jour 1

15 4 5
                                    

07/08/2012 dans les Régions Dakaroise à mariste, heures :16 heures 20 minutes et 40 seconde.

Bonsoir très chère journal je me permets donc de me présenter Reyna Ndiaye, je suis un de ses enfants Africaine plus précisément sénégalaise, je suis seulement âgée de dix ans pour te tout dire , je n'ai pas de famille ni d'amis proches donc ce qui fait de moi une orpheline puis après de mûre réflexion j'avais pu en conclure que je devrais écrire tout ce que je vis ou tout ce que je ressens à travers ce journal. J'avais passé la plus part de mes années précédentes à être dans des familles d'accueil tout aussi différents que l'une que l'autre comme j'avais une caractère Sauvageonne on m'a jeté à la première minute dans ma dernière famille d'accueil ce qui fait que maintenant je suis une mendiante qui essaye de survivre dans ce monde un peu paradoxe. Cela faisait plus d'une dizaine de jours que je suis devenu un sans-abri la nuit je dormais dans les ruelles étroites et sombre mais aussi un froid de canard, je suis même tombé raide malade, le jour je cherche de quoi me vêtir, de quoi manger ou même de quoi boire. Un jour, j' étais assise à terre prêt du portail du super-marché en regardant tous les personnes qui rentrait et sortait de ce super-marché, ne croyais pas je vais m' abaisser à mendier dh, je compte voler, j'attendais seulement que quelqu'un qui n'a pas la capacité de courir très vite comme je voyais que c'était un bon plan j'avais pas réfléchi à deux fois. Soudain j'avais vu un homme d'une vingtaine d'années qui avait une prothèse dans ses jambes ce qui veut dire qu'il ne peut pas courir très vite. Et comme une idiote je suis tombé dans mon propre piège, en effet j'avais pu prendre son sac pleine de nourriture mais ( pourquoi il y'a toujours du "mais" hein) avec surprise l'homme me Coursait à travers les différentes ruelles du Dakar. Étonnamment malgré son handicap physique il est rapide , il y'avait quelque choses que j'avais pas remarqué, son prothèse n' y'était plus, j'étais plus que surpris. Plus je courait à grande vitesse plus je commence à m'affaiblir quant à lui il n'avait pas eu un grand mal à me rattraper.
J'étais pris comme un rat, il avait pu mettre la main sur moi sans problème, on dirait qu'il avait l'habitude de courir. Il m'avait regardé sévèrement mais en même tant il était beau et avait du charme, je suis sur que gente féminine était à ses pieds hein.
Au lieu de me réprimander , il m'arracha le sac plein de nourriture et m'avait porté dans le dos sans savoir comment faire pour m'en sortir, je n'avais nullement pas peur des conséquences alors je me contente de rester calme. J'avais premièrement cru qu'il allait m'amener dans un commissariat mais non il m'avait emmené dans une sorte de villa, il m'avait laissé entre les mains d'une bonne pour s'assurer que je prenne un bain et de quoi manger au début j'étais suspicieuse et perplexe à la fois. Je voulais absolument savoir pourquoi il m'aide alors que j'ai voulu voler sa nourriture au profit de la mienne et il m'a fait clairement savoir qu'il n'aimait pas les questions et que je devrais me contenter de ce que j'ai et depuis lors je suis sous sa tutelle, on avait tout deux conclut un marché c'est-à-dire qu'il m'apprendra tout ce qu'il savait mais aussi de me donner un toit...etc par contre je me dois de me comporter comme sa petite sœur devant tout son entourage, enfant que j'étais, j'avais rien compris. Dès lors on commençait à habiter ensemble...

journal intime de Reyna Ndiaye Où les histoires vivent. Découvrez maintenant