Chapitre 17

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Voici le nouveau chapitre tant attendu : la confrontation au sujet du contrat. Je ne l'ai pas encore écrit (au moment ou je vous parles) mais je suis juste trop excitée là. Bref, j'espère sincèrement que ça va vous plaire, et je vous laisse avec la suite. N'oubliez pas comme toujours d'aller lire la note d'auteur à la fin du chapitre. 

***

Je ne ressens pas le besoin de quitter mon lit, mais il le fallait bien. Alors j'ai décidé de me lever, et d'aller me préparer pour assumer mes responsabilités.

Au bureau :

Plus déterminé que jamais et avec une apparence sûre de moi, je rentra dans les locaux de l'entreprise. Je pris l'ascenseurs et quand j'arrivai à mon étage, je fonça directement dans le bureau de Cole. Je ne pris même pas la peine de toquer, j'étais trop énervée pour être polie. Dès le matin, je suis de mauvaise humeur.

- Ne t'as t-on jamais apprise à frapper à la porte sérieusement ? Me demanda t-il s'en se retourné, regardant sa baie vitrée, les mains dans les poches de son pantalon de costard.

Il ne m'avait même pas regarder qu'il savait déjà que c'était moi. Avais-je vraiment cette mauvaise habitude de ne pas toquer à la porte avant d'entrer ou c'était juste une intuition ?

- Non, je ne pense pas. Répondis-je. Je suis venue pour clarifier cette chose, dis je en agitant le contrat qui était dans mes mains.

- Que veux-tu clarifier ? Le contrat est on ne peut plus claire. Dit il, toujours en regardant sa baie vitrée.

- On ne peut plus claire ? On ne peut plus bordélique veux-tu dire. Répondis je sarcastiquement

- Que trouves-tu bordélique ? Me demanda t-il

- Si tu te retournais et que tu me regardais, je pense nettement que ce serait plus facile à montrer.

Quand il se retourna vers moi, je fus sous le choque. Il avait un énorme bleu sur la joue gauche et il virait au violet foncé.

- Qu'est-ce que... Qu'est-ce que c'est que ça ? Il s'est passé quoi, comment tu t'es fais ce bleu ? Demandais je ahuri

- Cela ne te concerne pas. Parles moi juste du pourquoi tu es ici. Me dit calmement et sérieusement.

- Je me soucis juste de toi, je ne vois pas pourquoi...

- Je n'ai pas besoin que tu te soucis de moi, je peux très bien le faire tout seul, je ne suis pas un enfant. Si tu veux t'occuper de quelqu'un, commence par t'occuper de toi-même et ensuite on verra si tu pourras te permettre de te mêler de la vie des autres, ou encore de la mienne.

Il me l'avait dit tellement froidement que j'ai bien cru être congelé sur place ne serait-ce que quelques secondes. Pourquoi était-il si méchant tout à coup. Et que sous entendait il quand il disait que je devais d'abord m'occuper de moi-même. Avait-il un problème avec moi ? Si c'est vrai, il n'a qu'à venir me le dire directement, pas la peine de passer par quatre chemins.

- Qu'est-ce que ça veut dire ? Demandais je agacée

- Ça veut dire ce que ça veut dire, tu comprendra par toi-même plus tard. Enfin, je l'espère pour toi.

Il avait prit un ton tellement hautain que je me demandais comment j'arrivais à me contrôler de le gifler. Non mais il se prenait pour qui lui concrètement. Je n'étais déjà pas de bonne humeur à cause de lui, alors si en plus de ça, il faisait tout pour que je le reste, ça n'allait vraiment mais vraiment pas du tout le faire.

- Écoute, je ne suis pas vraiment d'humeur à supporter tes nerfs, ta mauvaise humeur et ton air supérieur aujourd'hui. Ni les autres jours d'ailleurs. Si je suis ici, c'est pour parler de ce fichu contrat. Alors si tu veux bien me faire le plaisir de t'asseoir sur ton jolie siège pour discuter, ça serait vraiment sympa.

Les cents services de MiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant