Chapitre 23 : 𝑀𝑎 𝑚𝑢𝑠𝑒.

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J'ai continué...

Suis-je assez inconsciente, ou juste simplement perdue...?

Peut-être les deux...

On continue de s'embrasser, mais à présent il veut introduire sa langue et sans que je m'en rende compte je l'ai lassé faire.

Ses deux mains sont atour de mon visage, il appuie dessus pour que mon visage soit encore plus proche qui ne l'est déjà.

Mes mains elles, ne savent pas où se mettre...

Mais en revanche je sais quelque chose, c'est qu'une grande partie de mon corps, aime ce qu'il ce passe.

Mes mains se remontent et se place près de son visage.

J'arrive à sentir l'odeur du tabac mélangé à celle du shampoing de ses cheveux.

Le baisé est très sensuel....

Beaucoup trop...

Il balade ses mains sur mes hanches, puis sur mon visage.

Il jongle entre les deux.

J'enlève l'une de mes mains de son visage et cherche ce que je veux sur la planche.

Puis d'un coup je place le flingue sur ses abdos et souris en coin.

Il l'a senti, car il sait arrêté d'un coup.

Il baisse la tête et quand il relève sa tête.

Je lui montre que j'ai gagné, j'ai eu ce que je voulais.

Je le provoque et il le sait.

Il baisse la tête une nouvelle fois, même cette fois, il ricane...mais c'est un rire mesquin, comme si il se moquait.

Bien évidemment je perds mon sourire.

- Iris, Iris, Iris. Tu crois vraiment que c'est ce flingue qui va m'arrêter ?

- Oui.

Il attrape mon cou, mais n'y met aucune poigne.

C'est juste sensuel.

- Je ne suis pas un putain d'o.b.j.e.t que tu peux utiliser quand tu veux.

- Un objet Iris?

- Tu viens m'embrasser, mais tu n'as pas arrêté de me rejeter, comme si j'étais une merde, tu m'utilises simplement quand tu en as besoin, juste pour te défouler, mais laisse moi te dire quelque chose, la nicotine existe, ça aide. Et surtout venant de toi Dark, les bars existent. Les putes plus exactement. Et MOI Dark JE ne suis pas une p.u.t.e, et je ne suis pas ton putain d'objet. Donc à l'avenir ne m'utilise pas juste car tu en as envie de te vider les couilles.

- Tu n'es pas une pute Iris, tu n'es pas non plus mon objet, tu es quelque chose d'autre.

- Ah oui et quoi donc que je rigole ?

- Eres mi musa princesa.

- Ta muse...?

- Exactamente, et à partir de ce jour, tu seras ma muse et simplement à moi.

Il se rapproche de mon visage, comme nous étions tout à l'heure.

- Et à personne d'autre.
Dit il sur un ton meurtrier, à m'en glacer le sang.

Mon cœur bat à cent à l'heure, j'ai l'impression que je vais mourrir ici, sur cette table.

- Tu as perdu Iris. Admet le.

- J'ai gagné.

Il me regarde et ne dis rien.

Je fronce les sourcils et je souris à mon tour mesquinement.

 PrincesaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant