Double face?

Chapitre Premier

Ceux qui ont la ref du moment, vous des fan absolu de cet anime ;)
Bonne lecture!

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     Une chaude journée débuta en ce mois de juillet, qui apportait toute sa lumière et sa chaleur aux plantations de la petite serre des Bonst.
     Violette sculptait tranquillement son crayon dans celle-ci avec une petite lame, pour rendre son outil plus précis.
     Assise sur une chaise improvisée du muret, elle dessinait calmement une énième fleure dans son carnet. Le grain du papier était épais, et la sensation de le parcourir avec son crayon était exquise. Les rayons de soleil parcourant sa peau étaient agréable, et elle se plaisait à écouter les oiseaux chanter comme seule mélodie.

Le jardinier qu'elle avait engagé s'occuper à merveille de son petit paradis, et comme elle vivait seule dans cette maison bien trop grande pour une, elle avait gardé une chambre pour son employé. Le schéma se répétait aussi pour son majordome, Sebastian, et sa femme de ménage, Molie.

Satisfaite de son croquis, elle saisit sa palette d'aquarelle, un pinceau fin et un petit bol pour le remplir d'eau. Elle sortit donc de la serre, et se dirigea vers le fond de son jardin ou un pichet d'eau l'attendais sur une table en pierre, comme chaque matin.
Malheureusement, son moment de tranquillité se trouva tomber à l'eau, car le devoir l'appelait: son majordome lui apprit en arrivant à sa hauteur que du courriel l'attendait, et que certaines de ces lettres étaient importantes.

- Très bien, attendez moi dans le hall, j'arrive tout de suite.

Elle rassembla ses affaires et tourna les talons. Violette sortit enfin de la serre muni de son calepin et se dirigea vers l'entrée de son humble manoir - il n'était pas très grand - pour prendre part des affaires courantes comme urgentes.
Sebastian se présenta devant elle pour lui ôter des mains son encombrant matériel, et ainsi l'aider à se mettre plus à l'aise. Elle épousseta sa fine robe - aussi fine pour des raison météorologique - bleu pâle, si pâle qu'elle était presque blanchâtre. Elle salua Molie qui passait par là d'un signe de tête, et monta à l'étage pour entrer dans son bureau, anciennement celui de son père.

Son majordome l'informa que ses papiers reposaient sur son bureau, mais inutile de préciser qu'il serait là en cas de besoin.
Elle prit place dans son fauteuil en cuire et observa la petite pile d'enveloppes, soigneusement préparées à être ouvertes. Elle s'aida d'un coupe papier qu'elle sortit d'un tiroir, et coupa délicatement avec celui-ci le dessus des enveloppes.
Étant à la fin du mois, les factures s'empilaient au coin du bureau et Violette notait dans sa tête de les payer rapidement, pour en être débarrassé. Elle déballa une autre petite lettre, et fut très surprise de l'expéditeur; la famille Moriarty organisait une rencontre avec les nobles du voisinage pour prendre le thé dans leur demeure.
Cela n'était jamais arrivé au paravant, et elle se doutait que la situation avait dû échapper à Albert, l'aîné, qui avait donc accepté à contre cœur d'organiser ce thé.

Par contre, Violette ne faisait aucunement partie du groupe de noble que les Moriarty fréquentaient. Et elle ne faisait pas non plus partie du voisinage de ceux-ci.
En tout cas, la rencontre était prévu pour ce samedis, et nous étions aujourd'hui lundi. Elle avait tout le temps d'y réfléchir. Alors elle laissa la proposition des Moriarty de côté pour s'occuper des factures.

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Le quotidiens de Violette Bonst n'était pas forcément intéressant. Il se construisait de tel manière à pouvoir dessiner la plus part du temps, passer une heure le matin et deux heure l'après-midi pour gérer son entreprise de papeterie - qui était ma foi très reconnue et utilisée dans beaucoup de bureau de poste - et se reposer dans la soirée, qui parfois pouvait finir tard à cause de certaines urgences au travail.
Même si c'était une femme, c'est elle qui avait tout investi dans cette papeterie, et c'est grâce a son apparence fière et distinguée qu'elle sut conquérir les clients - surtout les artistes - qui s'arrachaient son papier de très bonne qualité.