Chapitre XI - Les supérieurs ont disparut et une blessé au compteur

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Je traverse la cours, toujours avec cette jeune femme dans les bras. Tous les soldats me regardes avec de gros yeux. Je peux voir sur leurs visages, des regards apeuré. Je les comprends, le jour d'une expédition le major est introuvable et on retrouve une femme poignardé dans notre Q.G. comment de ne pas paniquer et rester tranquille. Mais ils devront apprendre à contrôler leurs émotions, lorsque nous laissons place à nos émotions il ne se passe jamais rien de bon.

J'arrive enfin devant la porte de l'infirmerie et l'ouvre d'un coup de pied dans celle-ci, la femme assise sur sa chaise en train de réglé de l'administratif me regarde en premier lieux avec rage, surement à cause de la férocité que j'ai fais preuve en ouvrant la porte, mais en voyant la femme dans mes bras son expression change et elle vient immédiatement vers moi pour m'aider.

- Posez la, ici.

Elle me tend du doigt un lit libre et je la dépose délicatement sur celui-ci. Nous l'entendons soupirer, le médicament ne fais surement plus effet. Je me redresse pour regarder l'infirmière qui prend en main tout ce dont elle a besoin pour refermer cette plaie.

- Jene sais pas si ce seul fil sera suffisant, la plaie est assez large, je pense que son agresseur ne lui a pas simplement planté le couteau. Je pense qu'il a pris un malin plaisir à le bouger.

- Alors je vous suis.

- Bien.

Je prends le désinfectant et me désinfecte les mains, puis commence l'opération.

***

Je crois que je n'ai jamais pris autant de temps pour recoudre une personne, la plaie étant mal placé pour pouvoir travailler sans déranger le patient, la jeune femme ne faisait que de bouger. Elle se tordait de douleur et criait à me faire saigner des oreilles. Lorsque j'ai eu finis je lui ai donné un antibiotique et un calament pour qu'elle puisse au moin dormir une petite heure.

Je sors de la pièce les habits déchiré et encore plein de sang. Dans les couloirs l'on me regarde comme si je venais de tuer un cochon. Leur regards ne me préoccupe point, pour le moment la seule chose dont je me préoccupe pour le moment est de trouver nos supérieurs. Une des soldates à été agressé juste avant un expédition, notre supérieur est introuvable et les sous chef aussi. Comment ne pas paniquer.

Je marche dans le couloir principale quand j'entends une personne me suivre depuis un petit moment. Je ralentis le pas la personne m'imite, j'accélère elle fait de même. Puis lors d'une intersection je tourne et bien sur mon suiveur fait de même sauf, dans se virage je m'étais caché pour l'attrape. Je lui donne un bon coup de poing dans le visage, action qui le fait tomber à la renverse, j'en profite alors pour me positionner au dessus de lui et de maintenir ses bras au dessus de la tête d'une main et de l'autre, couteau en main je le lui presse sous la gorge.

- Qui es-tu ?

- Eh merde.

Le jeune garçon essaye tant bien que de mal de se débattre, sauf pas de chance pour lui je suis plus forte que lui. Alors au bout de quelque seconde ou il se débat et qu'il comprend qu'il ne peut pas se dégager il se résigne à arrêter tout mouvement.

- Je répète, qui es-tu ?

- Je m'appel Clovis.

- Bien, alors Clovis, pourquoi me suis tu depuis un moment ?

- Je suis là sous ordre du caporale Hange.

- Mauvaise réponse.

Je presse un peu plus la lame sous sa gorge et il s'agite un peu plus.

- D'accord d'accord.

- Je suis une nouvelle recrue. Et je peux te juré que ça c'est vrai !

- Je l'espère pour toi mon garçon.

- Je suis envoyé par dame Lucile.

- Lucile ? Mais n'est-elle pas sensé se trouver sur March ?

- Oui, mais elle est de passage ici, alors elle voulait des nouvelles de toi.

- Mais pourquoi me suivre ?

- Je devais être discret, mais j'imagine que c'est loupé.

- Tu imagine bien.

Je me relève et aide le garçon à faire de même, aide qu'il refuse en écartant violement ma main. Je n'insiste pas et lui tourne le dos pour continuer ma route. Il m'a dit ce que je voulais qu'il me dise, je n'ai donc pas besoin de rester plus longtemps en sa compagnie. Sauf que lui n'est pas de mon avis, j'entends toujours ces petits pas après les miens. Agacé et surtout énerver par la disparition des capitaines je me retourne brusquement et lui fait face le visage emplie de colère.

- Pourquoi me suis tu encore !

- Je te l'ai dit vielle peau, je dois te surveiller !

- Vielle quoi ?!

- Vielle peau.

- Espèce de gamin insolent ! Va t'en je n'ai pas besoin d'un chaperon et encore moins que ce chaperon soit un gamin dans ton genre !

Je continue ma route encore plus énervé qu'avant. Arrivé devant la salle à mangé, je l'ouvre en un fracas. Et trouve assis autour d'une table, Hange, Erwin et Livaï calmement assis autour d'une tasse de thé ou de café. En les voyant sagement installé autour de cette table je vire au rouge. Je sais bien que je ne devrais pas m'énerver contre mes supérieurs, mais là. Nous les avons chercher durant une bonne heure et eux ils osent être là, tranquillement assis en train de boire une tasse de thé !

- Et bien vous voilà !

- Saori ! Mais c'est quoi ça ? Que c'est-il passé avec ta chemise ? Et a qui appartient tout ce sang, tu es blessé !

- Non ce n'est pas le mien Hange. Une de nos soldates c'est faites Agressé pendant que vous buviez tranquillement une tasse de thé ! Où étiez vous ! On vous à tous chercher pendant au moins une heure, et ne me dites pas que vous étiez tout le long ici parce que les soldats de Livaï sont venu ici à deux reprise !

- Baisse d'un ton gamin, nous ne sommes pas tes collègues. reprends le caporal chef.

- Et encore heureux ! Avoir des collègues qui ne savent pas leur responsabilité c'est quelque chose mais alors que se soit nos supérieur c'est encore pire ! Vous entendez ce que je vous dit, une soldate est entre la vie et la mort et vous être tranquillou billou ici !

- Donc ce sang appartient à cette femme ?

Me demande calmement Erwin, qui jusqu'à maintenant ne donnait pas signe de vie. Je ne peux pas contenir plus ma colère et je pense que cela ce voit à mon visage.

- Oui. J'ai pris une demi heure à la recoudre, elle avait un couteau planté jusqu'au manche dans l'abdomen.

- Soupçonne-tu une personne en particulier ?

- Non, je n'ai vue personne à l'endroit où je l'ai trouvé.

- Je pense savoir qui cela peut être.

Reprend Livaï un air grave sur le visage.

Deux femmes scientifiques (HanjiXOC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant