Chapitre 28 : 𝑈𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑟𝑒́𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠.

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C'est une énorme boîte de nuit.

Malia se tourne vers moi, elle sautille comme une enfant.

- Oh putain Iris on va trop s'amuser. Ça va être génial je le sens.

Elle me prend par la main et on se dirige vers le bar.

Un barman se dirige vers nous.

- Je vous sert quoi les filles ?
Demande t'il avec un sourire charmant.

On réfléchie puis je prononce.

- Et bien servez nous votre meilleur cocktail s'il vous plaît ?

- Il est assez fort ça vous va?
Demande t'il.

On hoche positivement la tête.

Après les avoir préparés et servis, on se tourne et allons s'assoir sur des tabourets hauts.

La musique est forte. Très forte.

- À trois on goûte ?
Me dit ma meilleure amie.

- Ok, 1...

- 2....

- 3! On boit!

On goûte et mon dieu c'est vraiment délicieux. Je dois avouer que c'est un peu fort en goût mais c'est sucré. J'adore.

Malia a l'air d'aimer aussi vu sa tête.

On entend une autre musique passée.

- OH! J'aime trop cette musique! Viens on va danser !!!

Elle m'entraîne sur la piste. Et on attend pas une seconde avant de se déhancher en dansant au rythme de la musique.

Même si j'aime pas les boites de nuits, de temps en temps j'accompagnais Malia et c'était vraiment amusant.

On rigole toutes les deux.

Après la musique on ce dirige de nouveaux vers le bar et on demande cette fois ci des verres de shot. On en met une lignée sur notre table. Six exactement.

On ce donne le top départ et on boit cul sec. Trois chacune. On fait toute les deux des grimaces.

Et sa part en boucle, on boit, on dance, on boit, et on dance, encore et encore.

Apres un long, très long moment, on finit par aller au toilette, non pas pour vomir mais parce que Malia a une petite vessie.

On titube, on ne marche pas droit. On a un peu trop bu...
Beaucoup trop...

Une fois qu'elle est terminé, Malia me prend la main.

- Regarde y'a des escaliers, viens on va voir!
Dit elle en rigolant.

Je la suis, en rigolent moi aussi, je n'ai plus aucune force donc...

Il y a de nombreuses portes.

- Attends Malia...,

Mais trop tard elle venait déjà d'en ouvrir une.

En ouvrant la porte on peut apercevoir des hommes et des catins.

La fumée rentre dans mes narines.
Quel horreur.

Ces hommes me donnent vraiment pas envie de rester ici.
Vraiment pas.

Je tire Malia qui se décompose en regardant les hommes.

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