Prologue: Parmi les étoiles

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Bonjour et bienvenue à tous sur « We aren't useless », inspiré de « My Hero Academia » et de « Venom (MCU) ». J'avais voulu poursuivre mon histoire « Du tout début », mais ça va faire un an que j'avais cette histoire en tête, et le genre Izuku Yagi m'a fait que donner davantage envie de le faire. Et vu que j'ai parler en commentaire sur une autre chaîne de mon attention de faire cette histoire, je me devais de la faire. Surtout qu'il n'y a pas assez d'histoires Izuku Yagi en français. Enfin bon, spioler! Et je ne suis pas propriétaire de « My Hero Academia », mais Kōhei Horikoshi l'ait. Allons bon, bonne lecture!

Quelque part, dans un noir infini parsemé de petites lumières blanches, un morceau de roche flottait dans les grands vides de l'espace.

Celui-ci, qui allait à d'immenses vitesses à travers les fins fonds de l'univers, transporté, transportait quelque chose de spécial en son intérieur.

Quelque chose de spécial à l'intérieur en fait pour vous voyez, surtout celle-ci s'avérait être vivante. Bien évidement chaque forme de vie est spéciale, de par le fait que chacune possède un caractère unique, une apparence unique, un comportement unique.

Mais il y avait toujours un point commun entre chaque forme de vie, et c'était la résilience.

Une résilience qui venait de l'envie de survivre.

Mais aucune de ses formes de vie ne pouvait s'associer à l'entêtement et la résilience d'une espèce qui a tout simplement refusé de mourir.

Cette espèce a nié ses possibilités. Malgré le manque d'air, malgré le manque de son ou de feu dans les fosses glacées froides du vide, cette espèce était composée d'êtres qui pouvaient posséder n'importe quelle autre créature organique qu'ils rencontraient dans une sorte de symbiose ou de relation parasitaire qui finirait généralement par tuer l'hôte. Tous, afin d'empêcher la mort de ces masses de goudron qui rampaient les unes sur les autres et les unes à côtés des autres.

Mais, malgré leur résilience et leur détermination à survivre au détriment d'autres espèces, il y avaient toujours quelque chose qui faisait défaut à cette espèce.

Malgré la sensibilité et les formes presque sans traits ni caractéristiques qu'ils avaient, comblant cette lacune en percevant à travers les yeux de n'importe quel hôte qu'ils prenaient, ils se tenaient toujours divisés.

Aujourd'hui, cette division avait prit la forme d'une seule tâche noire à l'arrière de l'une des cavernes bulbeuses à l'intérieur de l'astéroïde. Une seule masse était positionnée seule et isolée alors qu'elle détectait les vibrations à travers la roche et la petite quantité de gaz coincé à l'intérieur de l'astéroïde. Il aspirait à ces mêmes reconnaissances, ces mêmes interactions que les autres tenaient pour acquises.

Mais il était défectueux... Il a été laissé seul en raison de la façon dont il pouvait prendre pour acquit lors de la symbiose la sensibilité des sentiments de son hôte. Cela ne l'avait pas empêché de consommer l'hôte et de dévorer la plupart des choses à proximité de ce dernier, mais c'était toujours horrible. Il ne ressentait pas le sentiment de plaisir que ses frères, sœurs et parents ressentaient à dévorer et profiter seulement de la tristesse et du désespoir... Ces émotions qu'il avait ressenties, il avait essayé d'en parler à son leader, ou même au seul qui était assez fou pour l'écouter.

Mais, en révélant son défaut, cela ne lui avait fallu que de se faire isolé du reste du troupeau... l'empêchant alors de pouvoir s'associer avec ceux avec qui il voulait être, tout cela en raison d'un malaise mutuel ressenti par tous les autres de sa race, dû au fait qu'il était une anomalie.

Une anomalie qui l'avait apparemment rendu différent de tout le reste de sa race, et cela l'avait donc isolée.

Il avait déjà été considéré comme étant faible, sa propre force pouvant être considérée comme inférieure par rapport à la plupart des symbiotes, l'ayant déjà positionné dans une position bien médiocre à l'origine, mais la révélation quant à ce trait qui lui était propre n'ont fait qu'empirer la situation.

We aren't uselessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant