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Je remballe mes affaires et sors en courant de la salle pour aller chercher du réconfort auprès de ma coloc qui est dans l'amphithéâtre juste à côté.
Je l'aperçoit rapidement et lui saute dans les bras pleurant de fausse larmes et me plaignant, et insultant Nanami au passage ce sale enfoiré.
Elle me caresse les cheveux en rigolant et me disant de me calmer, jusqu'à ce qu'on vienne m'agripper par le col, je cligne plusieurs fois des yeux pour comprendre ce qui se passe et je vois que ma meilleure amie gueule sur la personne qui me traine loin d'elle.
Je lève les yeux pour voir avec horreur le rosé avec un regard sévère me traîner juste derrière lui pour aller jusqu'au gymnase.
Il entre comme un bourrins dans les vestiaires et me balance dedans sans aucune délicatesse avant de claquer la porte derrière lui.
Je m'assois sur la table qui loge en plein centre de la pièce et regarde autour de moi pour être certaine qu'il n'y ai personne avec nous.
Moi- qu'est-ce que tu veux bouffons ? Demandais-je froidement.
Sukuna- parler de ce projet de merde. Grogne-t-il en croisant ses bras sous son torse.
Moi- tu veux parler d'organisation ou tu fais qu'on va devoir bosser ensemble. Soupirais-je en croisant mes jambes.
Sukuna- les deux, je te propose que tu ramènes ton jolie cul à la maison comme ça tu seras plus à l'aise avec Yuji qui sera sûrement dans le coin à stressé qu'on mette le feu. Propose-t-il avec un léger sourire.
Moi- sur ce point je suis d'accord, il va stressé comme un dingue, ensuite ? Souriais-je avec amusement.
Sukuna- on met nos titres de populaires adverses au placard quand on est que tous les deux, ça sera plus simple pour bosser. Explique-t-il en se décollant de la porte.
Moi- tu connais le mots bosser, toi ? Demandais-je avec amusement.
Ses mains se pose de part et d'autre de moi et son souffle s'abat sur ma joue étant donné qu'il est plus grand que moi.
Sukuna- par contre je rajoute un truc, pendant les quatre semaines à venir le premier qui craque pour quoique ce soit qui se rapproche du sexe, il aura un gage. Conclue-t-il.
Moi- comme si j'allais te toucher, t'as perdu d'avance Su'. Grognais-je en le poussant pour sortir.
Sukuna- je te connais assez pour savoir que tu vas craquer, ma jolie~. Ronronne-t-il.
Je l'écoute pas plus que ça et sort du vestiaire pour garçon, avant de m'apercevoir que ces messieurs attendait depuis tout à l'heure devant la porte, je grogne et regagne mes vestiaires pour me changer.
