Bunny

Un Rêve

Mon histoire, comme je le disais commenca au Picre. Les premières années de ma vie ont étaient plutôt normal pour une jeune fille de mon rang. Tantôt mes instructeurs m'apprenaient la vie, tantôt je lisais des histoires incroyables et des contes fantastiques qui alimentaient mes nombreux rêves. J étais quelqu'un de très rêveur. En dehors de mes apprentissages, passais tout mon temps seule. Deux types de livres me passionnaient ; ceux parlant de lapin et ceux de parlant de cirque. J'aimais tant les lapins. Mes parents pensaient que c'était juste pour leurs physique mais c'est surtout leurs esprits de proximité qui m'attirait. les livres parlant de cirque étaient probablement mes préférés. N'avez vous jamais eu cette impression ? Lorsque vous lisez un livre sur un sujet que vous pouvez vivre et que le jour où vous le vivez, vous êtes déçus d'apprendre que ce n'est pas si merveilleux ? Moi oui et seul le cirque faisait exception. Cette atmosphère mi-joyeuse, mi-étrange était parfaitement retranscrite dans les ouvrages. Cela venait peut être du fait que face au cirque on ressent tous les même choses. En tout cas c'est comme ça que je l'interprétait. À cette époque là j'ai développée un rêve, celui de rendre les gens heureux et avoir mon propre cirque. Je pensais que les enfants viendraient avec des étoiles plein les yeux devants des parents ravis et comblés. Je pensais que mon cirque voyageait a travers le monde et que je pourrais m'endormir tout les soir dans les décors de mes plus beaux livres d'aventure. Je pensais que ma troupe serait composée de gens formidable venants des quatres coins du mondes et qui auraient des talents uniques, je pensais tout ce qu'une enfant innocente pouvais penser. Je pensais  comme ce que ma joie naturelle m'indiquait. On peut dire que je suis restée une grande enfant mais mon innocence, elle, est parti depuis longtemps.

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Je voyais rarement mes parents, je pense qu'on peut même dire que je ne les voyais jamais. Avec du recul je me dis qu'ils étaient comme des inconnus pour moi. Mais tout ça m'allais bien.
Je préférais des parent qui ignorent mes rêves plutot que des parents qui les brisent comme dans les contes.
Je me souviens de nuit faites de cauchemars où je me réveillais en sueur avec comme seul reconfort possible, la présence  de mes dizaines de peluches représentant beaucoup d'animaux mais principalement des lapins.

Puis j'ai grandis. À l'âge de huit ans environ j'ai commencée à faire des beaucoup de recherches plus sérieuse et approfondis sur les cirques. Je ne voulais pas devenir comme mes parents. Je ne voulais pas m'enfermer dans mes désirs. Non. Je voulais les partager avec tout ceux qui se sentent tristes. Oui. Je voulais rendre les gens heureux. Je sentais. Je sentais que j'en était capable. Le monde avait était si généreux avec moi que je voulais lui rendre la pareille. Je le ferai avec l'argent que je toucherai le jour de la mort de mes parents. Non. Leurs morts ne m'angoissais pas. Pourquoi devrait je angoisser sur la mort d'êtres qui m'apparaîssent comme des inconnus. C'est tout ce que je voulais. Ou plutôt, c'est tout ce que j'aurais voulu.