Chapitre 5

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TW: VIOLENCES, ET VIOLENCES CONJUGALES.

Enzo :

J'avais découvert une piste concernant l'assassin de mes parents. C'est pour ça que je m'était rendu chez Nina. Il s'avère que les parents de Nina étaient très proche de personnes faisant partie d'un cartel ennemi. Je m'était donc rendu chez elle pour savoir si elle avait quelconque informations qui pourrait m'aider à les retrouvés. Je voulais venger ma mère, et non mon père, il était violent avec moi pour me faire rentrer dans le monde de la mafia. Il était impitoyable. Il frappait ma mère.

Flashback :

Je descendais prendre le petit déjeuné, Ma mère m'avais cuisiné des pancakes. C'était mon petit déjeuné préféré surtout quand c'est ma mère qui les cuisine.

-Enzo, angelo mio, ti ho fatto il tuo piatto preferito per il tuo pranzo. ( Enzo, mon ange je t'ai fait ton plat préféré pour ton déjeuné )

- Sto arriviando mamma ! ( J'arrive maman !)

En arrivant dans la salle à mangé je saute dans les bras de ma mère pour lui faire un énorme câlin.

-Grazie mamma per aver pranzato. (Merci maman pour se déjeuné.)

-Di niente angelo mio, vai a mangiare il piatto raffreddato. ( De rien mon ange aller mange, le plat refroidi.)

Je me dépêche et me mets à table pour déguster le plat de ma mère. Je vois ma mère se diriger vers le bureau de mon père. Quelque minutes plus tard j'entend des cries et des objets se fracasser depuis le bureau. Je me lève et cours jusqu'au bureau, où je trouve ma mère entrain de se faire frapper par mon père, il lui lance des objets au visage. Je ne pouvais pas laisser ma mère là. J'entre dans le bureau.

-Papà smettila di colpire mamma! Non ha fatto nulla! ( Papa arrête de frapper maman! Elle n'a rien fait! )

-NON PARLARMI CON QUESTO TONO. NON SAI NEMMENO COSA HA FATTO TUA MADRE, QUINDI SMETTILA DI OPPORTI ALTRIMENTI FINIRAI COME LEI! ( NE ME PARLE PAS SUR CE TON. TU NE SAIS MÊME PAS CE QUE TA MÈRE À FAIT ALORS ARRÊTE DE T'OPPOSER SINON TU FINIRAS COMME ELLE !)

- Preferisco prendere il suo posto piuttosto che sentirlo gridare aiuto ( Je préfère prendre sa place plutôt que de l'entendre crier à l'aide )

Il arrêta de frapper ma mère suite à mes paroles, et me pris par le bras pour me jeter par terre. Honnêtement j'aimais tellement ma mère que je serais capable de tout pour elle. Je ne supporte pas de voir mon père s'en prendre à ma mère.
Il pris ma mère par la nuque et la jeta en dehors de son bureau et ferma à clef pour l'empêché de s'interposer. J'entendais ma mère tambouriner derrière la porte.

-Fernando Genovese, per favore lascialo, lascia nostro figlio, figlio mio. Non fargli del male, ti prego. ( Fernando Genovese, s'il te plaît laisse le, laisse notre fils, mon fils. Ne lui fait pas de mal je t'en supplie. ) Cria ma mère en pleurant derrière la porte.

-A noi figlio mio. Che ragazzo coraggioso, difende sua madre. Solo che non c'è spazio per la pietà nel mondo della mafia. Dovresti saperlo. Se non è così, sarei felice di insegnartelo. ( A nous mon fils. Quel courageux petit garçon, il défend sa maman. Seulement, il n'y a pas de place pour la pitié dans le monde de la mafia. Tu devrais le savoir. Si ce n'ai pas le cas, je me ferais un plaisir de te l'apprendre. ) me dit mon père d'un ton sérieux en attrapant une ceinture.

Il commença à me frapper le dos avec la ceinture. Je hurlais de douleur. après plusieurs minutes à me donner des coups de ceinture il ouvrit la baie vitrée de son bureau pour m'emmener dehors. il me balança dans la piscine puis attrapa ma tête en l'enfonçant dans l'eau. Je n'arrivais pas à remonter à la surface parce que mon foutue père me tenait par les cheveux si fort que je ne pouvais pas me défaire de son emprise. Je n'avais plus de souffle. Il me sortie de l'eau quand j'arrêtai de me débattre. Il retourna dans son bureau me laissant inconscient au bord de la piscine. Il ouvrit la porte de son bureau et ma mère le frappa en pleurant en demandant où j'était. Elle me vit dehors au bord de la piscine inconscient. Elle couru jusqu'à moi et se mit à me réanimer. Je me leva brusquement en crachant l'eau qui était rentrée dans mes poumons. Elle me prît dans ses bras en me demandant pourquoi j'avais fait ça.

Cara miaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant