Ok, celui-ci est très long, mais l'attente en vaut la peine, croyez-moi
"Vous savez, quoi ? Peut-être que si nous revenons dans la voiture et que nous partons, Lydia ne remarquera même pas que nous sommes partis." J'ai suggéré à mon petit ami, Trevor, et il a immédiatement ri.
"Babe, c'est Lydia Martin dont nous parlons." Il a ri, m'a attrapé la main et l'a embrassée. "Elle remarquera que nous partons avant même que nous n'ayons la chance de sortir par cette porte."
J'ai gémi de manière audible alors que cela s'enfoncé. Je déteste l'admettre, mais il a raison. Lydia est une femme observateur et se rendrait compte que quelque chose n'allait pas à la seconde où nous avons planifié une escapade.
Lydia Martin, étant la personne merveilleusement réfléchie qu'elle est, a décidé d'organiser une fête folle pour la meute. Elle n'arrêtait pas de dire comment « nous mettons constamment nos vies en danger pour sauver tout le monde » et comment « nous avons oublié ce que c'est que d'être de vrais adolescents ». Donc, cette fête ici chez elle est une tentative de nous aider tous à nous détendre, pour une fois, et à nous amuser.
Je la remercie pour ses efforts, vraiment, je le fais. Et j'étais excité pour cet événement, au début, c'était jusqu'à ce que j'arrive ici et que le son de la musique forte me frappe dans l'âme. Les gens qui s'évent dans tous les coins ont eu la peau rampante et j'ai l'impression que je vais littéralement crier si je vois une personne de plus vomir devant moi.
"Je vais aller prendre un verre." J'ai soupiré, tirant le bras de Trevor de mes épaules et debout sur le canapé du salon. « Vous voulez quelque chose ? »
"Non, je vais bien." Il a simplement déclaré que ses yeux se concentraient sur autre chose devant lui.
Je n'ai même pas pris la peine de regarder ce qui a attiré toute son attention. J'étais beaucoup trop préoccupé par le fait de céder à mon besoin actuel d'une boisson alcoolisée.
En poussant contre les corps en sueur qui dansaient sur le sol, je me suis en quelque sorte rendu à la cuisine. Ma bouche commence à arroser en pensant au liquide amer qui brûlait dans ma gorge.
Un petit sourire gravé sur mes lèvres à la minute où je suis entré à l'intérieur et un Stiles très détendu et calme, appuyé contre le comptoir de la cuisine avec une boisson à la main, est apparu.
Je ne vais pas mentir, il avait l'air assez chaud. La façon dont ses manches longues ont été enroulées juste assez pour montrer les veines de ses bras forts. Comment ses cheveux étaient salissants d'une manière si sexy et comment il avait l'air comme s'il n'avait pas de soins dans le monde.
"En gros, toutes les plus belles dames de Beacon Hill dans cette maison et pourtant, vous parvenez toujours à être ici dans la cuisine, seule." J'ai ri, je me suis approché du comptoir avec de l'alcool dessus et je n'ai pas pris le temps à me faire un cocktail. « Pourquoi ne suis-je pas surpris, Stilinski ? »
Stiles a fait rire alors qu'il se tenait droit, se rendant compte qu'il n'était plus seul.
"Oui, eh bien, aucun d'entre eux ne attire vraiment mon attention." Il a haussé les épaules avant de prendre une gorgée de sa tasse en plastique rouge.
"Pas à moins qu'elle ne soit une rousse aux yeux vert émeraude, n'est-ce pas ?" J'ai levé un sourcil, j'ai ramassé de la glace dans son seau et je l'ai laissé tomber dans ma propre tasse.
« À droite. » Stiles hocha la tête, léchant tout liquide qui persistait de ses lèvres roses. Il s'est lentement approché, s'arrêtant pour se tenir derrière moi. "Et quel miracle vous a amené ici ? Vous détestez les fêtes."
