un bout de bois provenant du mur explosé pour le lancer dans cette chose. Au contact de cette forme, le bois s'embrasa d'un feu violet et fut consumé en quelque seconde. L'ombre se rependit alors dans la pièce et des pieux noir vinrent assassiner les parents dans un bain de sang avant de les engloutir dans la noirceur infini.

Puis, plus rien, aucun bruit, aucun mouvement, cette chose avait disparut laissant derrière elle, une cabane en ruine, dont les ruines furent éclaboussé de sang.

Tandis que ce carnage arrivât, à plusieurs lieux de cela, dans le Château du géant endormis. Un jeune homme endormis dans un beau lit douillet au milieux d'une salle tapissé de fresque faite en écailles de Dragon, se réveilla en sursaut.

Fin du prologue

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