J'veux pas te faire de mal, j'te protégerais quitte à leurs foutre une balle,
Ils font les chiens ils ont la gale, prétendent que t'est anormale,
Ce ne sont que des animaux, qui ne veulent que te causer tout les maux,
Normal qu'tu finisse émo, normal qu'tu sois blessée par tout les mots,
évidemment qu'j'ai la haine ils ont pourris ma vie et la tienne,
et l'autre conne t'as le droit de la traiter de chienne, ces bâtards ont pas plus de valeur qu'un demi yen,
écoute pas les rires des hyènes, ici la souffrance est quotidienne,
J'ai appris à crever les harceleurs de par moi-même,
J'ai appris à crever puisque je meurt à cause de «je t'aime »,
La vie laisse ses cicatrices, regarde donc ce petit gars triste,
Il à le regard vide aussi qu'attristé, et c'est pas par pitié qu'il faut lui assister,
J'ai mon empathie et aussi des milliers de démons,
Un jour avec l'effort ensemble on pourra gravir des monts,
Faut juste marcher sur les pieds de ceux qui nous veulent au plus bas,
Avant que pour respirer t'ai besoin d'un tuba,
Eh fait gaffe te noie pas, ils te prennent pour un appât,
enferme les ils sauront c'que ça fait de vivre en appart,
montre leur ton potentiel comme l'a fait l'empereur Bonaparte,
De mon côté j'ai deux trois personnes à venger, puis j'irai en vacances à Angers,
Je sais j'ai beau tout changer, au final c'est ma peine que j'doit ranger,
Toujours parler de peine, toujours dire j'emmerde le Pen,
Je ne perd pas mes idées j'suis toujours avec ma haine, j'suis pas de ceux qui sortent dans le glacial couvert de laine,
Je sais le monde est, ni blanc ni noir, ni bon ni bâtard, ni tôt ni tard, ni trop ouvert ni placard,
Y'a quand même trop de problèmes, y'en a qui tuent au nom de l'emblème,
J'aime pas ceux qui disent que dieu n'existe pas, y'a du bordel mais c'est le diable qui nous veut au plus bas,
J'suis croyant depuis le jour ou je me suis rendu compte de ma malédiction,
J'pensais pouvoir faire confiance à ces fausses prédictions,
Uh, j'aime pas la voyance rien n'arrive jamais,
sinon j'crois bien que ce monde serait moins laid,
La facette des genre dans la rue n'est que triste peinture,
j'ai pas été assez fort pour aider Arthur,
j'suis condamné à me prendre tout les murs,
j'sors toujours avec mon armure,
Les critiques incessantes,
l'ont presque rendue convalescente,
quand t'est en haut ils veulent tous ta descente, oublie pas qu'on se forge que dans les situations oppressantes,
qui que tu sois garde toujours ta putain de flamme incandescente.
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Compilation de mes chansons, citations, poèmes et réflexions.
PoetryChaque chapitre peut être un poème, comme un texte ou une chanson et parfois une réflexion. (si vous voyez des écrits qui sont publiés dans mes autres recueil, c'est normal, puisque cette histoire là est une compilation d'anciens et de nouveaux trav...
