Psychological Love

Chapitre 5

Ses jambes tressauté depuis un moment déjà. Il fixait l'homme en face de lui avec un visage neutre. Il n'en pouvait déjà plus alors que cela ne faisait à peine que quelques minutes qu'il était assis sur cette chaise. Pourquoi devait-il supporter tout cela ? Il voulait bien faire des sacrifices pour la mission, mais il trouvait que tout cela était exagéré, ils auraient pu simplement se servir comme ils le faisaient d'habitude. Au moins, ce dit Sanzu, il ne s'ennuyait pas avec la jeune femme, même si ça ne rendait les choses que plus compliquée pour lui.

-Comment se déroule votre séjour ?

Sanzu ria d'un rire moqueur.

-Mon '' séjour '' se déroule bien, nous avons une belle vue, des activités géniales et des gens qui se foutent de nos putains de gueules !

Ses derniers mots avaient été dits avec colère, sa posture avait changé et c'était fait menaçant, sa jambe avait aussi arrêté de bouger. Il reprit contenance et son geste reprit.

-Vous avait des crises de colère

Le psychologue écrivit dans son carnet. Sanzu le regarda faire et ce simple fait l'énerva encore plus. Il respira, essayant de se calmer.

-Avez vous pu faire des liens ou parler avec certains patients ?

Sanzu ne répondu pas.

-Vous êtes proche de la jeune schizophrène, non ?

La colère de Sanzu remonta.

-Elle a un putain de nom tocard !

-Oui, bien sûr

Sanzu était en train de se retenir violemment de prendre la tête de l'homme et de la fracasser encore et encore sur le mur blanc derrière lui.

-J'ai eu des rapports comme quoi, vous aimiez particulièrement, donnez du fil à retordre au personnel, et que depuis que vous êtes là, vous avez entrainé avec vous, dans vos délires de tordus, la jeune schizophrène

Les derniers mots avaient été accentués par le médecin. Sanzu respira pour calmer ses nerfs. Enfin essaya.

-Ce sont vos foutues règles de merde qui l'empêchaient de vivre avant mon arrivée !

-Vous avez un problème avec notre règlement ?

-Oui, surtout si ceux qui doivent les faire respecter, ne les respectent pas eux-mêmes !

Maintenant les deux hommes se regardait avec défi.

-Que voulez vous dire ?

Sanzu se rendit compte de ce qu'il venait de dire.

'' restes discrets''

Il se leva soudainement. Il devait faire un truc avant que les choses dégénèrent vraiment. Bien sûr, sa pensée première était de fracasser l'homme, mais il devait faire en premier la mission. Et Zumi...

-Et arrêtez de l'appeler la schizophrène ! Elle s'appelle Zumi Hatania !

Le médecin le regarda avant de soupirer.

-Très bien, quel genre de relation avez-vous avec cette fille ?

Sanzu était rassuré qu'il soit passé à autre chose, mais son sang était vraiment en train de bouillir. Il ne respectait pas du tout la jeune femme.

-Un jour, je, vous tuerai ! Et ça, croyez moi, ce n'est pas une menace, mais une promesse.

Il quitta le bureau sans rien ajouter de plus. Une infirmière postait à la porte le reconduisit jusqu'au secteur des patients. Elle essaya de lui demander, par politesse, si cela, c'était bien passé, ce à quoi le jeune homme répondu.

-Ferme ta gueule de suceuse !

La jeune infirmière n'avait plus rien dit. Ils arrivèrent au niveau des chambres et Sanzu partit vers la 23, celle de la jeune femme.

-Ce n'est pas votre-

-Ta gueule !

Il entra dans la chambre et vit une masse étendue au sol.

-T'es morte ? Demanda-t-il en s'approchant doucement et relâchant toute la pression.

Sans ouvrir les yeux, elle répondit.

-Sanzu ? Non, il fait chaud

-Et tu t'allonges parterre ?

-Sarya a dit que c'était une bonne idée

-Elle doit être folle

-Plutôt oui

Le jeune homme s'allongea près de la jeune fille.

-Il faudrait que tu me présentes toutes les personnes dans ta tête

Zumi tourna son visage vers lui et ils se regardèrent dans les yeux.

-Tu me raconteras un truc sur toi ensuite ?

-Ça marche

La jeune fille tourna son regard jusqu'au plafond.

-Ils sont quatre et ont tous une personnalité différente, Senchi, Sarya, Moco et Kana

La jeune fille ne dit plus rien.

-Ça doit être la fête dans ta tête avec tout ce monde

Zumi rigola avant de reprendre son sérieux.

-Ils sont tous plus ou moins comme nous

-Comme ''nous'' ?

-Tu sais..... Un peu fou

Zumi reposa son regard sur Sanzu, qui lui ne l'avait pas lâché des yeux.

-Mes cicatrices à moi....

Zumi curieuse depuis un moment à ce sujet se mis sur le côté pour mieux voir et écouter son ami.

-C'est une personne qui me les a faites.... Disons qu'il était énervé à cause d'une personne et il s'en est pris à moi et puis voilà ce que ç'a rendu comme résultat

-Ce n'est pas juste

-Mais rien n'est juste dans ce monde Zumi

-Je ne t'ai jamais vu dire un truc comme ça, on dirait un philosophe

Sanzu ria de bon cœur vite suivi par la jeune fille. Ils riaient sans interruption pendant de longues minutes, jusqu'à que la jeune femme attrape la main du jeune homme.

-Sanzu.... Est-ce que..... Tu me promets de ne jamais me lâcher ?
Je veux dire..... Peut-on ne jamais se séparer et rester amis ? J'aime être en ta compagnie, j'ai l'impression de pouvoir être moi-même... et C'est la première fois aussi qu'on accepte les personnes qui sont en moi et qui m'écoute comme tu-

-Zumi...

La jeune fille se stoppa et baissa les yeux.

-Je ne peux rien te promettre... mais je suis d'accord avec toi.... J'aime bien aussi ta compagnie, et j'espère pouvoir continuer à faire chier et enculer les gens d'ici avec toi encore un moment.... Mais on ne sait pas ce qui pourrait arriver, alors faisons juste chier les gens comme nous le faisons et faisons-nous encore et encore crier dessus par Maya

Zumi éclata de rire, ce qui fit mal au cœur de Sanzu. Ils ne pourront pas vivre encore ensemble longtemps et rire ainsi. Parce que sa mission ne durerait pas indéfiniment. C'est pourquoi il ne pouvait rien lui promettre, puisqu'il ne pourra pas tenir cette promesse, dans seulement quelques mois tous serait fini. Il ne restait déjà plus que quatre mois et quelques jours.

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Bonjour, l'histoire continue, mais je tenais à m'excuser, j'ai des problèmes ces derniers temps et je ne peux pas trop être actif par ici, mais je m'excuse de ne pas répondre ou autre, un peu dure à expliquer et long, mais je continue Psychological Love.

Je ne vais pas m'attarder.

Je m'excuse pour les éventuelles fautes d'orthographes.

Merci d'avoir lu !