Chapitre VI Du brutal

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Marie est isolée dans cette tour de béton très bien insonorisée.

Au moment où elle ne s'y attend pas, un homme fond très vite sur elle, sans qu'elle puisse réagir.

Il la plaque face contre le mur avec sa main gauche, et glisse sa main droite en caressant ses jambes sous sa robe, entre ses cuisses.

Pris de panique, elle a le souffle coupé et n'est pas en mesure de crier. Elle aperçoit rapidement le visage de son agresseur. Un homme plus âgé qu'elle. L'homme l'écrase de tout son poids et tente de la faire taire.

Marie tremble comme une feuille et à très peur. Son agresseur la maintient toujours plaqué debout.

Il maintient la pression sur elle dans son dos tout en s'appuyant de plus en plus fort contre son dos.

- Bouge pas ! Ferme-la ! sinon je te jure que je vais te faire très mal. Tiens-toi tranquille bordel !

Il appuie un certain temps, puis doucement relâche un peu la pression en se décollant légèrement tout en gardant sa main droite sur ses fesses. Marie tente de se dégager et se met à pleurer. Il la replace contre le mur sans ménagement.

- Bouge pas putain ! Reste comme ça, sinon je te casse le bras. Retourne-toi ! Face au mur ! Lui dit-il en s'énervant.

Il fouille ses parties intimes sous la robe. Il glisse sa main de ses fesses vers son entrejambe.

- Tu sais que t'es bandante avec tes jolis collants et ta petite...

Il plonge la main entre ses cuisses.

- Mais dis-donc tu portes un string ? T'aimes sentir une ficelle entre les cuisses ? Réponds-moi bordel !!!

- Ou...ou...ou...ou...

Marie fond en larme. Plus elle pleure plus il est excité.

- Putain qu'est-ce que t'es bien gaulé ! Tes belles gambettes et ton joli cul m'excite.

- Arrêtez ! S'il vous plaît non !

- J'arrêterai quand je voudrais. J'tai dis de la fermer.

Il retire sa main droite, se déboutonne le pantalon, et fait glisser son pantalon et son caleçon à ses chevilles pour laisser apparaître son pénis en érection. Il lui soulève la robe à nouveau, et lui fait descendre les collants puis le string. Marie se retrouve les fesses à l'air.

Elle tente de se dégager.

- Non ! non ! Non !

Son cœur cogne de plus en plus fort. Elle tente de reprendre son souffle.

- Ferme-la je te dis. La prochaine fois que tu l'ouvres je ne te préviens pas, je te pète le bras. T'as compris ? T'as compris... ? Secoue la tête ! Secoue la tête bordel !

Marie s'exécute, tout en tremblant. Ses yeux sont noyés de larmes qui coulent le long de ses joues.

Il relâche à nouveau son emprise, puis d'un violent coup de main lui arrache la robe, et lui retire le soutien-gorge. Il l'a déshabille entièrement.

- Bordel de merde qu'est-ce que t'es belle !

Il s'approche d'elle le pénis en érection. Il lui caresse les fesses et tente de lui introduire un doigt dans le vagin, mais Marie serre les jambes et les fesses tout en tremblant. Il tente à nouveau, sans succès...

- Putain de merde écarte les jambes !... tout de suite !

Comme elle ne bouge pas, il lui donne un grand coup de pied sur son pied gauche ce qui à pour effet de lui écarter les jambes.

- Voilà, bouge pas. Tu vas pas me fermer ton joli petit cul longtemps c'est moi qui t'le dit ma belle !

Il force ses doigts pour pénétrer son vagin et se colle contre elle tout en lui masturbant le sexe.

- Tu vois, je vais y arr... oh !... bouge pas j'te dis... je vais... y arriver quand même. Ah ben voilà !

Il insiste et pillonne son vagin. Un doigt, puis deux.

Marie pleure et souffre intérieurement, mais il est sans aucune pitié ni remords.

Il lui masturbe le clitoris et stimule son vagin.

- Allez détends-toi ma belle.

Il desserre légèrement l'étreinte. Sa main gauche glisse sur ses seins. Il lui malaxe les seins et pince ses tétons pour les faire durcir. Sa main droite se retire de son vagin.

Il se colle à nouveau contre elle, et alors qu'elle ne s'y attend pas, d'un coup de rein il la pénètre violemment. Son sexe dur s'introduit dans son corps.

- NONNN... !!!

- Ah... putain qu'est-ce que t'es serré. Hum.

Marie a le souffle coupé. La violence avec laquelle il la pénètre l'a fait sursauter.

- Nooon... nooon...

Elle tente de le repousser en pleur avec ses mains mais c'est trop tard, il est en elle.

Il la serre contre le mur et fait ses mouvements de va-et-vient sans ménagement. Il continue sans cesse de la prendre, puis peu à peu ralenti le rythme. Il lui caresse les seins.

À force de lutter, de fatigue, et de pertes d'énergie, Marie relâche ses nerfs. Elle n'oppose plus aucune résistance car le diable est entré en elle.

- Voilà, comme ça, c'est bien, t'es douce !

Marie est toujours en pleurs et les larmes de son corps saccadent au rythme de son cœur qui tout doucement reprend peu à peu du souffle. C'est impossible de lutter face à une telle menace. Elle a compris qu'elle était vulnérable et il s'est rapidement engouffré dans cette faille.

Plutôt que de lutter à peine perdu, Marie relâche tous les muscles de son corps. À quoi bon lutter.

Son agresseur lui à très vite compris la situation et utilise cette faiblesse à ses fins.

L'escalier de serviceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant