02.Coincidence.

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Musique pour ce chapitre:

- FiloChill- lost in my mind-

Bonne lecture 📖

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Le seul bruit qu'on pouvait entendre était l'eau qui couler sur mon corps, un corps qui me dégoûte remplie de défauts et de blessures autant physique qu'intérieur, mais il n'a aucun qualité, bonne qu'à repousser les gens qui posent leurs regards sur celui-ci.

Pendant douze ans cela a durer et encore aujourd'hui, j'ai fini par m'y habituer à force. Mais cela m'a permise de comprendre à quel point les gens ne cherchent pas à te connaître, ils se permettent de te juger simplement par ton apparence sans te connaître toi et si tu n'est pas à leurs goût il ne chercheront pas à te connaître.

Je n'ai pas besoin d'un homme pour vivre et je ne laisserais pas mon géniteur croire que sans lui je ne suis rien. Je pourrais très bien mettre fin à mes jours mais pourtant je ne le fais pas. Pas avant de m'avoir venger au près de tout ce qui m'ont fais tant souffrir.

Je met un haut noir à manche longue et un pantalon bleu. Je prend un sac avec tout ce que j'ai besoin. Je sort de mon appartement et cette fois-ci je fais bien attention de fermer la porte derrière moi.

Je monte dans ma petite voiture que je me suis achetée malgré le peu d'économie que j'ai, je roule pendant une bonne dizaine de minutes et pendant tout ce temps j'ai l'impression d'être observer, j'essaye constamment de regarder autour de moi pour chercher la source de cette impression mais rien, et cela commence à me rendre nerveuse.
J'arrive devant la résidence et tout de suite les souvenirs commence à vibrer dans ma tête, mon cerveaux me hurle de repartir et de ne plus jamais revenir ici mais pourtant mon corps refuse encore et encore d'obéir.


Je vais t'apprendre les bonne manière salle gosse !

Oh mon dieux tu as encore grossis ! Il faudrait que tu arrêtes un peu de te goinfrer à chaque occasion !

Mon amour pour la nourriture n'était pas du même avis et a eu raison de moi, mon obsession pour la nourriture a diminué avec le temps mais j'adore tout autant manger mais parfois je me sens obligé de m'en priver. J'avale difficilement la salive et me dirige vers la porte, je toque et tout de suite après quelqu'un m'ouvre la porte.

-Isabella, ça fait longtemps, rentre !dit-elle avec un sourire hypocrite.

-Ravie de te revoir Chealsy, dis-je avec un sourire sincère.

Mais mon sourire se fana quand je le vis s'approcher de moi avec un air mauvais. Je sais que ma venu n'est pas simplement pour parler de la vie ou encore de moi même si au fond je l'aurais espéré.

— Isabella, tu arrive pile à temps, nous étions sur le point de passer à table !dit l'homme qui me sert de beau-père.

Nous nous installons autour de la table et tout de suite un silence plus que lourd s'installe dans la pièce, ne voulant pas tourner autour du pot je décide de prendre la parole.

— Je suppose que la venue n'est pas simplement pour dîner en « famille » je me trompe ?dis-je.

— Eh bien, tu as raison, nous t'avons fait venir pour une raison bien précise, moi et ta belle mère avions pris une décision, dit-il d'un air sérieux.

LOSDIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant