Les minutes d'après se sont passées dans une ambiance assez pesante.
Tp : On commence ?
Réussi je à dire pour me libérer de celle-ci. Comme une approbation, Xavier se leva et alla se mettre sur son bureau, une feuille et un crayon devant lui. Quant à moi je me mis devant une toile, préparée précédemment.
Les bougies étaient toujours allumées autour de nous ce qui donner une ambiance relaxante à la soirée.
Xavier et moi avons dû mal à avoir de l'inspiration alors il me proposa.
Xavier. : Ça te dit qu'on se dessine ? Tu me peints et je te dessine ça te vas ?
Je souris et je commence à faire mon croquis, soudain plus inspirée que jamais. Lui avait l'air de réfléchir, peut-être n'est-il pas très inspirée à l'idée de me dessiner ?
Ma peinture commençait à prendre forme, j'avais commencé à mettre de la couleur et il ne me restait plus qu'à placer les points de lumière et j'avais terminé.
Xavier avait également bientôt finit, j'ai vu rapidement qu'il m'avait dessiner à l'aquarelle.
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Tp : J'ai terminé.
Xavier : Moi aussi. On se le montre, tu veux commencer ?
Tp : Commence.
Il pris son dessin entre ses mains, se leva pour se mettre en face de moi et me montra le dessin. C'était moi dans ma robe du corbal. Mais comme cavalier je n'avais Tyler, j'avais Xavier comme cavalier. Il s'était fait rapidement en autoportrait, moi à son bras.
Je regarda le dessin, puis son visage légèrement rougi par la gêne. Bizarrement je trouvais ça mignon.
Tp : Il est très joli merci beaucoup.
Xavier : C'est toi qui rend le dessin beau Tp.
Mes lèvres se tirèrent légèrement tout en fixant le sol timidement.
Xavier : A toi.
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Le point de vue de mon dessin était simplement le mien, je me sens inspirée quand il est à côté de moi. Alors je l'ai peint en train de dessiner.
Xavier : Attends c'est moi ça ? Mais je suis trop beau en vrai !
Tp : Arrête de dire n'importe quoi.
Xavier : Ça veut dire que je ne le suis pas ?
Tp : C'est pas ça...
Xavier : Alors c'est quoi ?
Au fur et à mesure que la discussion avancée, lui aussi avancer vers moi. Jusqu'au moment où il était presque collé à moi au point où je devais lever mon visage pour le regarder dans les yeux.
Tp : ...
Son visage se rapprochait.
Xavier : Ton coup de dessin est un peu tremblant.
Et le mien aussi.
Tp : Alors apprends moi.
Puis, attirés comme des aimants nos lèvres se sont sellées. Sa main vient me tenir le visage pour intensifier ce baiser et moi je m'accrocha à son t-shirt. Il a peut-être duré 40 secondes ? 2 minutes ? Ou peut-être même 1 heure ? Cela n'a pas d'importance.
Dans mon ventre, s'était envolé des centaines de papillons pendant ce moment.
