Chapitre 49 : 𝐹𝑒́𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛.

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Maman,

Tu n'es plus de ce monde. Je le sais.
J'ai fini par bien le comprendre...
Cette vérité qui me ronge bien trop depuis ton départ trop dur pour moi...
Pourquoi rien n'est simple.
J'ai cette sensation que tu es la près de moi...
Chaque jours passé sans toi était atroce car pour moi le monde qui tourne et que je préférais était celui dans tes bras, tes bras qui pour moi était des boucliers.., des boucliers qui peut être m'empêchait de voir et de confronter mon monde.
Je le vis bien tu sais, d'aller mal. J'ai pris  l'habitude, de ce rien qui me brûle le cœur. J'ai l'habitude du vide, du silence, et d'être constamment seule. Seule...
Suis je vraiment seule...? Ou peut être est ce moi qui reste dans le passé...?
Je me rappelle toutes ces citations que tu me disais étant enfant et bien sûr que je ne comprenais pas, comment aurais je pu?
Je me souviens particulièrement de celle ci, « "Ne laisse jamais personne éteindre la lumière dans tes yeux et te faire perdre ton sourire. Fais tes choix, vis les avec tes erreurs, fais face à tes peurs, laisse le passé derrière, avance sans te retourner et dis-toi que le meilleur reste à venir. Et si tu penses avoir perdu un petit bout de bonheur, ne t'en fait pas, un autre pourrait t'en donner le double !"
...
Oui mais..., c'est toi qui me repousse et m'attire dans le passé en même temps...
Cette putain de lumière je l'ai perdu. Il y a bien longtemps. On me l'a arraché, bien trop fort ce qui a brisé mon âme comme une petite poupée de porcelaine...
Peut être que ce temps est révolu ? Peut être ai je trouvé la personne qui pourra petit à petit recoller..., j'ai peut être même l'impression que cette personne sombre réchauffe mon cœur qui a froid, et bizarrement, cette lumière resurgit, comment..?
Et c'est sur ce chemin, ce long chemin qui continue devant mes yeux, il c'était pourtant arrêter et ce mur immense qui me bloquait, disparu.
Il disparu d'un coup et je pus enfin voir mon chemin...
Je me suis donc retourné une dernière fois et je t'ai dis adieu.
Ce matin je me suis réveillée différemment. J'ai accepté que la vie continue je pourrais toujours t'aimer. tu pourrais toujours me manquer mais je serais mieux sans toi ... Donc je termine ce chapitre de mal parce que je mérite  d'être heureuse, et tu pourras maintenant simplement veiller sur moi, sur nous.
Maman.
N'oublie jamais à quel point, je t'aime, oui putain je t'aime, et pardonne moi pour toutes les bêtises que je devrais encore commettre pour sauver les personnes que j'aime.
A bientôt maman.











Je vois Dark au sol, en sang...

Il a pris toutes les balles à ma place...

Le sang coule à flot, et continue de se répandre sur le sol.

J'ai l'impression que le temps est au ralenti.

Je regarde autour de moi...

L'homme en face sourit.

Je bouillonne de colère, de haine.

- Iris vas t'en!
Me hurle Dark.

Je n'attend pas et fonce à tout allure sur cette enflure.

Je tomber au sol avec lui, je sors le couteau que j'avais caché sous ma jupe et le plante de toutes mes forces.

Il hurle de douleur..

Une fois qu'il a bien souffert, je lui lève la tête et lui tord le cou d'un coup.

Mort.

Je prend sa mitraillette et me lève.

Dark me regarde en aillant les yeux légèrement grands ouverts.

Il essaye de se lever mais le fait d'avoir trois balles dans son ventre ne l'aide pas.

Alors j'avance, je passe à côté de lui.

- Iris! Irisana Blake! Arrête toi! Ne pars pas!!!

- Je dois aller chercher Malia. Fais attention Dark, et si y'a des méchants, fais le mort.

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