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On a attendu une quinzaine de minutes avant que l'homme à la cicatrice n'arrivent avec nos plats, je lui demande combien je lui dois, mais il secoue la main pour refuser.
Vendeur- c'est gratuit pour les amis de mon fils. Dit-il en posant sa main sur les cheveux de Megumi.
Rhéa- bah ça alors, je me disais que votre tête me rappelé quelqu'un. Dit-elle en le regardant.
Toji- t'as bien grandi ma petite Rhéa. Dit-il en lui ébouriffant les cheveux.
Rhéa- ça te va bien les cheveux long Toji, la gente féminine doit se précipiter à tes pieds. Sourit-elle narquoisement.
Toji- qu'est-ce que tu crois, j'ai un charme naturel. Dit-il en lui faisant un clin d'oeil.
Ma prise sur la taille de la blonde se resserre d'un coup et elle couine en me regardant, elle sourit sadiquement et caresse mes cheveux pour me détendre, le père de Megumi reste un peu avec nous parlant de tout et de n'importe quoi avec le reste du groupe pendant que je mange en silence.
Je regarde ma blonde frotter son ventre en même temps qu'elle discute avec le noiraud qui a l'air de s'en être rendu compte lui aussi, je viens poser ma main sur la sienne pour la faire arrêter et elle tourne son regards vers moi.
Moi- ça va ma jolie ? Demandais-je doucement pour éviter que les autres entendent.
Rhéa- j'ai un peu mal au ventre, mais ça va. Sourit-elle pour me rassurer.
Moi- t'as faim, peut-être ? Supposais-je en lui tendant ma barquette de frite.
Rhéa- non c'est bon, t'en fais pas playboy. Dit-elle en grimaçant légèrement en bougeant.
Moi- pas de ça avec moi, s'il te plait. Soufflais-je en lui faisant des yeux de chien battu.
Elle grogne et pioche dans mes frites sous le regards en coin de Toji qui sourit, il nous souhaite un bon appétit et repart s'occuper de son stand, on mange rapidement et finalement la blonde à manger la moitié de ma barquette.
Les trois compères se charge de débarrasser nous laissant seul et je souris tournant sa tête vers moi, je l'abaisse et lèche le coin de ses lèvres la faisant virer au cramoisi.
Moi- t'avais des miettes. Dis-je pour ma défense.
Elle lève les yeux au ciel et dépose un rapide baiser sur mes lèvres sans prévenir, elle se lève de mes genoux et me lance un regard en coin, j'ai envie de la sauter, c'est pas possible d'être aussi sexy avec un simple regards.
Je me lève aussi et on rejoint les autres pour continuer notre recherche d'attraction, Nobara s'arrête devant un circuit pour auto-tamponneuse et à ce moment-là un souvenir plus qu'amusant me revient.
C'était en été et avec ma mère et celle de Rhéa on était venu dans la même fête foraine, je me souviens qu'avec la blonde on les avaient fait et qu'on arrêté pas de se rentrer dedans violement ou même faire des super feintes.
