(Musique : Romantic Homicide - d4vd)
Précédemment, PDV Tiger :
— Je ne comprends pas où est le problème, Tiger.
— Ouais, je sais.
Pile lorsque j'ai fini ma phrase, un coup de feu retentit et résonne dans l'entièreté du château. Ophelia se mortifie à mes côtés, les muscles rapidement tendus, les yeux grands ouverts.
Je bloque la mâchoire.
Voilà où est le putain de problème
*
(Certaines scènes pourraient heurter votre sensibilité dans ce chapitre. Faites attention et bonne lecture !)
*
| 𝐅𝐎𝐗 |
Une heure avant.
Avec Raven, nous avons trouvé le coin parfait pour passer une agréable soirée. Nous nous tenons debout près d'un comptoir emménagé dans la véranda, qui n'est pas très fréquenté. Nous avons petits-fours et coupes de champagne à volonté.
Malgré le brouhaha ambiant de la salle, le coin est plutôt agréable. La véranda est entièrement vitrée, des murs au plafond, et lorsque je penche ma tête, je peux observer le ciel étoilé. La nuit était déjà tombée lorsque je suis arrivé avec Ophelia, il y a de ça peut-être deux heures.
Soudain, un type que je reconnais comme l'une des connaissances de Raven, qui fait partie du gang, se rapproche de nous d'un pas décidé.
Je lance un regard au corbeau, et celui-ci semble ne l'avoir remarqué que maintenant.
Le type me salue en arrivant, puis se tourne directement vers mon frère, il est donc dos à moi et j'assiste à leur discussion en retrait.
— Raven, c'est toi qui a les clés de la pièce, tu sais... ?
Le corbeau semble comprendre et il fronce les sourcils, puis fouille dans toutes ses poches. Mais il est tellement bien organisé que s'il les avait récupéré, il le saurait déjà.
Ce type doit être l'un de ses collègues, et il doit comprendre à quelle pièce il fait référence, parce que cette information me dépasse.
— Non. Vous les avez perdues ?
— Je ne sais juste plus à qui je les ai filés.
Il pousse un râle de pure réprobation.
VOUS LISEZ
POUR LE CŒUR D'UN TIGRE | Intégrale [SOUS CONTRAT D'ÉDITION]
Romance- TOME 1 disponible dans toutes les librairies🌹- "𝑷𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒏𝒆 𝒗𝒆𝒖𝒕 𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆𝒓 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆. 𝑷𝒂𝒓𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒐𝒓𝒔𝒒𝒖'𝒐𝒏 𝒚 𝒎𝒆𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒊𝒆𝒅𝒔, 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒔𝒔𝒊𝒃𝒍𝒆 𝒅'𝒆𝒏 𝒓𝒆𝒔𝒔𝒐𝒓𝒕𝒊...