Chapitre VIII Jouissance

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Il n'avait jamais reçu une aussi bonne fellation. Son sexe dans la bouche de Marie durcissait de plus en plus.

Marie fermait les yeux et se contentait de faire ce qu'il lui demandait. Elle devenait sa poupée.

- Putain, comment t'es bonne... D'où sais-tu pomper comme ça... hum...

Elle sentait son gland se raidir de plus en plus dans sa bouche. Elle avait hâte d'en finir.

- Allez dépêche-toi aspire bien ! Oui comme ça !

Il se raidit, agrippe d'une manière violente les cheveux de Marie et se mit à gémir.

- ARGH... ! BOUGE PAS !

Il éjacula une première salve de sperme dans sa bouche. Elle ne put esquiver le moindre geste. Elle tenta malgré tout de se débattre mais il la bloqua. Il retira son sexe de sa bouche pour continuer à finir son éjaculation sur son visage. Elle se protégeait le visage mais il l'en empêcha.

- Sors tes mains, j'ai pas fini !

Après avoir éjaculé, il s'appuya contre le mur. Son sexe commençait à se ramollir. Il ne la regardait plus. Il se mit à reprendre une bouffé d'oxygène.

- T'as des mouchoirs ou du papier ?

Pas de réponse de Marie, elle était recroquevillé et en pleurs.

- Tu n'as rien donc ?

Là encore Marie ne lui répondit pas.

- Bon... je vais te trouver quelque chose.

Il ouvrit la porte de palier du troisième étage non occupé et se dirigea dans les toilettes. Là il se nettoya et récupéra du papier.

Quand il revint dans les escaliers Marie n'avait pas bougée. Elle tremblait, toute recroquevillé sur elle-même. Il s'approcha et lui tendit le papier.

Marie ne le regardait pas.

- Tiens !

Il tendit le bras et le papier.

- Tu le veux pas ?

Marie ne réagissait toujours pas. Pétrifiée elle ne voulait pas de son aide.

Il s'agenouilla et lui nettoya le visage.

Un bruit le fit sursauter plus bas.

- Dépêche-toi, debout, viens. Il lui attrapa le bras et la redressa. Il ramassa les vêtements au sol et la fit passer dans les toilettes du troisième niveau.

Il lui mis la main sur la bouche.

- Chut... ! Pas un mot.

Il tendit l'oreille et entendit une conversation de femmes.

- Voilà c'est bon elles sont partis. Je vais te nettoyer, viens par-là.

- Laissez-moi tranquille, vous avez brisé ma vie ! Dit Marie en pleurs.

- Je m'excuse.

- C'est trop facile de dire ça après ce que vous venez de commettre. Vous venez de me violer devant mon collègue... Quelle image il va avoir de moi à présent.

- Aucune, c'est un pédé, je vous ai longuement observé lui et vous.

- Je ne vais pas vous laisser vous en tirer comme ça.

Il se mit dans une colère noire.

- Des menaces ? Tu sais que t'es seule et qu'il y a personne d'autre que toi et moi.

- Alors je te conseille DE FERMER TA PUTAIN DE GUEULE !!!

Marie eut peur qu'il la tape, elle se protégea la tête.

- Tu as peut-être envie que je recommence ? Hein ! Tu as envie que je remette ça en plus violent ?

- Non, filez, laissez-moi tranquille, je vous en supplie.

Marie se dirigea vers le lavabo pour se nettoyer. Elle n'espérait qu'une chose, qu'il parte.

Il resta là à la regarder, sans un mot. Elle ne le calcula plus et essaya de se nettoyer le visage puis les cheveux.

Il recula subitement puis dans un moment presque inespéré il disparut.

Au-delà du traumatisme qu'elle venait de subir Marie ne lâcha rien et remonta rapidement à son bureau pour informer ses collègues et alerter la police.

Son collègue Damien les avait appeler et une voiture de patrouille arriva sur les lieux et le cueilla à la sortie du bâtiment.

Après cette agression sexuelle Marie fut arrêté pendant quelques semaines puis porta plainte contre son agresseur qui fut incarcéré et condamné à de la prison ferme.

Reconnu coupable, l'homme n'était pas connu de la justice.

L'escalier de serviceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant