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( on est aux trois quarts de l'histoire)
O M N I S C I E N T
Émerveillé par son « travail », il reste figé pendant quelques minutes à l'admirer dans tous les angles possibles. Son regard s'attarde au niveau de son cou où de grandes traces rouges marquant son passage dominent, lui arrachant un large sourire sadique en coin de bouche.
Après avoir méticuleusement observé son corps vide de vie l'homme de 22 ans se munit d'un couteau de cuisine parfaitement aiguisé qu'il retire de son emplacement prêt des autres ustensiles de cuisines.
Avec ce couteau il retourne près du corps qu'il se met à poignarder un peu partout par là, par ci toujours en affichant ce large sourire effroyable et témoin d'un manque d'empathie total.
Le sang gicle au rythme de ses coups qu'il effectue avec tonicité recouvrant la plupart des meubles présents dans la pièce ainsi que le mur qui était juste derrière lui. Un mur blanc qui virait au rouge vif.
Cet acte lui procurait une joie tellement jouissif qu'il ne pouvait plus s'arrêter envoûté par le bruit glaçant de la lame pénétrant les parcelles de la peau de la défunte jeune femme.
Après avoir poignardé sa victime à plus de 35 reprises sans pause, son front se retrouve luisant de transpiration. Il lâche subitement le couteau puis se dirige vers le placard en dessous de son plan de travail. Il en sort un énorme sac poubelle.
Il l'ouvre puis retourne vers le cadavre gisant dans une marre de sang. Minutieusement, il ramasse les différents morceaux du corps de la victime qui sous la violence des coups de couteau s'était rompus à certains endroits puis il les jette dans le sac noir comme s'il s'agissait de déchets ordinaires.
Une fois cela de fait il referme le sac et le balance dans un coin de la pièce avant de s'attaquer au ménage de celle-ci.
Munit d'une serpillère et d'un sceau, il se met à astiquer le sol en amassant un maximum de sang qu'il essore par la suite dans le sceau tout ceci dans un rythme effréné en sifflotant joyeusement. Lorsque le sol a retrouvé sa couleur habituel, il essuie son front le poignet appuyé sur le manche de la serpillère qu'il balance par la suite l'air complètement détaché de la situation.
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« Combien tu m'aimes ? »
Ficción GeneralKɪᴍʏᴀZ ᴘʀᴏᴅᴜᴄᴛɪᴏɴ ©️ L'amour c'est la générosité du coeur, il ne connaît pas l'apparence physique ni l'argent, c'est le fait de penser à quelqu'un malgré la distance, ce qui fait le plus souffrir c'est le mensonge et les faux espoir. 𝑻𝒂𝒚𝒏𝒂𝒓𝒂...