Le bus 2

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Cela faisait maintenant une semaine que je n'avais plus porté de sous-vêtements et je me sentais totalement libérée.

Cela faisait une semaine que j'avais rencontré mon inconnu. Je prenais désormais le 23 à la même heure dans l'espoir de le rencontrer encore.

J'étais à l'arrêt pensive attendant le bus encore en retard. Il arriva enfin et je pu grimper dedans difficilement quelques instants plus tard, comme chaque jour à cette heure, il était entièrement plein et je me faufilai avec difficulté à l'intérieur. Je retrouvais ma place préférée, proche de la porte, accroché à une barre verticale et, bien entourée. Dès que le véhicule se mit à rouler, je sentis des corps d'hommes se presser contre moi, je me mordis la lèvre en rougissant. Depuis ma dernière mésaventure, je devais résister de toutes mes forces pour ne pas déraper lors de mes trajets quotidiens. Je me déplaçais un peu sur la gauche pour ne plus être en contact avec l'entrejambe de mon voisin de derrière, de cette façon, la tentation allait être moins forte.

Le premier virage me donna tort, je me retrouvais pressé de plus belle contre lui et mes fesses nues sous ma jupe ressentirent sa chaleur. J'allais de nouveau me déplacer lorsque je ressenti une bosse au niveau de ma raie. Kooy bou reuy d'après ce que je ressentais sur mes fesses.
Excitée, je la pressais légèrement contre mon gros cul et compris immédiatement de quoi il s'agissait. Mon bas ventre prit feu et je me mis à remuer doucement les hanches. J'avais peur d'être pris pour une folle, d'être repoussée et humiliée devant tous ces gens, mais rien n'aurait pu me faire arrêter.

Ma koy mbalou comme dof. Tek ko sama taat yi.

Mes efforts furent bientôt récompensés et je sentis la bosse grandir contre moi. Je mis plus de vigueur dans mes mouvements ce qui un effet inattendu. Geun ko ko tekk di ko mbalou. L'homme me plaqua contre la barre et inséra son pénis dans ma raie. Goor enfin ! Mon visage se retrouva collé contre un énorme phallus métallique tandis qu'un inconnu utilisait mes fesses pour se branler.
Je n'y croyais pas, mon fantasme se réalisait enfin ! Je remuais sensuellement contre cet homme, gémissant presque de plaisir. J'avais envie d'aller plus loin, je voulais le sentir en moi, coller mon corps nu au sien, koyam sama biir data bi. Je ne savais rien de son apparence ni de son âge mais cela n'importait plus, seul sa bite comptait pour moi. Et je sentais une grosse bite. Kooy bou deugeur te douf. Je fermai les yeux et inspira profondément, puis, je me retournai légèrement et mis ma main sur son entrejambe. Ce pénis avait l'air tellement gros que je m'imaginais déjà le sentir me ramoner l'intérieur. Je le gardai en main quelques minutes, n'osant pas aller plus loin. Mon partenaire s'excitait rapidement et se faisait de plus en plus pressant. N'écoutant que mon désir, je plongeais finalement les doigts dans son pantalon et me faufila jusqu'à atteindre le sexe tant convoité. Son gland tout chaud perlait déjà de plaisir et trembla à mon contact. Je n'avais pas encore commencé à explorer sa bite qu'elle me semblait déjà énorme. Je fis courir mes doigts le long de son manche, me délectant de cette sensation. Sama leuf gi tooy kheep ma japp kooyam bi ko fowe. Je sentais une grosse veine palpiter. Mu kat sama ndeye rek la beugone fimné
En échange, ses mains couraient sur mon corps, profitant comme si je lui appartenais.
Le bus se gara devant la fac, le trajet était passé à une vitesse folle mais je me retrouvais avec plein d'envies et d'idées à mettre en pratique la prochaine fois. Je n'allais pas m'arrêter en si bon chemin. Je sortis et me dirigea vers le portail lorsque je sentis une main m'agripper le poignet et m'attirer vers un bâtiment. Je ne reconnaissais pas cette personne mais je savais qu'il s'agissait de mon inconnu.
- Topp ma et boul wax !
J'obéis et me laissais faire. Il était plutôt beau, très noire, grand, musclé. Je le suivis et il m'entraina dans un coin tranquille. Il inspecta les lieux puis me regarda les yeux pleins d'envie. Il me plaqua avec force contre le mur et mon regard se tourna désespérément vers la sortie. Il suffisait qu'un passant tourne la tête pour nous voir. Je voulu appeler à l'aide mais une main me fit taire.
- Tiaga bi, katal ndem nopi la wax. Tu m'as bien chauffé dans le bus alors assume domaram ! Kat sa ndeye lay def !
Il défit sa ceinture et sorti son sexe, il était encore plus gros que je l'avais imaginé. Sa grosse bite était dressée et parfaitement rasé me faisait maintenant extrêmement envie. Une grosse veine la traversait et palpitait. Avant que ne puisse esquisser le moindre geste, il arracha furieusement ma jupe et me souleva légèrement. Je poussai un cri au moment où sa bite s'enfonçait en moi, non pas de douleur, mais de pur plaisir. Je passai mes bras autour de son cou et me serrai contre lui, sa langue fouilla mon cou et ses lèvres m'embrassèrent. Son membre vigoureux pilonnait ma chatte.
- Vas-y...Katt ma... Roff ma ko Murmurais-je.
- Tiaga bi ! Dina deug sa ndeye ba nga xam. Doomou xaram nga rek. Ya ngi may yeug!
- Ouiiiii Kat maaaaa Katal sama ndeyeeeee Ma ngi deeeeee Woy sama ndeyeeeee
- Katal ndem nopiiii. Sa ndeye defou la dara. Ya tiaga sa tiaga.
- Waaw Tiaga laaaa sa tiagaaaaa katt maaaa
Pour toute réponse, il me baisa plus fort, sa bite me fourrant sans relâche.
Ken meusou ma katté ni. Sama data bi di siit tang dieur. Je n'avais jamais rien ressenti d'aussi fort, jamais une bite ne m'avait fait autant de bien. Une petite part de moi se sentait coupable mais la chaleur qui montait en moi l'effaçait peu à peu. L'orgasme montait en moi et ma vision se troubla lentement. Ma culpabilité s'effaça et mes lèvres se posèrent sur celles de l'homme. Ma langue rencontra la sienne et nous nous embrassâmes fougueusement. Un jet brûlant de sperme rempli ma chatte. Domaram bi , mi ngi fesal sama leuf bi. Le sentir jouir en moi m'acheva. Il resta en moi jusqu'à ne plus avoir une goutte de sperme dans ses couilles. Nos jambes faiblir et nous nous laissâmes tomber à terre.
Je fermais les yeux et tenta de reprendre mon souffle pendant de longues minutes, ma jupe toujours baissée et la chatte dégoulinante de son sperme et de sa mouille mélangée. Lorsque je rouvris les yeux, j'étais seul. Le gars avait disparu me laissant toute seule je me relevai avec peine, me rhabillai et sortis de la ruelle. Ce qui venait de m'arriver était incroyable, je savais maintenant que je ne serais plus jamais la même. Je souris à cette pensée en franchissant les grilles de la Fac.
J'avais hâte de découvrir de nouvelles choses.

mes fantasmes les plus hard(katante sauvage)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant