Chapitre 6

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Sérieusement, qu'est ce que je fous ici moi ! Je n'étais pas censée être au bureau ? Mais, qui m'a emmenée ici nom de Dieu ! En plus je suis en sous-vêtements, la personne qui m'a déposée chez moi m'a donc déshabiller... Oh mon Dieu, imaginé que cette personne ai tenté de me violer ? Je couru dans les toilettes aller voir mon "état", et non, rien. Je suis soulagée ! Je suis enfin en week end, moment que j'attendais depuis le début de la semaine. (Sans blague !)

Je partis prendre ma douche. L'eau tiède (étant un peu plus chaude) me détendis. Je continuais de réfléchir à comment et qui m'avait emmenée ici. Ça ne peut pas être Caroline, elle était partie avant moi, Ariana me déteste, Nathan et moi on est pas les meilleurs amis au monde, il ne me restait plus qu'une option et je ne voulais vraiment pas m'y résoudre. Cole. Non, c'est pas possible ! Mais pourtant, il y a toutes les chances que ce soit lui, sinon qui l'aurait fait ? Je lui demanderais, lundi. Si j'en ai le courage...

Je sortis de la douche, et je me mis en peignoir. Aujourd'hui, c'est journée peinard, rien à faire mis à part à rester en peignoir devant un bon film comique en mangeant toutes les sucreries de mon placard, la belle vie quoi ! Je descendis les escaliers de chez moi, et je m'en alla dans ma cuisine. J'allais ouvrir le frigo quand je vis un post-it coller dessus, il y était marquer :

- J'espère que tu as passer une bonne nuit, tu t'étais endormi sur ton bureau, je ne voulais pas te laisser là-bas alors je t'ai emmener chez toi, je n'ai pas trouvais ton pyjama alors, je t'ai juste laisser, dans l'état dans lequel tu t'es réveiller quoi ! Bisous J.

Jonathan... J'en étais sure. Oh la la, il m'a vue comme ça, il m'a déshabiller. Le rouge feu pris possession de mes joues. Et voilà, encore et toujours. Déjà que je suis toujours intimidée par lui, lundi je le serais encore plus. Pourquoi il a fait ça ? C'est vrai que toute personne avec un minimum d'humanité l'aurait fait aussi, mais lui...

J'ouvris simplement mon frigo et pris mon pot de yaourt glacé au chocolat et aux noisettes, oui, je mange beaucoup, mais j'ai cette chance de ne pas prendre un gramme. Oui, vous pouvez me balancer autant de tomates au visage que vous le voulez ! Je marcha avec mes chaussons jusqu'à mon canapé et je mis affala comme ci j'étais un sac à patate qu'on balançait, pas de pression aujourd'hui.

Je m'en alla sur YouTube sur ma télé et je chercha "Film humoristique", plusieurs défilèrent mais aucun ne me plu, jusqu'à ce que j'en vis un, il m'avait l'air intéressant, il s'appelait "Blonde et dangereuse". Ça avait l'air marrant, alors je le mis.

En gros, c'est l'histoire d'une jeune fille blonde (non, sans blague ?), qui était une star, un soir elle rentre chez elle et elle découvre son petit ami en train de coucher avec... son agent. Oh, comme ça m'est familier ! (Moi c'était avec ma meilleure amie mais voilà quoi). Elle boit pendant toute la nuit, elle fait un accident de voiture, que des galères à cette soirée là. Elle se réveille dans la rue, sur un trottoir, et là elle voit une agence pour devenir militaire, vue qu'elle avait trop bu, elle si inscrit car elle se disait qu'elle n'avait plus rien à perdre. Et là, l'histoire commence avec pleins d'action, je ne vous dit pas la suite pour éviter de vous spoiler ! (PS : Le film existe vraiment, taper blonde dangereuse sur YouTube et vous le trouverez !)

Je devais regarder le film depuis une bonne trentaines de minutes quand on toqua à ma porte. Je mis le film en pause et je me leva pour aller voir qui venait chez moi à... Je regarda l'heure, 11h du matin. Quand j'ouvris la porte, je fus surprise de voir Jonathan.

- Bonjour Mia, comment tu vas ? Me demanda t-il souriant de toutes ses dents

Il n'était pas habiller comme d'habitude. D'habitude je le vois matin, midi et soir en costume cravate, mais là, il était habiller d'un t-shirt violet foncé à rayure jaune foncé aussi, vous voyez les hauts qu'on porte quand on supporte une équipe dans un sport, bah c'était ce genre de t-shirt, avec le prénom du joueur et le numéro 21. Il était habiller d'un jean bleu marine, et des baskets. Je rougis remarquant que moi j'étais simplement habiller d'un peignoir gris qui s'arrêter bien avant mes genoux et qui laissait voir un peu ma poitrine. Et des chaussons gris aussi avec des oreilles de lapins... La honte !

Les cents services de MiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant