Pourquoi je rigole??

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C'est tellement bien d'être toujours souriante, de toujours rire, de blaguer,

d'être comme si on avait aucun problème;

Je passe le plus clair de mon temps à rigoler et pourtant je souffre;

Derrière chaque sourire se cache une grosse peine;

Maintenant je me caches derrière un masque que personne n'a su déchiffrer ou bien ça n'intéresse personne;

Chacun sa merde j'ai compris😖

Je pensais être tourmenté seulement physiquement mais je me rend compte que mentalement je ne suis plus.

Mais je rigole 🤦

Encore et encore;

Suis devenu plus que marrante;

Et c'est tellement bizarre.

Je ne me soucie plus de rien,

Plus rien ne m'importe, comme si la vie n'a plus de valeur pour moi;

Les p'tits trucs que je chérissais ne comptent plus;

Rien ne me surprend plus;

Que dire, je n'attends plus rien de la vie;

Je ne vis que pour le présent et le futur sais ce qu'il se fait;

Les p'tits caprices, les p'tits problèmes que j'essayai toujours de résoudre,

pour lesquelles je perdais la paix jusqu'à la résolution, eh bien ils ne m'intéressent plus🤷‍♀

'T'es devenu égoïste, tu ne pense qu'à toi même'

'Tu souffre parce que tu fais souffrir les gens 🙄'

Laissez moi vous dire que je ne pense à rien,

Je vis juste pour vivre;

j'me sens tellement seule mais je n'arrive pas à en parler...

je suis là à soutenir tout le monde mais quand c à moi de parler de ce que je vis *

ou ressent j'ai un blocage qui se fait...

suis tellement triste j'part a rire dans des moments impossible

et je n'arrive plus a gérer mon stress...

j'ai tellement le goût de tout lâcher

alors que je n'ai aucune raison évidente de le faire...

j'ai tlm de poids qui est accumulé sur mes épaules...

des pensées qui tourne en rond dans ma tête,

des paroles même des gestes.

Quand je sors, je fais tout pour cacher ma douleur,

Je souris, je ris, je fais semblant d'être en bonne humeur.

Je ne veux pas que les autres voient ma peine,

Je ne veux pas qu'ils me plaignent.

Quand je sors, masquant ma souffrance,

Je veux que nul ne devine mon errance,

Car dans cette vie qui semble si belle,

Mon cur est en proie à une douleur cruelle.

Je cache mes larmes derrière mes lunettes de soleil,

Je fais tout pour que personne ne remarque mon mal-être.

Je ne veux pas être un fardeau pour les autres,

Je veux être fort, je veux être autonome.

Je m'en vais parmi les passants,

Un masque sur mon visage pesant,

Je souris, je ris, je fais semblant,

Mais cette tristesse en moi se serre les dents.

Ils ne doivent pas connaître mon mal,

Ce tourment qui me ronge, cette plaie morale,

Car je souhaite préserver leur bonheur éclatant,

Et ne pas ternir leur monde rayonnant.

Je marche dans les rues, noyé dans la foule,

Et personne ne soupçonne ma déroute,

Mon esprit est en guerre, en proie aux doutes,

Mais je m'accroche, je lutte, avec une force qui se démultiplie, et qui se double.

Je cache mes larmes aux yeux des autres,

Derrière des sourires faux comme des apôtres,

Car ma douleur est ma propre croix,

Et je peux la porter, sans l'étendre sur moi.

Quand je sors, je préfère me taire,

Pour ne pas dévoiler ma douleur solitaire,

Car je veux préserver l'insouciance en chacun,

Et ne pas entacher l'innocence des humains.

Alors que la nuit tombe, dans le secret de mon chez moi,

Je laisse s'écouler mes larmes en silence, sans émoi,

Et la douleur se libère, s'échappe de mon être,

Mais demain, je sortirai à nouveau, en masquant ma détresse.

Car quand je sors, ils ne doivent pas, ils ne doivent pas connaître,

La profondeur de ma peine, qui me fait tant renaître,

Je préfère garder cette douleur en moi, dans l'ombre,

Et continuer de sourire, même lorsque mon coeur sombre.

Mais parfois, la douleur est trop forte,

Elle me submerge, elle m'envahit sans que je puisse la contrôler.

Alors je rentre chez moi, je m'enferme dans ma chambre,

Et je pleure en silence, sans que personne ne le sache.

Je sais que je dois affronter ma douleur,

Que je ne peux pas la cacher indéfiniment.

Mais pour l'instant, je préfère la garder pour moi,

Et continuer à sourire, même si mon cur est en émoi.

La vie est un songe, et le plus fou des rêves

Ce n'est pas d'être heureux en ce monde infini,

Mais de se sentir vivant, même quand on souffre

My HeartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant