Cara mia

Chapitre 2

TW: Violences

Hestia:

Je suis allongée dans un lit, il me semble, mais je vois tout floue. J'essaye de reprendre mes esprits et de me rappeler les événements de la veille. Je me souviens d'être allé en cours comme d'habitude, et d'être allé au restaurant avec Nina sauf qu'elle m'a posé un lapin, j'avais décidé d'aller sonner chez elle pour m'assurer que tout allait bien et c'est là que je me suis faite agresser. Suite à ça je décide d'ouvrir peu à peu les yeux mais la lumière du jour est très dérangeante.

-Capo Genovese, elle est réveillé. dit- une voix lointaine, derrière la porte que j'ai du mal à entendre.

La porte s'ouvre sur un homme très séduisant, il est brun, vêtue d'un col roulé noir et un pantalon noir accompagné d'une chaîne en argent à son cou. Je n'avais jamais vu un homme aussi charmant de ma vie.
Il s'avance vers moi et commence

-Comment t'appelle-tu Cara mia ? dit-il.

-Hestia.. Hestia Pantazi. gloussait-je d'une voix faible.

-Quel magnifique prénom Hestia, dis moi, te rappelles-tu des moindres évènements de la nuit dernière ?

-Mais qui êtes vous ? questionnai-je l'inconnu en fac de moi.

-Répond à ma question et je te dirais tout ce qu'il faut savoir sur moi.

-Eh bien j'allais au restaurant rejoindre une amie, mais elle m'a posé un lapin, et ne répondait pas à mes messages ce qui est anormal pour elle. Donc je me suis inquiété et je suis allé chez elle, voir si tout allait bien, mais quand je marchais un homme me suivait. Une fois devant l'immeuble on m'a collé un mouchoir sur la bouche et je n'arrivais plus à respirer maintenant je suis ici. D'ailleurs je suis où ? Et qui êtes vous ?

- Hestia, enchanté, je m'appelle Enzo Genovese, et je suis le patron de la mafia italienne. Vous êtes ici chez moi, en Italie.

-Mais comment est- je put atterrir en Italie ? C'était vous l'autre soir ? Vous m'avez enlevé ? Dis- je calmement mais avec un peu de stress.

-Je vais tout te raconter Cara mia, l'autre soir si t'as copine n'est pas venue c'est parce qu'on était chez elle, pour lui poser des questions. Un de mes collègues fumait une cigarette sur le balcon de ton amie, donc la porte était ouverte. On à entendue sonner, puis un cris de détresse. On est descendu voir ce qu'il se passait. Et c'est là que je t'ai vu, preciosa, dans les bras d'un homme du territoire ennemi. Ils s'occupent des trafiques d'humains, il voulais enlever ta chère amie mais il t'as pris pour elle. Je suis un gentleman, quand une femme est en détresse il faut l'aider, et c'est ce que j'ai fait. Je t'ai ramené que moi pour prendre soin de toi.

Je n'arrive pas à y croire. Donc ce Enzo, un patron de la mafia m'a sauvé la vie des griffes d'un trafique d'humains ? C'est impossible. Comment il a pu? Je n'en reviens pas. Il ne me connaît même pas. Pourquoi m'avoir sauvé ?

-Mais pourquoi moi? Pourquoi m'avez-vous sauvez ? Vous auriez pu le laissé m'emmener dans un trafique d'humain, pourquoi ne l'avez vous pas fait ? Vous auriez eu moins de travaille. sorti-je secoué par ce qu'il vient de me raconter.

-Eh bien, je ne sais pas je dirais le hasard cariño. Le destin m'a poussé à te sauver. Il voulais que je fasse ta rencontre. Il voulais que je te sauve. Me répond t'il.

-Et si Nina était avec vous, c'est pour ça qu'elle ne me répondait pas ? Demandai-je.

-Exactement. M'affirma-t-il